sheon a écrit:Ah donc tu crois aussi que les femmes ont moins de volonté que les hommes ?
Bon, qu'elles aient moins de couilles, ça je veux bien le croire, mais de la volonté...
Une femme aurait beaucoup de difficulté à gérer la tension mentale
Waddle a écrit:sheon a écrit:Ah donc tu crois aussi que les femmes ont moins de volonté que les hommes ?
Bon, qu'elles aient moins de couilles, ça je veux bien le croire, mais de la volonté...
Il a dit qu'elles avaient moins le mental pour faire du sport auto
Et ce n'est pas forcément faux. Evidemment, ça ne peut pas être une vérité générale s'appliquant à toutes les femmes sans exception, mais plutot au contexte socio-culturel, et on ne peut pas dire de façon si brutale que sa remarque est stupide.
Cortese a écrit:On n'en sait rien. La seule chose de sure c'est que les hommes produisent plus de testostérone que les filles et qu'a priori on connait plus de Genghis Khan ou de Murat que de Jeanne d'Arc.
Aiello a écrit:Waddle a écrit:sheon a écrit:Ah donc tu crois aussi que les femmes ont moins de volonté que les hommes ?
Bon, qu'elles aient moins de couilles, ça je veux bien le croire, mais de la volonté...
Il a dit qu'elles avaient moins le mental pour faire du sport auto
Et ce n'est pas forcément faux. Evidemment, ça ne peut pas être une vérité générale s'appliquant à toutes les femmes sans exception, mais plutot au contexte socio-culturel, et on ne peut pas dire de façon si brutale que sa remarque est stupide.
Le jour où on arrêtera de filer de la dinette et des poupées aux petites filles, et des voitures aux petits garçons, on aura probablement plus de femmes pilotes.
Aiello a écrit:Le jour où on arrêtera de filer de la dinette et des poupées aux petites filles, et des voitures aux petits garçons, on aura probablement plus de femmes pilotes.
DCP a écrit:L'avis de Moss sur les femmes pilotes, cela ne va pas plaire à Ghinzani....
http://www.lematin.ch/sports/depeches/s ... y/29497570
LS a écrit:Il n'y a pas matière à s'offusquer de"découvrir" que les sports ne sont pas tous universels ou tous sous régime de parité
L'équitation avant de parvenir à un niveau Championnat de France ou international est féminin à 90%
Le football féminin ne décolle que maintenant mais le Rugby a encore du chemin à faire.
Aiello a écrit:Le jour où on arrêtera de filer de la dinette et des poupées aux petites filles, et des voitures aux petits garçons, on aura probablement plus de femmes pilotes.
sheon a écrit:C'est une remarque très pertinente. C'est la Norme qui impose telle ou telle chose. Les gens ne s'en rendent même plus compte. Pareil pour l'orientation scolaire : études d'ingénieur/commerce pour les hommes, biologie/littérature/éducation/RH pour les femmes
sheon a écrit:Dans les familles, dans les médias, dans la bouche des profs... Regarde les pourcentages de filles en école d'ingé et en fac de pharmacie/infirmerie et on en reparle.
sheon a écrit:Mais tout ça est bien différent. On peut difficilement dire qu'un homme n'est pas capable de s'imposer en équitation, pareil pour une femme en foot ou rugby :.
Jan a écrit:sheon a écrit:Dans les familles, dans les médias, dans la bouche des profs... Regarde les pourcentages de filles en école d'ingé et en fac de pharmacie/infirmerie et on en reparle.
Ce que je veux dire, c'est que personne ne les y contraint... C'est fini cette époque là.
Moi je pense qu'on peut se poser des questions sur l'existence de différence fondamentales entre les deux genres (masculin et féminin) sans passer pour un mysogine.
sheon a écrit:Oui, je parle de rugby féminin. Sur le principe, rien n'empêcherait cette discipline d'être d'un moins bon niveau que la version masculine, finalement. Même si c'est le cas dans les faits.
sheon a écrit:Mais tout ça est bien différent. On peut difficilement dire qu'un homme n'est pas capable de s'imposer en équitation, pareil pour une femme en foot ou rugby : on en a peu car c'est une histoire de pression sociale/mentalités qui disent que les poneys sont pour les petites filles et les ballons de foot pour les petits garçons.
