Re: Football 2016-2017
Posté: 09 Mai 2017, 21:32
2-0, là c'est mort de chez mort. Pff.
Maschum a écrit:2-0, là c'est mort de chez mort. Pff.
Maschum a écrit:Grr, dommage mais la Juve était au dessus.
Faudrait pas qu'ils fassent une 2004, les monegasques, maintenant.
iceman46 a écrit:Maschum a écrit:Grr, dommage mais la Juve était au dessus.
Faudrait pas qu'ils fassent une 2004, les monegasques, maintenant.
tu n'a pas l'impression de parler seul dans ce topic
sheon a écrit:C'était prévisible, mais bon, dommage quoi, il y avait de grosses occasions lors des deux matchs, mais zéro réussite. Une qualification en finale aurait été un exploit, de toute façon.
sheon a écrit:C'était prévisible, mais bon, dommage quoi, il y avait de grosses occasions lors des deux matchs, mais zéro réussite. Une qualification en finale aurait été un exploit, de toute façon.
sheon a écrit:Je mets une pièce sur une victoire de la Juve, c'est vraiment très solide.
Et je croise les doigts pour le ballon d'or à Buffon, ça serait génial et tellement mérité.
Maschum a écrit:Grosse intensité !
Juve-Real je serais pour la Juve aussi.
Si c'est contre l'Athletico, ils mériterait aussi carrément pour recomposer leurs dernières années exceptionnelles.
Bon, 1 but du Réal et l'Athletico devrait en marquer 3 supplémentaires...
Challenges a écrit:Audiovisuel
LE FAIT DU JOUR
Ligue des champions -Ligue Europa: les secrets de la stratégie gagnante de SFR Sport
Le 11.05.2017 à 11h59
SFR a remporté la totalité des droits de retransmission télé en France de la Ligue des champions et de la Ligue Europa pour la période 2018-2021. Un énorme coup face à Canal+ et beIn Sports. Le directeur général de SFR Sport, François Pesenti, explique sa stratégie.
François Pesenti ne bluffait pas. Challenges l'avait vu le 26 avril dernier. Le directeur général de SFR Sport et RMC Sport nous avait assuré en off qu'il préparait un gros coup. On y avait vu une ficelle pour tromper le journaliste crédule. D'autant plus que Canal+ avait entre-temps conservé la F1 au nez et à la barbe de son groupe justement. Et puis là, d'un coup, le feu d'artifice pour le groupe de Drahi: la Ligue des Champions et la Ligue Europa pour 3 ans à compter de 2018 pour la coquette somme de 350 millions d'euros par an. C'est un sacré coup dur pour Canal+ et BeIn Sports qui déboursaient jusque-là respectivement 50 millions d'euros par saison et 90 millions d'euros par an pour le reste de la compétition.
Une prise bien plus importante que ce dont SFR Sport avait acquis jusque là: championnat portugais de football, la Pro A, la Premiership anglaise (rugby). Même la sacro-sainte Premier League, ravie à Canal+ en 2016 pour 100 millions d'euros par an jusqu'en 2020, ferait pâle figure à côté. Le directeur général de SFR Sport nous expliquait la stratégie de son groupe. "L'objectif à moyen terme est d'être le diffuseur payant le plus diffusé, celui disponible dans le maximum de foyers. C'est pour cela que nous sommes partis dans une stratégie de distribution ouverte qui s'appuie également sur nos 20 millions d'abonnés. C'est un message fort à l'attention des ayants-droits. Nous avons l'ambition d'être le groupe de média qui regroupera le plus grand nombre d'abonnés éligibles aux offres payantes".
Quelle rentabilité pour cet investissement colossal?
