Parce que je pense qu'il y a des sujets, des échanges, qui ont fait loupes sur des dissonances qui ne reflète pas tout ce que nous sommes. Parce qu'il y a des mots qui ont oublié que nous nous connaissions aussi, malgré tout.
Parce que tout cela fait aussi parfois oublier l'essentiel.
Bonne année à chacun, prolixe ou silencieux, tant que la tradition nous en accorde encore le temps, puissiez-vous y trouver un peu des perspectives que vous mettez en elles.
C'était sans doute la première chose que nous aurions dû nous dire.
Hugues