On n'écrit pas.... mais on écrit...

[Hugues]

Et bien renseigne toi....

"Éh bien"

« eh bien » ou « et bien » ?

N’écrivez pas la locution « eh bien » comme si elle contenait la conjonction de coordination « et ».

Hugues

[Marlaga]

"Éh bien"

« eh bien » ou « et bien » ?

N’écrivez pas la locution « eh bien » comme si elle contenait la conjonction de coordination « et ».

Hugues

Non seulement tu te permets de corriger une faute minime alors que tu en fais des énormes de plus en plus souvent, mais tu arrives à y ajouter une faute avec un accent qui n'existe pas. Chapeau l'artiste.

[Rainier]

"Éh bien"



Hugues

Non seulement tu te permets de corriger une faute minime alors que tu en fais des énormes de plus en plus souvent, mais tu arrives à y ajouter une faute avec un accent qui n'existe pas. Chapeau l'artiste.

"éh bien" n'existe pas mais on peut dire ou écrire "hé bien" (c'est surement ce que voulait Hugues )

D'après le Littré :
Les grammairiens ont essayé de distinguer hé et eh ; mais leurs distinctions sont fort arbitraires. Il n'y a pas de différence dans la prononciation ; et, quant à l'orthographe, comme elle n'est fondée sur rien du tout, chacun écrit à sa fantaisie eh ou hé.

Hé bien ! contentez donc l'orgueil qui vous enivre. (BOILEAU)
Hé bien ! madame, hé bien ! il faut vous obéir. (RACINE)

[Hugues]

"Éh bien"



Hugues

Non seulement tu te permets de corriger une faute minime alors que tu en fais des énormes de plus en plus souvent, mais tu arrives à y ajouter une faute avec un accent qui n'existe pas. Chapeau l'artiste.

"éh bien" n'existe pas mais on peut dire ou écrire "hé bien" (c'est surement ce que voulait Hugues )

D'après le Littré :
Les grammairiens ont essayé de distinguer hé et eh ; mais leurs distinctions sont fort arbitraires. Il n'y a pas de différence dans la prononciation ; et, quant à l'orthographe, comme elle n'est fondée sur rien du tout, chacun écrit à sa fantaisie eh ou hé.

Hé bien ! contentez donc l'orgueil qui vous enivre. (BOILEAU)
Hé bien ! madame, hé bien ! il faut vous obéir. (RACINE)

Non on peut écrire les trois: eh bien, éh bien, et hé bien. Et un certain monsieur au dessus, pas Rainier, devrait s'abstenir de faire maître Capello, juste parce que c'est moi qui fais la correction. Puisqu'il a tort.

Qu'on aille par exemple lire les éditions originales de Maupassant (j'en ai eu l'occasion il y a encore 5 ou 6 mois pour des recherches), de Hugo, ou avant de Beaumarchais et Marivaux, pour découvrir, qu'il y a un peu plus d'un siècle (ou respectivement deux) "éh bien" était bien orthographié avec un accent.
D'où vient la disparition progressive de l'accent ? Eh bien tout simplement des majuscules/capitales (et des claviers aussi), le mot se trouvant la plupart du temps en tête de phrase. Donc oui, j'ai le droit de l'écrire tout comme il était écrit: éh bien. Tout comme j'ai le droit d'écrire Oignon plutôt que l'officiel Ognon. Tout comme j'ai le droit d'écrire toute sorte de mot sous leur ancienne forme pour souligner leur racine, comme ça m'arrive régulièrement.

Par contre non, on écrit pas "et bien" qui montre qu'on est un ignare, puisqu'on prête l'existence d'une coordination qui n'existe pas entre ce qui précède et un "bien" isolé qui n'a aucun sens.

Quant à quelque erreur d'étourderie que Maitre Capello me reproche, parce que j'ai effacé et réécrit mes phrases et ne me suis pas relu (erreur similaire à l'oubli d'un accord ou d'un s), ça montre la hauteur de ses arguments.
Ecrire "et bien" n'a rien à voir avec une absence de relecture.

Hugues (militant anti "et bien" et "voire même" de longue date)

[Rainier]

"Éh bien"



Hugues

Non seulement tu te permets de corriger une faute minime alors que tu en fais des énormes de plus en plus souvent, mais tu arrives à y ajouter une faute avec un accent qui n'existe pas. Chapeau l'artiste.

