Asa Dotzler a écrit:"Today we have our first Firefox 1.0 candidate builds available for testing. You can get these test builds from FTP. If you've already downloaded 1.0 PR (the "feature complete" preview) and you're not really interested in testing and bug reporting, then you should probably stick with 1.0 PR for a couple more weeks and upgrade when we release the official Firefox 1.0.
The release candidates include about 250 bug fixes since Firefox 1.0 PR and we'd appreciate any feedback around any of those areas. With this release, we're also featuring Mozilla Foundation builds for up to two dozen locales (slowly trickling in. if you don't see your language, try back in a bit.) If you do find regressions from the Preview Release, please file bugs in Bugzilla and nominate them as Firefox 1.0 blockers using the "blocking-aviary1.0?" flag on the bug. Thanks for your help in testing Firefox!"
Firefox à l'abordage d'Internet Explorer
Lancé hier, ce navigateur libre vient menacer le quasi-monopole d'accès au Web, détenu par le géant du logiciel «propriétaire», Microsoft.
Par Erwan CARIO
Un air d'innovation plane sur l'Internet. Si l'arrivée d'un nouveau logiciel est rarement un événement mondial, la sortie, hier, de Firefox (1) pourrait relancer une technologie qui stagne depuis presque six ans. Le navigateur est l'élément clé qui permet d'accéder au Web. Avec Internet Explorer, et plus de 95 % du marché, Microsoft est aujourd'hui en situation de quasi-monopole. Or, depuis 1999 et la version 5.5 de son navigateur, la firme de Redmond s'est contentée du minimum et n'a plus fait évoluer les fonctionnalités de son produit.
Mais, depuis le 13 septembre, la version test de Firefox uniquement en anglais a été téléchargée plus de 8 millions de fois. «On s'attendait à 1 million en dix jours. Il y en a eu 2 millions», s'étonne Tristan Nitot, président de l'association de promotion du projet Mozilla Europe.
Irréversible. Le projet a pris racine le 31 mars 1998. Netscape, société qui propose, elle aussi, un navigateur, ne peut lutter contre la progression irréversible d'Internet Explorer installé par défaut dans Windows, et décide de rendre public son code source (ses secrets de fabrication). Une cinquantaine d'ingénieurs de Netscape continuent à faire évoluer le produit. Ils sont épaulés par d'autres développeurs, bénévoles (lire ci-contre). En juin 2002, une première version du navigateur est disponible. Elle ne rencontre qu'un succès mitigé auprès des utilisateurs.
En juillet 2003, AOL, devenu entretemps propriétaire de Netscape, décide de quitter le marché des navigateurs, licencie son équipe de développement et arrête de soutenir Mozilla. Les bénévoles ayant travaillé sur le navigateur libre se réunissent alors autour de la fondation Mozilla. «Nous ne devions plus seulement nous occuper de l'informatique, mais aussi de la distribution, de l'image et de la promotion de notre produit, se souvient Tristan Nitot. Nous avons décidé de créer un navigateur très simple à utiliser, convivial.» La mascotte, le dinosaure rouge un peu austère de Mozilla, laisse la place à un superbe panda rouge (2).
«Plus rapide». La semaine dernière, sur Liberation.fr, plus de 12 % des internautes utilisaient déjà Firefox. Ils n'étaient que 5 % au mois de janvier. La version définitive, rendue disponible hier matin aux alentours de 10 heures (heure française) en quatorze langues, dont le français, devrait donc s'imposer comme le concurrent majeur d'Internet Explorer. Pour y parvenir, la fondation ne lésine pas sur les moyens. Un appel, lancé pour assurer la promotion de Firefox, a permis de recueillir 250 000 dollars de dons. Ils ont, entre autres, servi à acheter une pleine page de publicité dans le New York Times. Du jamais vu dans la communauté du logiciel libre.
