Nuvo a écrit:Et surtout de la réaction à la con de Paul Quilès, ministre de l'intérieur.
Hugues a écrit:Greta Gerwig’s Radical Confidence
In her directorial debut, the writer and actress has created a character rarely seen onscreen: a young girl who loves herself.
Hugues (Où vous apprendrez qu'en ayant fait pipi dans sa culotte en classe, elle a trouvé l'inspiration et l'a soumis pour publication dans le journal littéraire de l'école, et que ça plut tellement que ça fut affiché sur le tableau.. Et donc que tout le monde le sut ... qu'elle avait fait pipi Et maintenant plus encore )
Le film, Lady Bird a réalisé ce week-end le meilleur démarrage de l'année pour un film en sortie progressive.
Et ... mieux que ça... j'apprends que le film sort en France... (C'est rien de moins qu'Universal qui le distribuera en Europe, c'est dire qu'ils y croient..)
Le 18 avril prochain!
C'est long.. mais c'est bon !
Hugues
Hugues a écrit:
Sinon, merci Nuvo pour ton compte-rendu.
Aym a écrit:Vu "2 jours à tuer" ce matin, avec Albert Dupontel.
J'ai remarqué seulement à la fin du film que c'était un film de Jean Becker.
Tous les films de lui que j'ai vu font partie de ceux que j'ai beaucoup aimé.
Très beau film. Même si tout annonce ce qu'il se passe à la fin, ça reste inattendu.
How Greta Gerwig Turned the Personal 'Lady Bird' Into a Perfect Movie
The actor-turned-filmmaker on turning a semi-autobiographical coming-of-age story into one of 2017's best movies
Nuvo a écrit:Même si j'ai apprécié le film, ce blogueur m'a impressionné par sa critique de Blade Runner 2049. Il éparpille le film façon puzzle. C'est long et fouillé, je le lis par morceau. Décapant !
https://unodieuxconnard.com/2017/10/23/bad-runner-2049/
Nuvo a écrit:Là je trouve qu'il montre les incroyables lacunes du scénario...
Car oui : dans Blade Runner premier du nom, sachez que les réplicants avaient par sécurité une durée de vie limitée à quelques années, et les blade runners étaient humains, histoire d’éviter les emmerdes.
Hugues a écrit:13. Paradis / Рай / Rai / Paradise
Andreï Kontchalovski
(Russie, Allemagne)
(sortie française: inconnue)
(sortie russe: 19 janvier 2017)
Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher
Première mondiale - Venise
"Konchalovtski au Paradis à Venise"
Première russe - Moscou (télévision russe Russia 1 - sous-titrage en anglais)
"Larmes et silence total parmi l'audience - Première - Paradis"
Mais quelle mouche a donc piqué Andreï Kontchalovski? S'enfermant dans un dispositif de mise un peu absurde -- que je ne détaillerai ou n'expliciterai pas, ça fait partie de la découverte du film -- il étouffe son cinéma, pourtant toujours fougueux, comme son précédent film Les nuits blanches du facteur en avait témoigné.
Et tend malheureusement vers le pensum.
Pourtant si on veut oublier ces séquences critiquables qui constellent le film, il y a un beau film pas loin, même si pas si original.
Le film est sauvé par l'absolue sincérité qui en exhale, émanation de celle du maître russe et de sa troupe d'acteur face ce sujet (Julia Vysotskaya, Christian Clauss, et Philippe Duquesne, entre autres ainsi que deux jeunes enfants).
Choix un peu surprenant au vu de l'absurdité du dispositif, le film a été co-lauréat du Lion d'Argent de la Mise en Scène/Réalisation. Même si c'est quelque peu immérité, ça l'est toujours bien plus que le co-lauréat, le film vain, absurde et laid d'Amat Escalante.
Le film représente la Russie et est toujours en course pour le prochain Oscar du meilleur film étranger.
- Le Bien comme le Mal, l'oeuvre de gens tout aussi aimables.
Certains de faire pour le mieux.
L'humanité entière, chaque individu comme une expérience séparée de la vie, à travers le courant de forces et logiques qui les dépassent et parfois (souvent?) les dominent et les emportent.
PS: La bande-annonce donne faussement l'impression d'un récit entièrement concentrationnaire. Ca n'est qu'un chapitre du récit.
PS2: Le film s'achève sur ces mots:
"In memory of the Russian emigrants and
the Resistance fighters against the Nazi occupation of France,
who sacrificed their lives to save the Jewish children."
Hugues
Hugues a écrit:Ca n'est d'aucune utilité à apprécier la grandeur du film de Miloš Forman ...
Mais enfin... ce peut être intéressant
Jim & Andy: The Great Beyond - un documentaire Netflix
Ou comment Andy Kaufman n'a cessé d'habiter Jim Carrey du moment même où il obtint le rôle jusqu'à la fin du tournage.
Ou en résumé, comme Jim Carrey fut un véritable enfoiré durant des mois .. fidèle au motto de Kaufman: les meilleures blagues sont les plus longues.
Jim Carrey earned critical acclaim and a Golden Globe for the performance, but many of the production’s most Kaufmanesque moments played out behind the scenes, thankfully captured on video by Andy’s former girlfriend, Lynne Margulies and former writing partner, Bob Zmuda. In Jim & Andy, Carrey looks back at the resulting footage 18 years later, reflecting on how he and Andy came up in oddly parallel universes, his experience channelling Andy and Tony and more broadly the spiritual journey of his career.
Hugues
Hugues a écrit:La barre de la promesse est haute:
Ouais_supère a écrit:C'est donc une barre verticale que celle de la promesse ?
Sinon on peut la penser haut plutôt que haute !
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