"éh bien" n'existe pas mais on peut dire ou écrire "hé bien" (c'est surement ce que voulait Hugues )

D'après le Littré :
Les grammairiens ont essayé de distinguer hé et eh ; mais leurs distinctions sont fort arbitraires. Il n'y a pas de différence dans la prononciation ; et, quant à l'orthographe, comme elle n'est fondée sur rien du tout, chacun écrit à sa fantaisie eh ou hé.

Hé bien ! contentez donc l'orgueil qui vous enivre. (BOILEAU)
Hé bien ! madame, hé bien ! il faut vous obéir. (RACINE)

Quand à quelque erreur d'étourderie que Maitre Capello me reproche,

Hé oui, tu es vraiment bel et bien un gros étourdi !

[Hugues]

Pour une fois hein...

Recherche de "quant"

(damned il y en a aussi plein dans les forums de modération que vous verrez même pas !)

Hugues

[bravonadir]

Recherche de "quant"

Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher

http://www.qwant.com ?

[Marlaga]

"Éh bien"



Hugues

Non seulement tu te permets de corriger une faute minime alors que tu en fais des énormes de plus en plus souvent, mais tu arrives à y ajouter une faute avec un accent qui n'existe pas. Chapeau l'artiste.

"éh bien" n'existe pas mais on peut dire ou écrire "hé bien" (c'est surement ce que voulait Hugues )

D'après le Littré :
Les grammairiens ont essayé de distinguer hé et eh ; mais leurs distinctions sont fort arbitraires. Il n'y a pas de différence dans la prononciation ; et, quant à l'orthographe, comme elle n'est fondée sur rien du tout, chacun écrit à sa fantaisie eh ou hé.

Hé bien ! contentez donc l'orgueil qui vous enivre. (BOILEAU)
Hé bien ! madame, hé bien ! il faut vous obéir. (RACINE)

Non on peut écrire les trois: eh bien, éh bien, et hé bien. Et un certain monsieur au dessus, pas Rainier, devrait s'abstenir de faire maître Capello, juste parce que c'est moi qui fais la correction. Puisqu'il a tort.

Qu'on aille par exemple lire les éditions originales de Maupassant (j'en ai eu l'occasion il y a encore 5 ou 6 mois pour des recherches), de Hugo, ou avant de Beaumarchais et Marivaux, pour découvrir, qu'il y a un peu plus d'un siècle (ou respectivement deux) "éh bien" était bien orthographié avec un accent.
D'où vient la disparition progressive de l'accent ? Eh bien tout simplement des majuscules/capitales (et des claviers aussi), le mot se trouvant la plupart du temps en tête de phrase. Donc oui, j'ai le droit de l'écrire tout comme il était écrit: éh bien. Tout comme j'ai le droit d'écrire Oignon plutôt que l'officiel Ognon. Tout comme j'ai le droit d'écrire toute sorte de mot sous leur ancienne forme pour souligner leur racine, comme ça m'arrive régulièrement.

Par contre non, on écrit pas "et bien" qui montre qu'on est un ignare, puisqu'on prête l'existence d'une coordination qui n'existe pas entre ce qui précède et un "bien" isolé qui n'a aucun sens.

Quant à quelque erreur d'étourderie que Maitre Capello me reproche, parce que j'ai effacé et réécrit mes phrases et ne me suis pas relu (erreur similaire à l'oubli d'un accord ou d'un s), ça montre la hauteur de ses arguments.
Ecrire "et bien" n'a rien à voir avec une absence de relecture.

Hugues (militant anti "et bien" et "voire même" de longue date)

Pour écrire quand, tu as écrit "qu'en". Deux fois. Ce n'est plus de l'étourderie ou de l'absence de relecture, c'est du barbarisme.

Quant à ton Éh, il n'existe pas (ou il n'existe plus, si tu préfères, mais je doutes que tu parlasses le vieux françois).

[Hugues]

Quant à ton Éh, il n'existe pas (ou il n'existe plus, si tu préfères, mais je doutes que tu parlasses le vieux françois).

Éh bien non puisque ça n'est pas du vieux françois.

Pour le reste de ton propos... C'est tout aussi absurde que ton emploi erroné et incorrect du subjonctif imparfait.
N'est pas maître Capello qui veut.

