Hugues a écrit:https://editorial.rottentomatoes.com/article/lady-bird-just-broke-a-rotten-tomatoes-record-heres-what-greta-gerwig-has-to-say-about-that/
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Même si, l'histoire du cinéma le montre, un grand film n'a aucune corrélation avec un unanimisme critique (et son présentisme), bien au contraire.
Hugues
Marlaga a écrit:Ça devient aussi relou que...
Marlaga a écrit:Peut-être qu'un jour, tu comprendras que la réclame répétitive
Marlaga a écrit:me répondre d'un air dédaigneux et désapprobateur sur mon film sans iranien ou biélo-russe.
Hugues a écrit:Marlaga a écrit:me répondre d'un air dédaigneux et désapprobateur sur mon film sans iranien ou biélo-russe.
Peur de quoi? Serais-tu donc, même en ce domaine, poltron? (Attention un musulman derrière toi..)
Hugues a écrit:Marlaga a écrit:Peut-être qu'un jour, tu comprendras que la réclame répétitive
Mais je ne fais pas de réclame*. Je passe de ce qui me passe par la tête.
Ouais_supère a écrit:Hugues a écrit:
Elle est fascinante, cette nana.
En 3 secondes de ce gif animé passent sur son visage plus d'expressions que dans les carrières réunies de plusieurs centaines d'acteurs hollywoodiens.
Hugues a écrit:Ouais_supère a écrit:Hugues a écrit:
Elle est fascinante, cette nana.
En 3 secondes de ce gif animé passent sur son visage plus d'expressions que dans les carrières réunies de plusieurs centaines d'acteurs hollywoodiens.
"Cette nana" était à Paris hier, pour répondre gentiment à pleins de questions
En résumé, des humains français ont pu revérifier que ce n'était pas une simulation informatique. Et semble-t-il c'était au moins aussi bien que cette captation parisienne de ce phénomène astronomique de 2013.
Je pose ça là. Voilà voilà.
Hugues
Hugues a écrit:Le nouveau film de Richard Linklater, une sorte de suite, ou paraphrase de The Last Detail (La Dernière Corvée) de Hal Ashby, avec des personnages plus âgés et des circonstances différentes, mais il s'agit dans les deux cas de rallonger le voyage et de différer l'arrivée désagréable, et que le voyage comme le film change chacun, le spectateur comme les personnages:
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Avec Steve Carell, Bryan Cranston et Laurence Fishburne.
Trois hommes ayant servis dans la même unité de la Navy se retrouvent lorsque le fils de l'un d'eux est tué au combat. Le père du défunt va demander aux deux autres de l'accompagner aux funérailles.
In 2003, 30 years after they served together in the Vietnam War, former Navy Corps medic
Richard “Doc” Shepherd (Steve Carell) re-unites with ex-Marines Sal (Bryan Cranston)
and Mueller (Laurence Fishburne) on a different type of mission: to bury Doc’s son, a young
Marine killed in the Iraq War. Doc decides to forgo burial at Arlington Cemetery and, with the
help of his old buddies, takes the casket on a bittersweet trip up the East Coast to his home
in suburban New Hampshire. Along the way, Doc, Sal and Mueller reminisce and come to terms
with shared experiences of the war that continue to shape their lives. Director Richard Linklater
and author Darryl Ponicsan collaborated on the screenplay which follows the trio as they wrestle
with the pangs of war both past and present.
Le film sortira aussi en France.
horatio a écrit:Tiens j'ai pas vu de commentaires sur le film de Darren Aronofsky, "Mother". Vu hier soir, 1h30 de stress palpable, et une dernière demie heure totalement WTF.
Je ne peux pas dire si j'ai vraiment aimé ou pas, mais en tout cas ça ne laisse pas indifférent.
Ouais_supère a écrit:Tout un programme !
Sinon, petite vidéo sympa et sans prétention qui montre une proximité certaine entre Mad Max Fury Road et un vieux film de Buster Keaton, Le Mécano de la General :
Je recommande !
Marlaga a écrit:Après avoir vu "Y a t il un pilote dans l'avion", on ne peut plus regarder les "Airport" sérieusement.
Silverwitch a écrit:horatio a écrit: Darren Aronofsky,
Je sais pas, je ne regarde plus les films de ce monsieur.
Hugues dans le top 2015 a écrit:12.19 Krisha
Trey Edward Shults
(États-Unis)
(sortie française: inconnue)
Ce premier long-métrage, va trouver par le jeu même de la mise en scène et d'un travail remarquable sur le son, avant même qu'elle craquelle, l'inquiétante étrangeté de la politesse, des choses convenues, de l'hypocrisie des réconciliations décrétées.
De la folie des malades, mais aussi des sains d'esprit.
On trouve, dans un style certes tout autre, dans ce portrait familial oppressant en forme de huis-clos, les influence du Locataire, mais aussi sans doute un peu d'Altman, et de Cassavetes, et même peut-être de Bergman voire de Terrence Malick en ce film.
Anecdotiquement, avec ce film, expansion sur 1h23, d'un précédent court-métrage déjà salué l'année précédente, Shults a d'ores et déjà gagné, non seulement sa distribution aux États-Unis et au Royaume-Uni, mais par avance la production et la distribution de son second..
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