de Ouais_supère le 18 Juin 2017, 21:48
Bon, eh bien j'ai fini The Witcher 3.
J'ai une bonne fin, qui plus est, tout du moins du point de vue de l'intérêt général, Ciri devient impératrice, elle vogue vers sa grande destinée, et je n'y suis pas trop pour rien.
Pour mon intérêt particulier, c'est un peu la dèche, en revanche, me voilà manifestement condamné à errer seul sur la Voie, de contrats en contrats, pour avoir refusé les avances de mes deux prétendantes, Triss parce que je me croyais lié à Yenefer, et Yenefer parce que... Ben parce que c'était trop tôt, quoi, pas le moment, les enjeux étaient sérieux, la guerre menaçait, tout ça, merde, quoi !
Trop tard.
Je m'étais dit que je recommencerais, le cas échéant, une "partie +" (depuis le début, mais avec mon niveau acquis), mais j'ai pas pu...
Telle est la puissance narrative de ce jeu, chaque choix t'engage, et tu es tellement dedans que t'as même pas le recul du "platineur" qui fait et refait jusqu'à "l'achievement".
Et t'as trop de respect pour l'histoire que t'as, vraiment, l'impression d'avoir construite, décision après décision.
Mais le blues que je me tape, à continuer mon exploration, cette sensation de solitude à savoir que les principaux protagonistes ne sont plus là, ma Ciri, ma Yen...
Impossible pourtant de décrocher.
C'est de la meth, ce putain de jeu, faites gaffe.