bravonadir a écrit:J'ai celui-ci :
http://live.drakulastream.eu/players/fr ... 73195.html
J'en ai d'autres sous le coude mais bon, si celui-ci vous convient.
Après, c'est très variable selon vos installations. Quand ça fonctionne bien chez moi, ça carbure chez les autres.
Cramoke ken a écrit:Tout va mal pour Montoya.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Stéphane a écrit:Dommage de devoir perdre Milwaukee
Cramoke ken a écrit:En plus cette course de Fontana était très intéressante à suivre.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Stéphane a écrit:Ouais, mais toujours moins qu'une étape du tour de France.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
a6gcs a écrit:Ca ne passionne visiblement pas grand monde mais Bourdais a gagné le Monster mile la nuit dernière
Sébastien Bourdais, décodage d'un succès
Sébastien Bourdais, pilote Indycar, a remporté dimanche à Milwaukee la cinquième course sur ovale de sa carrière. Ce type de tracé nécessite une certaine combinaison pour gagner. Décryptage de cette formule avec l'ancien étudiant en sciences et techniques.
2
Comme la 2e victoire de la saison pour Sébastien Bourdais, pilote KVSH, 6e au général, à 96 points du leader Juan Pablo Montoya. «Notre équipe n'avait pas un centime pour faire du développement ou des essais avant le championnat, donc on s'en tire bien. Nous comptons deux victoires, mais nous avons aussi perdu quelques belles occasions, on pourrait avoir 4 victoires déjà. Nous respectons nos objectifs. D'autant que nous avons eu une mauvaise surprise en début d'année. En 2014, la voiture était performante sur les ovales et elle ne l'était plus lors des premiers rendez vous.»
Ce succès sur l'ovale de Milwaukee, dimanche, est une bonne nouvelle pour la structure du Manceau. Le quadruple champion de Champcar totalise désormais 5 victoires sur ovale. «J'aime bien piloter sur ovale, mais cela m'a pris trois ans pour comprendre comment cela fonctionne. C'est très particulier, contre nature pour un pilote. Il faut non seulement un réglage spécifique, avec une voiture assymétrique, mais aussi une équipe technique spécialisée dans les ovales, pour réussir. Il faut beaucoup de communication à la radio avec son ingénieur et son "spoter" pour savoir où on se situe dans la course, contre qui on se bat, qui est en pneus neufs ou pas, sur quel rythme... C'est très compliqué à suivre quand on est au volant, sans trop de repère, avec ce côté répétitif en plus, or il ne faut pas absolument pas se déconcentrer. Sinon c'est le mur.»
22
Comme 22 secondes et quelque, le chrono pour boucler un tour à Milwaukee (1,015 mile). «Au départ, ça surprend», avoue le Français, plus habitué par sa culture européenne à rouler sur des tracés routiers ou urbains, avec des temps autour de plus d'une minute et trente secondes. «Après en essais, cela permet de multiplier les runs et de pouvoir tester plein de choses. Mais cela peut vite tourner au casse-tête chinois, dès qu'on modifie quelque chose sur la voiture», reconnait le Français. Et quand on sort de 250 tours, avec deux virages à gauche, a-t-on la tête qui tourne? «Aujourd'hui, nos vitesses atteintes sont moins importantes, donc ça va. Physiquement, c'est dur, pour le haut du corps surtout. Dimanche, je peux dire que ça a été mon ovale le plus dur. J'aurais dû plus m'entraîner à pagayer sur mon kayak. J'avais des crampes, les doigts insensibles. Mais en 2001, en ChampCar, avec des voitures plus puissantes, une course au Texas avait été annulée par sécurité. Les pilotes se prenaient trop de G (4,33 G en pointe, et une moyenne constante de 3,3 G), ils se plaignaient de maux de tête, certains s'étaient évanouis.»
0,875
Comme 0,875 mile, soit 1,4 km, qui représente la longueur du tour à Iowa, l'ovale le plus petit sur lequel l'Indycar court, samedi prochain. 18 secondes, et le tour est bouclé. Ce succès dimanche dernier dans le Wisconsin est-il un bon présage pour Bourdais à Iowa? «Et non, c'est un ovale avec 20% de banking (inclinaison). Là, chacun peut prendre une ligne, selon le potentiel de sa voiture. Donc il y a du trafic, en bas, au milieu, en haut. C'est autre chose encore. Contrairement à la F1, notre championnat évolue sur des tracés très différents, urbains, routiers, ovales, petits ovales, avec banking ou pas, avec une qualité de revêtement très diverse. Parfois nous sommes sur des billards, parfois on évolue sur des bosses, avec un bitume si abrasif qu'il arrache nos gommes. En F1, le revêtement est plus uniforme. En Indycar, il est difficile de disposer d'une machine adaptée à tous les circuits.»
Carole CAPITAINE
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Cyril a écrit:En ce moment, c'est assez régulier en effet... Il ne faut pas prendre les résultats bruts pour juger un pilote, je ne t'apprends rien (j'espère).
Marlaga a écrit:Cyril a écrit:En ce moment, c'est assez régulier en effet... Il ne faut pas prendre les résultats bruts pour juger un pilote, je ne t'apprends rien (j'espère).
Non, c'est pour ça que je pose la question au lieu d'affirmer que c'est une chèvre, vu que je n'ai pas regardé les courses.
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