Ghinzani a écrit:LS, si ton historique est certainement juste, je suis un peu surpris de ton étonnement apparent du fonctionnement des affaires.
Il n'y a pas de sentiments en affaires et ce coup ci c'est effectivement Denis qui en fait les frais.
Mais que serait le groupe Mc Laren sans lui ? Et que serait la F1 sans ces trams ayant une histoire, une âme ?
F1 qui constate Avec effroi que sans racines, une plante meurt.
Si Denis avait fait part de sentiments, Mc Laren ne serait pas cet Empire.
Non non ne te méprends pas ...je ne suis aucunement étonné bien au contraire il faut comprendre dans mes propos que c'est une bagarre interne qu'il a perdu.
Je suis bien conscient qu'il n' y a pas de sentiments dans cette affaire comme dans d'autres.
( Relis: J'ai employé les termes , "Requin", pas de sentiment avec Mayer et Alexander, "pas tendre" , évoqué que la sentence ne venait pas d'un actionnariat inconnu, etc..)Je ne faisait ce raccourci historique que pour essayer de rappeler que Ron Dennis n'a pas fait lui de sentiments dans sa longue carrière.
Autant je le reconnait d'abord comme un entrepreneur (pas un visionnaire car pas ingénieur), un bâtisseur, un chef, un habile négociateur plutôt celui qui sait convaincre mais je prenais plutôt le contre-pied de ceux qui s'insurgent contre ce qui lui arrive aujourd'hui en référence au passé glorieux de son équipe F1 qui n'est plus qu'une vitrine (enfin un peu plus) de son groupe.
Conclusion 1 : Dennis est un homme de réussite entre le Project Four et 2008/9. Après cette période sa réussite principale est l'implantation et le développement d'Automotive mais depuis ces dernières années, les aléas, les liaisons dangereuses (Mercedes y compris sur le plan de ces GT) et surtout la gestion du Team F1 ont été plus chaotiques au point de n'être plus dans une dynamique favorable...
Conclusion 2 : nous sommes
a priori d'accord ....mais cela ne se voyait pas (? )