Hugues (et je t'épargne la conjugaison douteuse de douter gentiment attribuée à la non relecture... )
PS: Bénéfice que tu ne m'accordes pas alors que tu sais fort bien que toute relecture m'aurait été bénéfique et que cette graphie n'est pas intentionnelle.

[B.Verkiler]

S'il avait relu, aurait-il posté ? Les plus indulgents diront non.

[Hugues]

J'ajoute que pour retranscrire l'expression (ridicule souvent, et d'autant plus quand la phrase s'arrête à ce verbe, car la forme correcte devrait préciser "de + quoi"):

"c'est abuser"

j'écris bien

"c'est abuser"

et pas l'ignare "c'est abusé"

même si maintenant il faudrait parait-il l'écrire incorrectement "c'est abusé".

Ca n'est pas non plus que j'écrive du vieux françois.

C'est que la grammaire commande "c'est abuser" et que je me moque que la masse des années 80, 90 et 2000, du fait qu'elle ait fait cette faute de français ait imposé l'emploi du participe passé.

J'écris simplement le français tel que je l'estime correct. Point.

Maintenant il est intéressant de relever, qui sur le forum écrit l'erroné mais accepté par découragement "c'est abusé".

Hugues ("éh bien", "c'est abuser", "voire même")

[Aym]

Sur le "c'est abusé", l'emploi de "c'est gonflé" te choque ou pas ?
Il me semble que c'est la même construction.

[B.Verkiler]

Gonflé est ici un adjectif. "C'est gonflé", même construction que "c'est beau". Abuser est là en tant que verbe. "C'est abuser", même construction que "c'est se jeter dans la gueule du loup".

[Rainier]

J'ai une collègue, pas con du tout je précise, qui m'a assuré qu'on pouvait dire en bon français "cela s'est avéré faux" ...
Ce qui voudrait dire selon elle : "Cela s'est révélé vrai que c'était faux" .

Quand pensait vous ?



Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher

c'est bon, je sais qu'il faut écrire "qu'en pensez-vous ?", on peut déconner non ?

[Aym]

Gonflé est ici un adjectif. "C'est gonflé", même construction que "c'est beau". Abuser est là en tant que verbe. "C'est abuser", même construction que "c'est se jeter dans la gueule du loup".

Oui, mais "abusé" peut être employé comme adjectif aussi non ? (je n'ai pas d'avis précis sur la question)

[Hugues]

Sur le "c'est abusé", l'emploi de "c'est gonflé" te choque ou pas ?
Il me semble que c'est la même construction.

Non. Je vois pas la comparaison.

Gonflé c'est bien un participe passé. C'est un état d'être gonflé.
Une personne gonflée. Un pneu gonflé.

Ca n'a rien à voir avec la phrase par exemple:
"Ce n'est pas lever la voiture avec le cric qui est difficile. C'est gonfler les pneus."



Pour abuser, il a dans le cas qui nous intéresse a le sens:
"Abuser de" = user en mal ou avec excès. Abuser de sa force ; abuser d'une personne; abuser de la gentillesse de...
Et non de "Abuser quelqu'un" = le tromper, le duper. Abuser quelqu'un avec des mensonges.

Quand on écrit "c'est abusé/abuser", la personne n'est pas dupée, trompée. D'ailleurs le Ce du C'est ne qualifie pas la personne.
Quand on écrit "c'est abusé/abuser", c'est le fait commis qui est qualifié par le "ce", raccourci de "Cela". Ca signifie "Cela est abuser que de faire ceci."
Par ailleurs au contraire de la deuxième forme qui peut se mettre au participé passé en certain cas, la première n'accepte que l'infinitif.

Exemples:
a) "Il m'a fait une queue de poisson. C'est abuser."
= "C'est abuser que de faire une queue de poisson."
= "Il faut abuser pour (avoir l'effronterie/outrecuidance de) faire une queue de poisson."

b) "Il m'a fait une queue de poisson. C'est gonflé."
= "Il faut être gonflé (une personne gonflée) pour faire une queue de poisson."

On ne peut pas dire que c'est une personne abusée, car elle n'est pas dupée. On ne peut donc pas employer l'exemple b "il faut être abusé" pour abuser.
Ou pour le dire en une phrase. Pour entendre "c'est abuser", il faut "abuser" et non "être abusé".

Hugues (en fait l'explication la plus claire est sur la fin avec les exemples a/b, je sais )

[B.Verkiler]

Gonflé est ici un adjectif. "C'est gonflé", même construction que "c'est beau". Abuser est là en tant que verbe. "C'est abuser", même construction que "c'est se jeter dans la gueule du loup".