Les créateurs de Firefox restent cependant persuadés que leur meilleure publicité est le navigateur lui-même. «Par rapport à Explorer, Firefox constitue un bond technologique, explique Tristan Nitot. Il est plus rapide, plus pratique.» Il peut aussi bloquer les «pop-up» (fenêtres de publicité). Il est plus imperméable aux virus, aux logiciels espions, à tel point que le Cert, un organisme américain de sécurité informatique, a conseillé aux internautes de l'utiliser plutôt qu'Explorer. Les membres de la fondation Mozilla planchent déjà sur les prochaines évolutions de Firefox. Un impératif pour Tristan Nitot : «Il faut s'assurer que l'innovation ne s'arrête jamais.»
(1) http://www.mozilla.org ou http://www.mozilla-europe.org
(2) La version initiale de l'article parlait d'un renard. Suite à un surprenant flot de mails, nous corrigeons le tir : il s'agit d'un panda rouge, «firefox» en anglais.
Editorial Web
Collectivisme
Par Patrick SABATIER
L'utopie communiste de Karl Marx va-t-elle se réaliser à l'ère de la mondialisation, via une Internationale d'un nouveau genre dont la révolution culturelle se déroule dans le monde virtuel de l'Internet ? Le mouvement de l'open source, qui dissémine sur les réseaux ses logiciels libres, gratuits, sans droits de reproduction, et aussi peu de publicité que possible, reste méconnu du grand public. Mais c'est une lame de fond qui gagne en puissance auprès de tous ceux qui surfent sur l'océan virtuel.
La dernière action d'éclat de cette révolution, Firefox, tire son nom du film dans lequel Clint Eastwood dérobait aux Soviétiques un prototype d'avion de combat révolutionnaire, pour que le monde libre puisse le copier et combattre l'Empire du mal. Cette fois, une petite armée de techniciens, soutenus par des milliers de sympathisants, a coopéré pour créer un navigateur «libre», et combattre l'Empire Microsoft qui, fort de son monopole, a imposé à la quasi-totalité des ordinateurs de la planète son navigateur Explorer.
Tout aussi sûrement que les «pirates» qui échangent leurs fichiers ont déstabilisé l'industrie musicale, l'open source obligera à terme le mastodonte Microsoft à évoluer, sous peine de disparaître, comme les dinosaures remplacés par de petits mammifères plus agiles et mieux adaptés. C'est la face heureuse de l'Internet. Et l'union paradoxale (dialectique, diront les marxistes) de la concurrence libérale et du collectivisme : ou comment passer de «à chaque internaute selon ses moyens», à «à chaque internaute selon ses besoins»...
Web. A savoir
Qu'est-ce qu'unnavigateur ?
Le navigateur est le logiciel indispensable pour consulter les sites web et afficher texte et image. Le navigateur Firefox vient concurrencer l'Internet Explorer de Microsoft.
8 millions de téléchargements
pour la version de démonstration de Firefox en un peu plus de six semaines. Encore ultradominant, Explorer est passé de 95,5 % de part de marché en juin à 92,9 % la semaine dernière, selon la société d'études américaine WebSideStory.
Qu'est-ce qu'un logiciel libre ?
C'est un logiciel, comme Firefox, dont le code source (ses secrets de fabrication) est libre d'accès, contrairement à celui des logiciels «propriétaires». Chacun peut le copier ou le modifier selon ses besoins.[/b]
Web
Une communauté de développeurs «altruistes»
Employés de Mozilla, bénévoles ou salariés mis à disposition par leurs entreprises ont planché sur le projet.
Par Florent LATRIVE
peter Van der Beken est un Belge de 30 ans qui vit à Paris. Il est chômeur et l'un des artisans programmeurs à l'origine de Firefox, le navigateur web lancé hier pour «offrir une alternative» à Explorer de Microsoft. Chômeur ? La diversité des profils des contributeurs aux logiciels libres, catégorie à laquelle émarge Firefox, est l'une de leurs caractéristiques les plus étonnantes. Là où Microsoft et les éditeurs de logiciels «propriétaires» emploient classiquement des centaines ou des milliers de salariés pour mettre au point leurs programmes, les projets de logiciels libres réunissent une «communauté» éparpillée dans le monde, reliée par l'Internet, et aux motivations très diverses.
