Ouais_supère a écrit:Il est advenu du sport mécanique aujourd'hui que des pannes mécaniques deviennent un scandale dont il faut blâmer ceux qui n'en ont pas eu ?
Non, juste en F1, et que si ça concerne Hamilton.
Ouais_supère a écrit:Il est advenu du sport mécanique aujourd'hui que des pannes mécaniques deviennent un scandale dont il faut blâmer ceux qui n'en ont pas eu ?
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
C'est ce que je pense et peu importe l'ordre.Stéphane a écrit:Non, ils voulaient un doublé (le titre de Nico n'est qu'une conséquence de ça).
Obi Wan Poloski a écrit:Nico n'a pas la même crédibilité aux yeux du public que Lewis, lorsqu'on sait que le champion sortant a plus de victoires que son équipier cette année.
Ouais_supère a écrit:Moi je pense que ne retenir que les X meilleurs résultats serait une bonne chose.
Après tout, ça valorise vraiment les "perfs".
Stéphane a écrit:N'empêche, avec les points doublés...
sheon a écrit:Obi Wan Poloski a écrit:Nico n'a pas la même crédibilité aux yeux du public que Lewis, lorsqu'on sait que le champion sortant a plus de victoires que son équipier cette année.
Ouais mais bon, le nombre de victoires en 2008, hein...
Ça ne veut pas dire grand-chose, au final. On a un système de points, c'est ça qui compte.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Run a écrit:Ah ben ca, je suis d'accord, refaire les classements, ca sert pas a grand chose parce qu'on trouve toujours le truc qui fait gagner son favori (D'ailleurs, tous les classements que je refais donnent Hamilton champion).
Mais bon, la prime a la victoire et le cout d'un abandon, ca n'empeche pas d'en parler. Et j'aime le retour a eliminer les pires resultats comme Manu le suggere et la prime a la victoire (25-15 ou 25-16 et que marquer un point veuille dire quelquechose). C'est un sujet vain et inutile parce qu'il n,est pas a l'ordre du jour et surtout, parce que Bernard prefere avoir un gros trip artificiel jusqu'a...bu d'Abhi.
Bon, deja, on a elimine le 10-8-6-etc. horrible.
Run a écrit:Sheon, avec un 25-15, il n'y aurait evidemment plus 10 voitures dans les points.
Mufasa a écrit:Non, la victoire est aujourd'hui beaucoup moins primée qu'elle ne l'était en 1991-2002. Jadis une seconde place te récompensait avec 60% des points de la victoire; une 3e place avec 40%. L'équivalent avec une victoire à 25 points comme aujourd'hui serait de donner 15 points au second et 10 points au 3e. Et encore, ce ne serait valoriser la victoire qu'au même niveau qu'elle ne l'était en 1991-2002.
Alfa a écrit:Quand on se souvient qu'a une époque on récompensait seulement les six premiers et qu'on avait en début de week end 30 voitures pour les qualifs et 26 voitures au départ.
Maintenant on récompense les 10 premiers et on a du mal a aligner 20 voitures ! (22 cette année ouf)
Il y a peut être a repenser le système de point en fonction du nombre de participant, vu que de toute façon le barème a tellement changé que pour les statistiques et l'histoire ça veut plus rien dire.
j'aimais bien les 8 premiers :
On pourrait faire :
1er 20 pts
2e 15
3e 12
4e 8
5e 6
6e 4
7e 2
8e 1
sheon a écrit:Run a écrit:Sheon, avec un 25-15, il n'y aurait evidemment plus 10 voitures dans les points.
Oui, j'ai bien compris, j'ai appliqué le barème que tu as indiqué : 25-15-12-6-4-3-2-1. J'imagine que tu voyais plutôt 15-10-6 que 15-12-6.Mufasa a écrit:Non, la victoire est aujourd'hui beaucoup moins primée qu'elle ne l'était en 1991-2002. Jadis une seconde place te récompensait avec 60% des points de la victoire; une 3e place avec 40%. L'équivalent avec une victoire à 25 points comme aujourd'hui serait de donner 15 points au second et 10 points au 3e. Et encore, ce ne serait valoriser la victoire qu'au même niveau qu'elle ne l'était en 1991-2002.
Au bout d'un moment, il faut arrêter un peu avec la valorisation de la victoire à tout prix, et savoir ce qu'on veut : soit on donne le titre sur le nombre de victoires, soit on utilise un barème de points, avec la possibilité que le champion du monde ne soit pas celui qui a gagné le plus de fois. Cette année, comme en 2008, on a un écart d'une seule victoire entre le champion et le dauphin. Ce n'est pas comme en 2003 où Räikkönen aurait pu être titré avec 2 victoires à 6.
[/quote]sheon a écrit:Mufasa a écrit:Non, la victoire est aujourd'hui beaucoup moins primée qu'elle ne l'était en 1991-2002. Jadis une seconde place te récompensait avec 60% des points de la victoire; une 3e place avec 40%. L'équivalent avec une victoire à 25 points comme aujourd'hui serait de donner 15 points au second et 10 points au 3e. Et encore, ce ne serait valoriser la victoire qu'au même niveau qu'elle ne l'était en 1991-2002.