Déjà pointait l'augmentation des droits sportifs. "Le groupe a manifesté l'intention d'élargir sa palette en termes de droits. Je ne peux m'exprimer sur les appels d'offres en cours. Je pense que nous avons vocation à devenir l'une des plus grosses entités audiovisuelles à terme en France de part la variété des traitements du sport que nous pouvons proposer". Pour l'instant SFR Sport s'estime "dans les temps de passage" en termes d'audience avec ce qui était attendu de la chaîne. "On a eu les premiers chiffres du médiamètre thématique qui pour un lancement de chaîne partant de zéro l'été dernier, a été très encourageant détaillait François Pesenti. Le bouquet SFR Sport, qui est disponible pour l'instant pour nos 6 millions d'abonnés fixes et quelques millions mobiles, regroupe déjà un nombre significatifs de téléspectateurs. Il rassemble plus de 3,5 millions et demi de téléspectateurs chaque mois, essentiellement apporté par la chaîne SFR Sport 1 sur laquelle sont diffusés nos meilleurs événements dont la Premier League. Des affiches qui culminent à quasiment 300.000 téléspectateurs, c'est très satisfaisant pour notre surface de diffusion".
Reste que la prise de choix a un coût: le double quasiment de ce que payait BeIn Sports et Canal+ pour les mêmes droits jusque là. Il faudra rentabiliser ces acquisitions alors que les négociations de distribution sont toujours en cours avec Orange, Free, Vivendi ou Bouygues. Elle n'ont toujours pas abouties depuis août dernier. Et la question de la rentabilité de SFR Sport risque de se poser à court terme avec de tels niveaux d'investissements. "Nous n'avons pas cette pression là, ce n'est pas une "business-unit" qui doit générer son chiffre élude le directeur général de SFR Sport. Je le vois plutôt comme un élément exclusif embarqué dans l'offre pour tous nos abonnés. Vu comme cela, ce n'est pas la recherche de rentabilité à court terme. Le groupe sait parfaitement pourquoi il développe du contenu, c'est le modèle qui fonctionne dans le monde entier pour que les distributeurs s'encrent et se développent. On n'apporte pas que de la connectivité mais des contenus attractifs. C'est confortable pour nous car c'est motivant d'être dans une stratégie globale avec un potentiel important".
"Rêver moins grand" pour BeIn Sports
Reste la possibilité pour le groupe de tout miser sur l'offre en ligne lancé à l'automne dernier. Si elle connaît un succès réel, ces problèmes techniques le sont aussi pour les abonnés. "C'est vrai qu'il y a pu avoir des problèmes techniques répond François Pesenti. Ils sont souvent liés au succès de l'offre. Quand les serveurs ont du mal à suivre, c'est parce qu'il y a beaucoup de demandes. Ce sont plutôt de bons problèmes. Les équipes de SFR règlent cela très vite en général et c'est une force du groupe de pouvoir s'appuyer sur la technologie du groupe SFR".
Le groupe va diffuser sous peu la Coupe des confédérations en juin prochain. L'intégralité des rencontres, rachetées récemment à TF1. Mais que ses concurrents se rassurent: SFR Sport n'adoptera pas la stratégie initiale ultravorace de sa concurrente quatarie: à savoir acheter tous les droits à n'importe quel prix. "Le plus efficace c'est d'offrir une offre complète dans certains sports déterminés sur la durée que d'aller butiner dans tous les sports. Nous limiterons à 4 ou 5 grands sports et nous ferons de l'événementiel sur une discipline donné". Pas certain que cela remonte le moral du côté de Vivendi-Orange où la rumeur d'une alliance perçait ou encore de Doha où on doit faire triste mine. D'autant plus que le PSG ne sera pas champion cette année. Apprendre à "rêver moins grand" en somme.
Feyd a écrit:Et pendant ce temps, SFR se déleste de milliers d'emplois.
sheon a écrit:echoes a écrit:Le titre est quasiment gagné pour Monaco.
Il ne reste que 8 journées et ils ont 3pts d'avance (4 en comptant le goal-average qui leur est largement favorable). Ils ont donc le droit de faire 2 faux pas (sous réserve que Paris gagne tout dans le même temps ce qui est loin d'être garanti). Vu leur niveau de jeu, je ne vois pas comment ils peuvent ne pas gagner le titre.
Tu te souviens de la saison 2003-2004 ?
Monaco aussi survolait la Ligue 1, en étant même champions d'automne et en tête de la 7e à la 28e journée. Résultat : 3èmes derrière Paris.
Ils n'ont absolument pas le titre en poche, surtout avec Paris à seulement 3 points et éliminé de la LdC.
Maschum a écrit:Bon bin c'est fait lol.
Faut que Jardim arrête de faire jouer Mbappé si Monaco veut avoir une chance de le garder l'an prochain....