«Méritocratie». Dans le cas de Firefox, on trouve la quinzaine d'employés de la fondation à but non lucratif Mozilla (1), qui chapeaute le projet, mais aussi des bénévoles, comme Peter Van der Beken, et enfin des salariés, mis à disposition par certaines firmes pour plancher sur le projet. Soit, au total, près d'une centaine de programmeurs, auxquels s'ajoutent plusieurs milliers de volontaires, qui participent à des degrés divers : interventions ponctuelles, traduction ou corrections de bugs. Plus tous les utilisateurs convaincus qui assurent la promotion du projet via le Web.
Pour certains des bénévoles, l'implication dans un tel projet est une manière de prouver leur compétence. Car il ne suffit pas de savoir tapoter sur un clavier pour rejoindre l'équipe : les programmeurs les plus importants sont cooptés. «C'est une méritocratie, estime Peter Van der Beken. J'étais un amateur et cela m'a confronté à un projet de haut niveau, à d'autres programmeurs.» Au contraire de certains de ses camarades qui «souhaitent rester bénévoles pour conserver leur liberté», Peter aimerait à terme devenir salarié de la fondation Mozilla.
Du côté des entreprises qui financent la fondation ou y détachent des salariés, comme Sun ou IBM, l'objectif est plus prosaïque : faire pièce au quasi-monopole de Microsoft. «Il y a un effet d'aubaine, remarque l'économiste Nicolas Jullien. Ces entreprises contribuent à la production de biens publics industriels en se disant que, quitte à ne pas être le leader, autant coopérer pour éviter de se faire avoir.»
Pour Perline et Thierry Noisette, auteurs du livre la Bataille du logiciel libre (2), c'est «la complémentarité entre des développeurs "altruistes" (chercheurs, bidouilleurs, passionnés) et des entreprises contribuant à la vitalité des logiciels qu'elles utilisent en y affectant des ressources humaines et financières» qui assure le succès de ces projets.
Interprétations. Ce mélange entre bénévolat et visées commerciales, marchand et non-marchand, suscite également toutes les interprétations politiques. Certains voient dans les logiciels libres l'avènement du communisme, car le programme conçu est un bien public, sans propriétaire sourcilleux. D'autres y lisent l'essence même du libéralisme, car la concurrence entre développeurs est forte, et les monopoles sont menacés par ce mode de production. Selon Nicolas Jullien, «chacun y trouve son compte. Quand on est libéral, on va évoquer le darwinisme ; quand on est communiste, le partage. Dans tous les cas, l'idéologie renforce la collaboration».
(1) Outre Firefox, le principal projet de la fondation Mozilla est le logiciel d'e-mail Thunderbird.
(2) Perline et Thierry Noisette, la Bataille du logiciel libre, la Découverte, «Sur le vif», octobre 2004.
Web
L'offensive des logiciels libres
progressivement, les logiciels libres, dont Linux est l'exemple le plus connu, se nichent dans les ordinateurs. Ils sont adoptés par les géants de la profession comme IBM ou Oracle mais aussi par de gros clients comme la Bourse de New York, le Land de Bavière et plusieurs ministères en France. Selon une étude récente, ils font tourner 30 % des serveurs web et 25 % des serveurs d'entreprise dans le monde et s'attaquent maintenant au poste le mieux gardé, l'ordinateur de bureau, où les 3,2 % de part de marché de Linux pèsent encore peu face aux 93,9 % de Windows. Mais, là aussi, les choses changent avec la percée d'OpenOffice, qui vient menacer la «suite bureautique» Office de Microsoft et fonctionne même sous Windows.
Microsoft, qui qualifie désormais le libre de «défi» et non plus de «cancer» comme auparavant, a récemment réagi en ouvrant le code source d'Office à plus de soixante pays en gage de transparence, et casse ses prix auprès de ses gros clients en les mettant en garde contre le coût d'une migration massive vers Linux. Une contre-attaque qui n'empêche pas le géant du logiciel de s'inquiéter. «Dans le cas où les logiciels libres seraient de plus en plus adoptés, explique l'entreprise dans son rapport annuel à la SEC, le gendarme de la Bourse américaine, les ventes de nos produits pourraient décliner.»
