Stéphane a écrit:Ouais, c'est vraiment pas mal.
Par contre, je sais pas si c'est à cause de la photo, mais la forme du "front" du csque me parait bizarre.
Nuvo a écrit:La forme du casque ca va encore, la visière c'est pas mal. Mais le design, avec cet effet déchiré, est affreux... et en plus la bande bleu du casque de Senna était bleu marine foncé métallisé, presque noire.
heow a écrit:Nuvo a écrit:La forme du casque ca va encore, la visière c'est pas mal. Mais le design, avec cet effet déchiré, est affreux... et en plus la bande bleu du casque de Senna était bleu marine foncé métallisé, presque noire.
Le bleu est beaucoup beaucoup plus sombre en vrai que sur les photos (et il est métallisé, sans doute pour ça que ça passe mal en photos...).
Après c'est une question de goût
Ce qui me dérange c'est le rouge Marlboro qui sur le casque 98 était presque orange fluo en vrai (et uniquement cette année là, bizarrement).
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Feyd a écrit:J'ai pas aimé qu'ils n'aient pas fait allusion à la fin à la réconciliation entre les deux à partir d'Adelaïde. Ca prenait à tout casser une minute ou deux mais non, Senna c'est l'ange et Prost le diable.
Ambrose a écrit:Il n'y a aucune allusion non plus au "I miss you Alain" l'avant-veille de la mort de Senna.
Mais quand des journalistes ont demandé au réalisateur le pourquoi de cette omission, le réalisateur a tout simplement dit qu'il n'avait jamais entendu parler de cet épisode.
Nuvo a écrit:Enfin quand même
Photo prise par PH Cahier à Suzuka en 1989
Ouais_supère a écrit:Il n'était manifestement pas question de ne serait-ce que sous-entendre que Prost et lui ait pu être liés, et encore moins que le Français puisse ne pas être le grand méchant de l'histoire.
Shunt a écrit:J'ai vu aussi ce doc hier soir sur Canal. Même si on connaît l'histoire par cœur, la partie sur Imola est vraiment bouleversante. Il y a une dramaturgie sportive - Senna n'y arrive pas avec Williams - qui tourne au drame humain. Même sentiment que Waddle... 18 ans après, on a encore du mal à réaliser que ce GP cauchemardesque a bien eu lieu. Fou aussi d'assister comme ça aux derniers jours, dernières heures d'une vie.
34.19 Le malheur atteint souvent le juste, Mais l'Éternel l'en délivre toujours.
34.20 Il garde tous ses os, Aucun d'eux n'est brisé.
Waddle a écrit:Ouais_supère a écrit:Il n'était manifestement pas question de ne serait-ce que sous-entendre que Prost et lui ait pu être liés, et encore moins que le Français puisse ne pas être le grand méchant de l'histoire.
C'est faux. Parce que le documentaire montre bien Prost aux obsèques de Senna, pas moins triste que les autres, précise à la fin que Prost est un des administrateurs de la fondation Senna, etc...
N'exagérez pas non plus.
Nuvo a écrit:Le film ne montre ni le "Special hello to my... our dear friend Alain. We miss you Alain".
Et Senna le dimanche qui traverse tout le paddock pour aller chercher Prost... il y a probablement une vidéo de cela...
Waddle a écrit:
Le mot dramaturgie est vraiment le mot pour décrire comment le documentaire rend la course d'Imola.
Il y a vraiment des scènes poignantes dans ce documentaires. Une partie qui m'a vraiment touché, c'est quand Ratzenberger, à Imola, dit un truc du genre, avec le sourire: "Faut que je me calme, j'arrive vraiment à faire des trucs de dingue avec cette voiture!", pour aller mourir peu de temps après...
La scène aussi, ou au briefing d'avant course du Japon 89 je crois, Nelson Piquet demande que les pilotes aient le droit d'utiliser échappatoire, et tout le monde est d'accord. Senna se lève, en disant "Je suis désolé, c'est à cause de ça que j'ai été disqualifié l'année dernière, je n'ai pas encore digéré, je ne peux plus assister à cette réunion". Il faisait vraiment de la peine.
Bon, ne parlons pas de sa première victoire au GP du Brésil...