Cortese a écrit:Les femmes et les hommes ont un fonctionnement hormonal complètement différent, on pourrait parler de deux races humaines en réalité. Pourquoi voudriez vous qu'ils aient (vous noterez qu'en français le masculin l'emporte toujours sur le féminin) le même comportement ? Moss parle justement de prise de risque, là où les hormones se lâchent.
sheon a écrit:Oui, je parle de rugby féminin. Sur le principe, rien n'empêcherait cette discipline d'être d'un moins bon niveau que la version masculine, finalement. Même si c'est le cas dans les faits.Jan a écrit:sheon a écrit:Dans les familles, dans les médias, dans la bouche des profs... Regarde les pourcentages de filles en école d'ingé et en fac de pharmacie/infirmerie et on en reparle.
Ce que je veux dire, c'est que personne ne les y contraint... C'est fini cette époque là.
Moi je pense qu'on peut se poser des questions sur l'existence de différence fondamentales entre les deux genres (masculin et féminin) sans passer pour un mysogine.
Ah, c'est fini ? Pourtant je me souviens précisément avoir entendu une amie s'en plaindre, il y a quelques années à peine.
Ce n'est pas fini, non. La femme est même trèèèès loin d'être l'égal de l'homme dans notre société. En fait, le problème, c'est que tout est insidieux, établi comme la Norme. On n'empêche pas une fille d'aller en école d'ingé. Mais la "culture commune" (je n'arrive pas à trouver de meilleur terme) établit que c'est une rareté, donc peu de filles y vont.
B.Verkiler a écrit:sheon a écrit:Oui, je parle de rugby féminin. Sur le principe, rien n'empêcherait cette discipline d'être d'un moins bon niveau que la version masculine, finalement. Même si c'est le cas dans les faits.
Effectivement, rien dans le principe n'empêche que le rugby féminin soit d'un moins bon niveau que le rugby masculin. Mais contrairement à toi, je pense que c'est également le cas dans les faits.
sheon a écrit:Dans les familles, dans les médias, dans la bouche des profs... Regarde les pourcentages de filles en école d'ingé et en fac de pharmacie/infirmerie et on en reparle.
Waddle a écrit:Cortese a écrit:Les femmes et les hommes ont un fonctionnement hormonal complètement différent, on pourrait parler de deux races humaines en réalité. Pourquoi voudriez vous qu'ils aient (vous noterez qu'en français le masculin l'emporte toujours sur le féminin) le même comportement ? Moss parle justement de prise de risque, là où les hormones se lâchent.
C'est les américains et la fameuse thoérie du genre, qui semble séduire Sheon
sheon a écrit:Oui, je parle de rugby féminin. Sur le principe, rien n'empêcherait cette discipline d'être d'un moins bon niveau que la version masculine, finalement. Même si c'est le cas dans les faits.Jan a écrit:sheon a écrit:Dans les familles, dans les médias, dans la bouche des profs... Regarde les pourcentages de filles en école d'ingé et en fac de pharmacie/infirmerie et on en reparle.
Ce que je veux dire, c'est que personne ne les y contraint... C'est fini cette époque là.
Moi je pense qu'on peut se poser des questions sur l'existence de différence fondamentales entre les deux genres (masculin et féminin) sans passer pour un mysogine.
Ah, c'est fini ? Pourtant je me souviens précisément avoir entendu une amie s'en plaindre, il y a quelques années à peine.