Hugues a écrit:Firefox 1.0 est sorti ce matin à 9h.
La version française est sorti au même moment et est disponible directement depuis Mozilla.org et depuis Mozilla-Europe.org. Si votre navigateur est bien réglé, on vous le propose même le téléchargement de cette version française dès la page d'accueil.
Bon téléchargement.
Hugues
JMA a écrit:P'tite question, est-il possible d'installer Firefox sur une clé USB, si oui, est-ce qu'on peut garder ses favoris aussi sur la clé ?
Hugues a écrit:JMA a écrit:P'tite question, est-il possible d'installer Firefox sur une clé USB, si oui, est-ce qu'on peut garder ses favoris aussi sur la clé ?
JMA, tu me l'avais demandé en privé et je n'ai pris le temps de te répondre.. J'en suis désolé.
En fait, par de simples réglages bien choisis, il est facile d'adapter Firefox à un usage sur USB.
Mais pour te "mâcher le travail", voici un lien qui fera bientôt parti de mozdev.org:
http://johnhaller.com/jh/mozilla/portable_firefox/
C'est tout simplement la version officielle avec des réglages par défaut modifiés, et quelques utilitaires
Toutes les modifications sont détaillées ainsi que la manière d'installer les plugins et extensions dans cette configuration. Firefox est en anglais, mais j'expliquerai la manière de le passer en français.
Hugues
Green Hornet a écrit:et le nouveau Mozilla est prévu pour quand?
Orion a écrit:A noter la sortie de Mozilla Thunderbird 1.0 qui est le client de messagerie de la Fondation Mozilla.
Si vous utilisez encore Outlook Express, c'est le moment de changer.
Orion a écrit:Green Hornet a écrit:et le nouveau Mozilla est prévu pour quand?
Tu parle de la Suite Mozilla ? Et bien normalement il n'y aura plus que des corrections de bug dans la 1.8 et 1.9. La Suite Mozilla 2.0, quant à elle, sera composé de Firefox et Thunderbird (et peut etre meme Nvu et Sunbird).
Garion a écrit:Pourquoi le jeu "Isketch" en Shockwave me plante régulièrement (toute les 5mn) Firefox alors qu'il fonctionne sans problème sur IE6 ?
C'est pourtant le même plugin qui prend en charge l'appli Shockwave.
Hugues a écrit:Garion a écrit:Pourquoi le jeu "Isketch" en Shockwave me plante régulièrement (toute les 5mn) Firefox alors qu'il fonctionne sans problème sur IE6 ?
C'est pourtant le même plugin qui prend en charge l'appli Shockwave.
De ce que j'ai pu lire, le problème est la responsabilité de Macromedia qui le connait. Un problème de dépassement de buffer dans certaines rares circonstances (créées malheureusement par Isketch) dans la routine de communication du plugin en mode Netscape (car il y a depuis l'invention des plugins navigateurs deux façons de communiquer entre un navigateur et son plugin, le mode Microsoft et le mode Netscape - utilisé par tous les navigateurs sauf IE..) Bref il faudra attendre la mise à jour de Shockwave.
Hugues
Bob Cramer a écrit:Une question à propos de Thunderbird (que j'utilise)... est-ce qu'il existe une extension ou une fonction dans les filtre qui permet de rediriger automatiquement vers une autre adresse ?
Pourquoi sur Firefox, lorsqu'on va dans l'administration des utilisateurs d'un forum phpbb, on se retrouve avec son propre nom d'utilisateur à la place de celui qu'on veut éditer ?
Pourquoi, toujours sur Firefox, les smileys ne se mettent pas à l'endroit du curseur dans une réponse dans un forum phpbb, mais à la fin ?
