Stéphane a écrit:Schumacher a justement, entre 91 et 94, eu des équipiers de moins en moins vaillants. Dur à dire.
N'était-ce pas plutôt que l'Allemand, déjà énorme à ses premiers tours de roues, ne cessait de tendre vers la perfection ?
Quand Benetton engage Patrese, c'est ce dernier qui est censé être le chef de file, mais très vite durant les essais d'intersaison il déclare que Schumi doit être le leader et qu'il n'a jamais vu quelqu'un d'aussi rapide : Patrese avait laissé sa voiture à l'Allemand lors d'essais à Silverstone et ce dernier avait écrabouillé son chrono à Copse.
Letho était une étoile montante, et hop ! l'accident.
Herbert n'a pas fait bien mieux que les autres, proportionnellement... Si l'on ne regarde que les résultats, si, mais dans les faits il était archidominé par l'Allemand. Et suite à sa victoire chanceuse en Angleterre, le team a voulu le laisser régler lui-même sa caisse, pensant qu'il avait enfin pris confiance en lui-même (elle était très rétive), et il s'est qualifié autour de la 10e place, je crois, à Hockenheim, loin de l'Allemand.