Au bout d'un moment, il faut arrêter un peu avec la valorisation de la victoire à tout prix, et savoir ce qu'on veut : soit on donne le titre sur le nombre de victoires, soit on utilise un barème de points
Mufasa a écrit:sheon a écrit:Mufasa a écrit:Non, la victoire est aujourd'hui beaucoup moins primée qu'elle ne l'était en 1991-2002. Jadis une seconde place te récompensait avec 60% des points de la victoire; une 3e place avec 40%. L'équivalent avec une victoire à 25 points comme aujourd'hui serait de donner 15 points au second et 10 points au 3e. Et encore, ce ne serait valoriser la victoire qu'au même niveau qu'elle ne l'était en 1991-2002.
Au bout d'un moment, il faut arrêter un peu avec la valorisation de la victoire à tout prix, et savoir ce qu'on veut : soit on donne le titre sur le nombre de victoires, soit on utilise un barème de points
L'un et l'autre ne sont aucunement incompatibles, puisque c'était le cas en 1991-2002 comme je l'ai démontré.
Quel que soit le barème, on aura toujours des insatisfaits si on ne fait que regarder les victoires.
Mufasa a écrit:Quel que soit le barème, on aura toujours des insatisfaits si on ne fait que regarder les victoires.
Oui, mais l'enjeu n'est pas là (à mon avis) : on a déjà commenté qu'il ne servait à rien de "refaire" les championnats précédents en appliquant d'autres barêmes, puisque les pilotes ont gérés leurs courses et leurs saisons en fonction du système en vigueur.
Cortese a écrit:Je suis presque tenté de penser qu'un titre "volé" comme celui de Rosberg apporte plus de gloire au perdant qu'à l'heureux élu. Brabham a été 3 fois champion du monde, Moss jamais. Combien d'articles de presse sur Moss et combien sur Brabham ? Facilement 100 fois plus. Jim Clark a perdu deux fois le titre mondial dans les derniers tours d'un dernier GP qu'il survolait. Qui a pensé à l'époque ou aujourd'hui que Graham Hill ou Surtees étaient vraiment les champions du monde ? La défaite imméritée rend souvent plus grand que la victoire attendue.
Cortese a écrit:Je suis presque tenté de penser qu'un titre "volé" comme celui de Rosberg apporte plus de gloire au perdant qu'à l'heureux élu. Brabham a été 3 fois champion du monde, Moss jamais. Combien d'articles de presse sur Moss et combien sur Brabham ? Facilement 100 fois plus. Jim Clark a perdu deux fois le titre mondial dans les derniers tours d'un dernier GP qu'il survolait. Qui a pensé à l'époque ou aujourd'hui que Graham Hill ou Surtees étaient vraiment les champions du monde ? La défaite imméritée rend souvent plus grand que la victoire attendue.
porcaro77 a écrit:
Bahamas, Surtees ou Hill sont malgré tout des grands champions
porcaro77 a écrit:Bahamas, Surtees ou Hill sont malgré tout des grands champions
Cortese a écrit:Je suis presque tenté de penser qu'un titre "volé" comme celui de Rosberg apporte plus de gloire au perdant qu'à l'heureux élu.
sheon a écrit:Mufasa a écrit:Quel que soit le barème, on aura toujours des insatisfaits si on ne fait que regarder les victoires.
Oui, mais l'enjeu n'est pas là (à mon avis) : on a déjà commenté qu'il ne servait à rien de "refaire" les championnats précédents en appliquant d'autres barêmes, puisque les pilotes ont gérés leurs courses et leurs saisons en fonction du système en vigueur.
En 2008, il n'y a pas eu de gestion de championnat, Hamilton a gagné le titre de justesse. Il est donc tout à fait pertinent de parler de cette saison. À la rigueur, pour 2016, ok, Rosberg avait de l'avance et aurait peut-être pris plus de risques sinon. Mais ma démonstration est pertinente, je le maintiens, lorsque je montre que même avec le barème de 1990, on aurait pu avoir Hamilton 2008 et Rosberg 2016 titrés avec à peine quelques places supplémentaires sur une seule course. Un barème primant la victoire n'aurait pas pu permettre à Räikkönen de prendre le titre à Schumacher en 2003 car leur différence de victoires était trop importante (6-2 si Räikkönen avait gagné au Japon). Mais une différence d'une seule victoire ne sera jamais assez significative, sauf si on décide de titre simplement au nombre de victoires. Et ce n'est pas ce que fait le barème de 1990.
Run a écrit:sheon a écrit:Mufasa a écrit:Quel que soit le barème, on aura toujours des insatisfaits si on ne fait que regarder les victoires.
Oui, mais l'enjeu n'est pas là (à mon avis) : on a déjà commenté qu'il ne servait à rien de "refaire" les championnats précédents en appliquant d'autres barêmes, puisque les pilotes ont gérés leurs courses et leurs saisons en fonction du système en vigueur.