Ce n'est pas fini, non. La femme est même trèèèès loin d'être l'égal de l'homme dans notre société. En fait, le problème, c'est que tout est insidieux, établi comme la Norme. On n'empêche pas une fille d'aller en école d'ingé. Mais la "culture commune" (je n'arrive pas à trouver de meilleur terme) établit que c'est une rareté, donc peu de filles y vont.
sheon a écrit:C'est une remarque très pertinente. C'est la Norme qui impose telle ou telle chose. Les gens ne s'en rendent même plus compte. Pareil pour l'orientation scolaire : études d'ingénieur/commerce pour les hommes, biologie/littérature/éducation/RH pour les femmes (je schématise mais l'idée est là ; et on va te sortir des "oui mais tu comprends, c'est normal, la femme est plus sensible, l'instinct maternel tout ça, donc elle va plutôt vers des métiers de communication, de contact humain")...
Waddle a écrit:S'il y a des choses à faire pour l'égalité des droits (salaires, etc...), il est complétement fantasmagorique de parler d'égalité à tout va, alors que fondamentalement, un homme ce n'est pas une femme et inversement.
Waddle a écrit:Y a plus d'hommes dans les écoles d'ingé, et plus de femmes dans les écoles d'infirmières, c'est la preuve que l'homme n'est toujours pas l'égal de la femme dans notre société?
sheon a écrit:Waddle a écrit:Cortese a écrit:Les femmes et les hommes ont un fonctionnement hormonal complètement différent, on pourrait parler de deux races humaines en réalité. Pourquoi voudriez vous qu'ils aient (vous noterez qu'en français le masculin l'emporte toujours sur le féminin) le même comportement ? Moss parle justement de prise de risque, là où les hormones se lâchent.
C'est les américains et la fameuse thoérie du genre, qui semble séduire Sheon
Tu seras gentil d'éviter de me prêter des propos que je n'ai pas eu. Si tu n'as que la malhonnêteté intellectuelle pour faire avancer un débat, tu n'iras pas très loin dans la vie.
Jan a écrit:sheon a écrit:Oui, je parle de rugby féminin. Sur le principe, rien n'empêcherait cette discipline d'être d'un moins bon niveau que la version masculine, finalement. Même si c'est le cas dans les faits.Jan a écrit:sheon a écrit:Dans les familles, dans les médias, dans la bouche des profs... Regarde les pourcentages de filles en école d'ingé et en fac de pharmacie/infirmerie et on en reparle.
Ce que je veux dire, c'est que personne ne les y contraint... C'est fini cette époque là.
Moi je pense qu'on peut se poser des questions sur l'existence de différence fondamentales entre les deux genres (masculin et féminin) sans passer pour un mysogine.
Ah, c'est fini ? Pourtant je me souviens précisément avoir entendu une amie s'en plaindre, il y a quelques années à peine.
Ce n'est pas fini, non. La femme est même trèèèès loin d'être l'égal de l'homme dans notre société. En fait, le problème, c'est que tout est insidieux, établi comme la Norme. On n'empêche pas une fille d'aller en école d'ingé. Mais la "culture commune" (je n'arrive pas à trouver de meilleur terme) établit que c'est une rareté, donc peu de filles y vont.
ça peut pas être l'inverse aussi ? Peu de fille y vont ou y sont interressées, donc la culture commune constate que c'est rare.
Aiello a écrit:Je crois qu'on est tous d'accord sur le fait que physiologiquement la femme et l'homme sont différents et que cela a des conséquences sur leur vie et leurs activités. Il n'en reste pas moins qu'on les conditionne dès le départ. Regarde les pages d'un catalogue de jouets, et explique-moi s'il y a une raison physiologique pour qu'on mette des accessoires ménagers dans les pages filles et des objets mécaniques chez les garçons.
D'ailleurs pourquoi parle t-on "d'école d'infirmière" alors qu'il y a également des infirmiers ?
Waddle a écrit:Aiello a écrit:Je crois qu'on est tous d'accord sur le fait que physiologiquement la femme et l'homme sont différents et que cela a des conséquences sur leur vie et leurs activités. Il n'en reste pas moins qu'on les conditionne dès le départ. Regarde les pages d'un catalogue de jouets, et explique-moi s'il y a une raison physiologique pour qu'on mette des accessoires ménagers dans les pages filles et des objets mécaniques chez les garçons.