Enfin, quand le médecin (neurochirurgien?) déclare qu'aucun os de Senna n'a été brisé, que son corps était 100% intact, et que si le bout de suspension était passé 15 cm à côté, Senna serait tranquillement sorti de sa voiture pour rejoindre les stands, on a du mal à ne pas pleurer.
D'ailleurs, en l'entendant parler, ces paroles des Psaumes de la bible ont résonné en moi:34.19 Le malheur atteint souvent le juste, Mais l'Éternel l'en délivre toujours.
34.20 Il garde tous ses os, Aucun d'eux n'est brisé.
The autopsy showed that the crash caused multiple fractures at the base of the cranium, crushing the forehead and rupturing the temporal artery with haemorrhage in the respiratory passages.
Accidents such as this are almost always fatal, with survivors suffering irreversible brain damage. This is a result of the effects on the brain of sudden deceleration, which causes structural damage to the brain tissues. Estimates of the forces involved in Ayrton's accident suggest a rate of deceleration equivalent to a 30 metre vertical drop, landing head-first. Evidence offered at the autopsy revealed that the impact of this 208 km/h crash caused multiple injuries at the base of the cranium, resulting in respiratory insufficiency. There was crushing of the brain (which was forced against the wall of the cranium causing oedema and haemorrhage, increasing intra-cranial pressure and causing brain death), together with the rupture of the temporal artery, haemorrhage in the respiratory passages and the consequent heart failure.
sccc a écrit:Waddle a écrit:
Le mot dramaturgie est vraiment le mot pour décrire comment le documentaire rend la course d'Imola.
Il y a vraiment des scènes poignantes dans ce documentaires. Une partie qui m'a vraiment touché, c'est quand Ratzenberger, à Imola, dit un truc du genre, avec le sourire: "Faut que je me calme, j'arrive vraiment à faire des trucs de dingue avec cette voiture!", pour aller mourir peu de temps après...
La scène aussi, ou au briefing d'avant course du Japon 89 je crois, Nelson Piquet demande que les pilotes aient le droit d'utiliser échappatoire, et tout le monde est d'accord. Senna se lève, en disant "Je suis désolé, c'est à cause de ça que j'ai été disqualifié l'année dernière, je n'ai pas encore digéré, je ne peux plus assister à cette réunion". Il faisait vraiment de la peine.
Bon, ne parlons pas de sa première victoire au GP du Brésil...
Enfin, quand le médecin (neurochirurgien?) déclare qu'aucun os de Senna n'a été brisé, que son corps était 100% intact, et que si le bout de suspension était passé 15 cm à côté, Senna serait tranquillement sorti de sa voiture pour rejoindre les stands, on a du mal à ne pas pleurer.
D'ailleurs, en l'entendant parler, ces paroles des Psaumes de la bible ont résonné en moi:34.19 Le malheur atteint souvent le juste, Mais l'Éternel l'en délivre toujours.
34.20 Il garde tous ses os, Aucun d'eux n'est brisé.
En ce qui concerne le neurochorurgien, je pense qu'il a été un peu optimiste:
http://en.wikipedia.org/wiki/Death_of_Ayrton_SennaThe autopsy showed that the crash caused multiple fractures at the base of the cranium, crushing the forehead and rupturing the temporal artery with haemorrhage in the respiratory passages.Accidents such as this are almost always fatal, with survivors suffering irreversible brain damage. This is a result of the effects on the brain of sudden deceleration, which causes structural damage to the brain tissues. Estimates of the forces involved in Ayrton's accident suggest a rate of deceleration equivalent to a 30 metre vertical drop, landing head-first. Evidence offered at the autopsy revealed that the impact of this 208 km/h crash caused multiple injuries at the base of the cranium, resulting in respiratory insufficiency. There was crushing of the brain (which was forced against the wall of the cranium causing oedema and haemorrhage, increasing intra-cranial pressure and causing brain death), together with the rupture of the temporal artery, haemorrhage in the respiratory passages and the consequent heart failure.
Waddle a écrit:La scène aussi, ou au briefing d'avant course du Japon 89 je crois, Nelson Piquet demande que les pilotes aient le droit d'utiliser échappatoire, et tout le monde est d'accord. Senna se lève, en disant "Je suis désolé, c'est à cause de ça que j'ai été disqualifié l'année dernière, je n'ai pas encore digéré, je ne peux plus assister à cette réunion". Il faisait vraiment de la peine.
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