C'est tout
Hugues a écrit:Bob, pour l'extension est-ce bien d'un transfert (un forward) que tu souhaitais trouver dans les filtres ou un renvoi du mail tel qu'il est (sans ajout du Fwd:) ...
Le second est plus difficile à programmer que le premier à première vue.
Hugues
Hugues a écrit:[...]
FireFox décroche aussi un article dans Die Welt. Et aura grâce aux dons de la communauté dans les prochains jour une publicité pleine page dans le New York Times et dans un journal allemand.
Hugues
clubic.com a écrit:
http://www.clubic.com/actualite-17846-i ... times.html
Influence de la pub Firefox dans le New York Times
Publié le 24/12/2004 à 11:08 par Vincent
La semaine dernière, la fondation Mozilla a pu publier, grâce aux contributions de la communauté Open-Source, deux pleines pages de publicité dans le célèbre quotidien américain, le New York Times.
D'après les dires de la fondation, cette publicité aurait eu un impact assez important puisque 700 000 téléchargements (dont 200 000 samedi et dimanche dernier, 500 000 lundi et mardi) auraient été enregistrés en l'espace de quatre jours après la publication de la publicité.
A présent, Mozilla clame que son navigateur a été téléchargé plus de 12 millions de fois. Dernièrement, une étude a indiqué que Firefox était à présent employé par 7.4% des Internautes contre 5% en mai dernier, alors que le taux d'utilisation d'Internet Explorer est passé de 93.9% en mai à 88.9% en novembre. Firefox est donc bien parti pour remplir son objectif, à condition que cette nouvelle tendance se confirme en 2005.
La fondation pense publier d'autres publicités, notamment en Europe, pour faire la promotion de Firefox. Rappelons que vous pouvez télécharger Firefox sur Clubic en suivant ce lien.
JMA a écrit:Tout va bien pour FireFox !
Publié le 29/12/2004 par Alexandre F - Source : Silicon.fr
[...]
De plus et c'est probablement la plus grande victoire de Mozilla, le deuxième constructeur mondial de PC, Hewlett Packard a annoncé cette semaine la reconnaissance de FireFox comme un logiciel de navigation, le situant ainsi au même niveau qu'Internet Explorer. HP considère FireFox comme un navigateur plus rapide et plus sécuritaire que ses concurrents. Ainsi, ce dernier est maintenant le navigateur standard chez HP.
[...]
( http://actu.pcastuces.com/afficheactu.asp?Id=765 )
JMA a écrit:JMA a écrit:Tout va bien pour FireFox !
Publié le 29/12/2004 par Alexandre F - Source : Silicon.fr
[...]
De plus et c'est probablement la plus grande victoire de Mozilla, le deuxième constructeur mondial de PC, Hewlett Packard a annoncé cette semaine la reconnaissance de FireFox comme un logiciel de navigation, le situant ainsi au même niveau qu'Internet Explorer. HP considère FireFox comme un navigateur plus rapide et plus sécuritaire que ses concurrents. Ainsi, ce dernier est maintenant le navigateur standard chez HP.
[...]
( http://actu.pcastuces.com/afficheactu.asp?Id=765 )
Firefox dans les ordinateurs HP
Publié le 13/01/2005 par Julien - Source : Indexel
Firefox Le numéro deux mondial de l'ordinateur de bureau, HP, vient d'annoncer que ses futures gammes d'ordinateurs intégreront Firefox comme navigateur par défaut en lieu et place d'Internet Explorer de Microsoft. Un signe de plus de la rapide montée en puissance de ce navigateur, si besoin était.
Petit problème, le site internet HP n'est pas totalement compatible avec le navigateur Firefox. HP en a donc profité pour annoncer que ces derniers soucis allaient être corrigés : manquerait plus que les ordinateurs HP ne puissent se rendre sur le site internet de HP...
Firefox représente aujourd'hui près de 10% de parts de marché, grapillés à Internet Explorer. Sur Présence PC, il représente déjà près de 30% des utilisateurs, plus à l'aise avec l'informatique que la moyenne.
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