Oui, mais "abusé" peut être employé comme adjectif aussi non ? (je n'ai pas d'avis précis sur la question)

Certes, mais pour moi, "abuser" veut dire "exagérer", au moins dans cette expression, alors que "abusé" veut dire "trompé", "roulé" ou quelque chose d'équivalent, mais plus exagéré.

Une question plus difficile, c'est est-ce qu'il faut écrire "C'est exagérer" ou bien "C'est exagéré". Et là je pense que ça dépend de la phrase sur laquelle on rebondit, et à mon avis c'est plus une question de style que de grammaire.

[B.Verkiler]

Il y a de l'écho sur ce topic.

[Aym]

ok, merci à vous 2

[sccc]

"Éh bien"

« eh bien » ou « et bien » ?

N’écrivez pas la locution « eh bien » comme si elle contenait la conjonction de coordination « et ».

Hugues

Non seulement tu te permets de corriger une faute minime alors que tu en fais des énormes de plus en plus souvent, mais tu arrives à y ajouter une faute avec un accent qui n'existe pas. Chapeau l'artiste.

Et toi, comme d’habitude, tu sors une attaque ad hominem.

[Cortese]

La vérité si je mens, ça s'est avéré faux !

[Maverick]

Gonflé est ici un adjectif. "C'est gonflé", même construction que "c'est beau". Abuser est là en tant que verbe. "C'est abuser", même construction que "c'est se jeter dans la gueule du loup".

Oui, mais "abusé" peut être employé comme adjectif aussi non ? (je n'ai pas d'avis précis sur la question)

Je le vois comme ça perso.

[Hugues]

Bah non.
Abusé en tant que participe passé, c'est être dupé, trompé.
C'est dupé, trompé, ça ne veut rien dire.

Mais tu as le droit de l'écrire "abusé", car c'est accepté désormais.
Mais c'est incorrect grammaticalement.

Hugues

[Shoemaker]

C'est abuser de la situation que de (se) tirer une nana saoule. Elle a été abusée. On a abusé de sa faiblesse.
C'est exagéré ?
Ce n'est pas exagéré, de proposer un tel exemple machiste.
Ce n'est pas exagérer que de proposer un tel exemple machiste.
(la virgule (ou son absence) est subtilement parlante)

[B.Verkiler]

Le mieux c'est de ne pas l'utiliser cette expression, ni à l'oral ni à l'écrit. Franchement, elle est moche, et comme elle semble devenue quasiment obligatoire au même titre que le "C'est juste" (trop bien, pas possible, du bonheur...) d'il y a quelques temps, elle connaitra le même sort. Donc ne prenez pas le risque d'être le premier à passer pour un con ringard avec cette expression très datée.

[Waddle]

Sur le "c'est abusé", l'emploi de "c'est gonflé" te choque ou pas ?
Il me semble que c'est la même construction.

Non. Je vois pas la comparaison.

Gonflé c'est bien un participe passé. C'est un état d'être gonflé.
Une personne gonflée. Un pneu gonflé.

Ca n'a rien à voir avec la phrase par exemple:
"Ce n'est pas lever la voiture avec le cric qui est difficile. C'est gonfler les pneus."



Pour abuser, il a dans le cas qui nous intéresse a le sens:
"Abuser de" = user en mal ou avec excès. Abuser de sa force ; abuser d'une personne; abuser de la gentillesse de...
Et non de "Abuser quelqu'un" = le tromper, le duper. Abuser quelqu'un avec des mensonges.

Quand on écrit "c'est abusé/abuser", la personne n'est pas dupée, trompée. D'ailleurs le Ce du C'est ne qualifie pas la personne.
Quand on écrit "c'est abusé/abuser", c'est le fait commis qui est qualifié par le "ce", raccourci de "Cela". Ca signifie "Cela est abuser que de faire ceci."
Par ailleurs au contraire de la deuxième forme qui peut se mettre au participé passé en certain cas, la première n'accepte que l'infinitif.

Exemples:
a) "Il m'a fait une queue de poisson. C'est abuser."
= "C'est abuser que de faire une queue de poisson."
= "Il faut abuser pour (avoir l'effronterie/outrecuidance de) faire une queue de poisson."

b) "Il m'a fait une queue de poisson. C'est gonflé."
= "Il faut être gonflé (une personne gonflée) pour faire une queue de poisson."