Oui et non. Depuis la nuit des temps (et on ne peut pas dire que ça n'a aucun rapport avec la physiologie), et dans toutes les cultures, la femme s'occupe des enfants et de la bouffe, et l'homme s'occupe du travail physique et manuel.
Le rapport à la physiologie, c'est que c'est toujours la femme qui accouche, c'est toujours la femme qui allaite, et en règle générale, ce sera toujours elle qui sera la plus proche des enfants qui sont restés en son sein pendant 9 mois et ce sera souvent elle qui s'occupera de la bouffe des bébés. Cela ne veut pas dire que l'homme ne doit pas participer aux tâches ménagères, ou que la femme n'a pas le droit de bosser ou de monter des meubles, mais les faits sont là. Il ne sert à rien de le nier et de prétendre à un égalitarisme parfait alors que les choses sont biaisées dès le départ.
La physiologie fait également que les hommes seront plus disposés à exercer des tâches mécaniques, et les femmes des tâches demandant plus de douceur et d'adresse. On ne va pas non plus le nier.
Alors oui, il y a encore des injustices hommes/femmes, au niveau des salaires, promotions et autres, mais vouloir remettre en cause les critères d'éducation en se demandant pourquoi on donne des poupées aux filles et des camions aux garçons, avec son corrolaire: pourquoi on fait des coiffures de filles aux filles et pas aux garçons, pourquoi on habille les petites filles en jupe et pas les garçons, c'est de la théorie du genre.
Waddle a écrit:Oui et non. Depuis la nuit des temps (et on ne peut pas dire que ça n'a aucun rapport avec la physiologie), et dans toutes les cultures, la femme s'occupe des enfants et de la bouffe, et l'homme s'occupe du travail physique et manuel.
Waddle a écrit:Le rapport à la physiologie, c'est que c'est toujours la femme qui accouche, c'est toujours la femme qui allaite, et en règle générale, ce sera toujours elle qui sera la plus proche des enfants qui sont restés en son sein pendant 9 mois et ce sera souvent elle qui s'occupera de la bouffe des bébés. Cela ne veut pas dire que l'homme ne doit pas participer aux tâches ménagères, ou que la femme n'a pas le droit de bosser ou de monter des meubles, mais les faits sont là. Il ne sert à rien de le nier et de prétendre à un égalitarisme parfait alors que les choses sont biaisées dès le départ.
Waddle a écrit:La physiologie fait également que les hommes seront plus disposés à exercer des tâches mécaniques, et les femmes des tâches demandant plus de douceur et d'adresse. On ne va pas non plus le nier.
Waddle a écrit:Alors oui, il y a encore des injustices hommes/femmes, au niveau des salaires, promotions et autres, mais vouloir remettre en cause les critères d'éducation en se demandant pourquoi on donne des poupées aux filles et des camions aux garçons, avec son corrolaire: pourquoi on fait des coiffures de filles aux filles et pas aux garçons, pourquoi on habille les petites filles en jupe et pas les garçons, c'est de la théorie du genre.
Waddle a écrit:D'ailleurs pourquoi parle t-on "d'école d'infirmière" alors qu'il y a également des infirmiers ?
En effet. C'est une injustice inacceptable envers les hommes, et on se demande ce que font les associations des droits de l'homme.
Marlaga a écrit:
Tu extrapoles largement. La théorie du genre, c'est l’indifférenciation générale. C'est dire que c'est la société qui fait qu'une fille devient une fille et un garçon un garçon et non pas le sexe biologique. C'est stupide car exagéré.
Mais il y a quand même une part d'influence de la société sur l'évolution d'un enfant et dans la construction de son identité. On ne naît pas avec une identité définie et inaltérable. Cette identité se forge dans l'éducation avec le cadre de la société. Ça peut te paraître anodin de faire porter des jupes aux filles et pas aux garçons, mais ce geste anodin mêlé aux remontrances des parents pour ne pas qu'une fille laisse apercevoir sa culotte se combinent pour l'empêcher d'avoir les mêmes jeux aussi physiques et mouvementés que ceux des garçons qui n'ont pas ce souci.