En 2008, il n'y a pas eu de gestion de championnat, Hamilton a gagné le titre de justesse. Il est donc tout à fait pertinent de parler de cette saison. À la rigueur, pour 2016, ok, Rosberg avait de l'avance et aurait peut-être pris plus de risques sinon. Mais ma démonstration est pertinente, je le maintiens, lorsque je montre que même avec le barème de 1990, on aurait pu avoir Hamilton 2008 et Rosberg 2016 titrés avec à peine quelques places supplémentaires sur une seule course. Un barème primant la victoire n'aurait pas pu permettre à Räikkönen de prendre le titre à Schumacher en 2003 car leur différence de victoires était trop importante (6-2 si Räikkönen avait gagné au Japon). Mais une différence d'une seule victoire ne sera jamais assez significative, sauf si on décide de titre simplement au nombre de victoires. Et ce n'est pas ce que fait le barème de 1990.
Il y a eu une ribambelle de champion pre-91 (entre 77 et 91, Lauda 77 et 84, Rosberg 82, Piquet 83 et 87, Prost 86 et 89) qui avaient moins de victoires. Et depuis 91, nous n'avons qu'un seul exemple, 2008.
Il y a quand meme une forte tendance que cette "prime" a la victoire avait quelquechose de positif.
Run a écrit:sheon a écrit:Mufasa a écrit:Quel que soit le barème, on aura toujours des insatisfaits si on ne fait que regarder les victoires.
Oui, mais l'enjeu n'est pas là (à mon avis) : on a déjà commenté qu'il ne servait à rien de "refaire" les championnats précédents en appliquant d'autres barêmes, puisque les pilotes ont gérés leurs courses et leurs saisons en fonction du système en vigueur.
En 2008, il n'y a pas eu de gestion de championnat, Hamilton a gagné le titre de justesse. Il est donc tout à fait pertinent de parler de cette saison. À la rigueur, pour 2016, ok, Rosberg avait de l'avance et aurait peut-être pris plus de risques sinon. Mais ma démonstration est pertinente, je le maintiens, lorsque je montre que même avec le barème de 1990, on aurait pu avoir Hamilton 2008 et Rosberg 2016 titrés avec à peine quelques places supplémentaires sur une seule course. Un barème primant la victoire n'aurait pas pu permettre à Räikkönen de prendre le titre à Schumacher en 2003 car leur différence de victoires était trop importante (6-2 si Räikkönen avait gagné au Japon). Mais une différence d'une seule victoire ne sera jamais assez significative, sauf si on décide de titre simplement au nombre de victoires. Et ce n'est pas ce que fait le barème de 1990.
Il y a eu une ribambelle de champion pre-91 (entre 77 et 91, Lauda 77 et 84, Rosberg 82, Piquet 83 et 87, Prost 86 et 89) qui avaient moins de victoires. Et depuis 91, nous n'avons qu'un seul exemple, 2008.
Il y a quand meme une forte tendance que cette "prime" a la victoire avait quelquechose de positif.
sheon a écrit:Run a écrit:sheon a écrit:Mufasa a écrit:Quel que soit le barème, on aura toujours des insatisfaits si on ne fait que regarder les victoires.
Oui, mais l'enjeu n'est pas là (à mon avis) : on a déjà commenté qu'il ne servait à rien de "refaire" les championnats précédents en appliquant d'autres barêmes, puisque les pilotes ont gérés leurs courses et leurs saisons en fonction du système en vigueur.
En 2008, il n'y a pas eu de gestion de championnat, Hamilton a gagné le titre de justesse. Il est donc tout à fait pertinent de parler de cette saison. À la rigueur, pour 2016, ok, Rosberg avait de l'avance et aurait peut-être pris plus de risques sinon. Mais ma démonstration est pertinente, je le maintiens, lorsque je montre que même avec le barème de 1990, on aurait pu avoir Hamilton 2008 et Rosberg 2016 titrés avec à peine quelques places supplémentaires sur une seule course. Un barème primant la victoire n'aurait pas pu permettre à Räikkönen de prendre le titre à Schumacher en 2003 car leur différence de victoires était trop importante (6-2 si Räikkönen avait gagné au Japon). Mais une différence d'une seule victoire ne sera jamais assez significative, sauf si on décide de titre simplement au nombre de victoires. Et ce n'est pas ce que fait le barème de 1990.
Il y a eu une ribambelle de champion pre-91 (entre 77 et 91, Lauda 77 et 84, Rosberg 82, Piquet 83 et 87, Prost 86 et 89) qui avaient moins de victoires. Et depuis 91, nous n'avons qu'un seul exemple, 2008.
Il y a quand meme une forte tendance que cette "prime" a la victoire avait quelquechose de positif.
Oulàh, tu t'embrouilles, Run : en 2008, c'était le barème 2003, qui ne primait pas du tout la victoire. Le barème qui a failli couronner Räikkönen en 2003.
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