On ne peut pas dire que c'est une personne abusée, car elle n'est pas dupée. On ne peut donc pas employer l'exemple b "il faut être abusé" pour abuser.
Ou pour le dire en une phrase. Pour entendre "c'est abuser", il faut "abuser" et non "être abusé".

Hugues (en fait l'explication la plus claire est sur la fin avec les exemples a/b, je sais )

[Waddle]

Gonflé est ici un adjectif. "C'est gonflé", même construction que "c'est beau". Abuser est là en tant que verbe. "C'est abuser", même construction que "c'est se jeter dans la gueule du loup".

Oui, mais "abusé" peut être employé comme adjectif aussi non ? (je n'ai pas d'avis précis sur la question)

Je le vois comme ça perso.

C'est parce qu'on a déjà trop l'habitude. Mais Hugues a raison et sa démo est magistrale.

Ca ne veut rien dire que quelque chose soit "abusé". Par contre, une action peut être courageuse, gonflée, lâche, etc...
On peut donc dire "C'est gonflé", mais dire "C'est abusé" voudrait dire que l'action est abusée, ce qui ne veut rien dire. C'est l'action d'abuser qui veut dire quelque chose.

Mais au final, BV a raison, cette expression est moche de tout façon, surtout dans la bouche de nos djeuns qui en plus le disent ainsi "C'est trop abusé la vie d'ma mère".

[Shoemaker]

Le mieux c'est de ne pas l'utiliser cette expression, ni à l'oral ni à l'écrit. Franchement, elle est moche, et comme elle semble devenue quasiment obligatoire au même titre que le "C'est juste" (trop bien, pas possible, du bonheur...) d'il y a quelques temps, elle connaitra le même sort. Donc ne prenez pas le risque d'être le premier à passer pour un con ringard avec cette expression très datée.

Pas mieux

[Shoemaker]

La mode, c'est ce qui fatalement se démode.

[Ghinzani]

La mode, c'est ce qui fatalement se démode.

Et qui revient....

[Cortese]

La petite fille de ma compagne danse la Macarena Une merde qui était déjà insupportable en 1993 et qui revient !

[Silverwitch]

Le mieux c'est de ne pas l'utiliser cette expression, ni à l'oral ni à l'écrit. Franchement, elle est moche, et comme elle semble devenue quasiment obligatoire au même titre que le "C'est juste" (trop bien, pas possible, du bonheur...) d'il y a quelques temps, elle connaitra le même sort. Donc ne prenez pas le risque d'être le premier à passer pour un con ringard avec cette expression très datée.

J'avoue !

[Maschum]

Le mieux c'est de ne pas l'utiliser cette expression, ni à l'oral ni à l'écrit. Franchement, elle est moche, et comme elle semble devenue quasiment obligatoire au même titre que le "C'est juste" (trop bien, pas possible, du bonheur...) d'il y a quelques temps, elle connaitra le même sort. Donc ne prenez pas le risque d'être le premier à passer pour un con ringard avec cette expression très datée.

Grave. T'as trop raison

[Aym]

J'avoue !

toi aussi, ça t'énerve, le "j'avoue"?

[heow]

Mais nonnnnnnnnnnn ! De FOU ce topic. J'me mets direct en mode lecture quoi.

[Silverwitch]

Mais nonnnnnnnnnnn ! De FOU ce topic. J'me mets direct en mode lecture quoi.

Je suis au bout de ma vie.

[heow]

Mais nonnnnnnnnnnn ! De FOU ce topic. J'me mets direct en mode lecture quoi.

Je suis au bout de ma vie.

Au BDR tu voulais dire.
En tout cas Hugues il est carrément DETER.

[Silverwitch]

Mais nonnnnnnnnnnn ! De FOU ce topic. J'me mets direct en mode lecture quoi.

Je suis au bout de ma vie.

Au BDR tu voulais dire.
En tout cas Hugues il est carrément DETER.

[Garion]

Par contre non, on écrit pas "et bien" qui montre qu'on est un ignare, puisqu'on prête l'existence d'une coordination qui n'existe pas entre ce qui précède et un "bien" isolé qui n'a aucun sens.

[Shoemaker]

"Stylé", ça passe encore, ou c'est déjà top ringard ?