Waddle a écrit:Marlaga a écrit:
Tu extrapoles largement. La théorie du genre, c'est l’indifférenciation générale. C'est dire que c'est la société qui fait qu'une fille devient une fille et un garçon un garçon et non pas le sexe biologique. C'est stupide car exagéré.
Mais il y a quand même une part d'influence de la société sur l'évolution d'un enfant et dans la construction de son identité. On ne naît pas avec une identité définie et inaltérable. Cette identité se forge dans l'éducation avec le cadre de la société. Ça peut te paraître anodin de faire porter des jupes aux filles et pas aux garçons, mais ce geste anodin mêlé aux remontrances des parents pour ne pas qu'une fille laisse apercevoir sa culotte se combinent pour l'empêcher d'avoir les mêmes jeux aussi physiques et mouvementés que ceux des garçons qui n'ont pas ce souci.
Je n'ai jamais dit qu'on naissait avec une identité définie une fois pour toutes et non modifiables. Ce que je dis, c'est que l'éducation "classique" qu'on donne aux enfants n'est pas forcément à remettre en cause de fond en comble, sous pretexte que ça oriente "dangereusement" les enfants vers un stéréotype.
Vous voudriez quoi concrètement? Qu'on achète aussi des jupes aux petits garçons? Qu'on achète des poupées aux garçons et des camions aux filles?
L'éducation est forcément un choix, une orientation. Les soucis commencent quand un parent sent que son enfant n'est pas fait pour telle ou telle chose, mais qu'il force parce qu'il veut le faire rentrer dans une case.
Marlaga a écrit:Waddle a écrit:Marlaga a écrit:
Tu extrapoles largement. La théorie du genre, c'est l’indifférenciation générale. C'est dire que c'est la société qui fait qu'une fille devient une fille et un garçon un garçon et non pas le sexe biologique. C'est stupide car exagéré.
Mais il y a quand même une part d'influence de la société sur l'évolution d'un enfant et dans la construction de son identité. On ne naît pas avec une identité définie et inaltérable. Cette identité se forge dans l'éducation avec le cadre de la société. Ça peut te paraître anodin de faire porter des jupes aux filles et pas aux garçons, mais ce geste anodin mêlé aux remontrances des parents pour ne pas qu'une fille laisse apercevoir sa culotte se combinent pour l'empêcher d'avoir les mêmes jeux aussi physiques et mouvementés que ceux des garçons qui n'ont pas ce souci.
Je n'ai jamais dit qu'on naissait avec une identité définie une fois pour toutes et non modifiables. Ce que je dis, c'est que l'éducation "classique" qu'on donne aux enfants n'est pas forcément à remettre en cause de fond en comble, sous pretexte que ça oriente "dangereusement" les enfants vers un stéréotype.
Vous voudriez quoi concrètement? Qu'on achète aussi des jupes aux petits garçons? Qu'on achète des poupées aux garçons et des camions aux filles?
L'éducation est forcément un choix, une orientation. Les soucis commencent quand un parent sent que son enfant n'est pas fait pour telle ou telle chose, mais qu'il force parce qu'il veut le faire rentrer dans une case.
Il serait plus normal de ne pas accentuer les différences existantes en orientant les enfants vers des jeux plutôt que d'autres. Il suffit de laisser le choix aux enfants. Et on voit que beaucoup de filles se mettent à jouer avec un ballon et la conséquence est un championnat de foot féminin qui prend de l'ampleur. Il n'y avait donc pas de raison d'empêcher les filles de jouer aux ballons et leur mettre une poupée dans les bras dès la naissance. Et inversement, certains garçons aimeraient jouer aux poupées, il n'y a pas de raison de les en empêcher et de se moquer d'eux pour ça.
Un peu de tempérance ferait du bien à tout le monde.
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