Né quelque part a écrit:
Je comprends pas cette mode glauque de vouloir tout raconter, photographier ou filmer de son accouchement. Montrer ça c'est comme dire aux enfants que leur cadeau de Noël a été fabriqué par des petits chinois qui travaillent 12 heures par jours.
De toute façon, moi, je suis né dans un chou....
denim a écrit:quand je pense que je n'ai même pas de portable.
un collector...je suis.
Hugues a écrit:M'enfin qui vous dit que c'est comme vous le pensez..
Qui vous dit que ce ne sont pas des poèmes, des pensées, pour l'enfant à naître ou pour dire la joie de l'enfant présent..
Pour quoi penser que c'est le plus vulgaire quand ce peut-être peut-être aussi quelque chose de plus élevé, et qui élève..
Dans le doute, imaginons le meilleur..
Hugues
Cortese a écrit:Moi qui suis né à une époque lointaine où le porno se limitait aux pubis gouachés de "Folies de Paris et de Hollywood" (ah bon ? c'est fait comme ça ? y'a rien là ?), et où les chous et les cigognes ne faisaient pas partie des traditions locales (enfin il y a plein de cigognes d'Alsace, elles passent leurs hivers chez nous), je m'étais posé la question.
Zut quoi, elles sont grosses, elles disent que leur bébé est à l'intérieur et d'un coup elles sont maigres et le bébé braille à l'air libre. Par où diable a t-il bien pu passer ? C'est que c'est gros le bestiau. Après reflexion logique, et faisant le constat logique qu'un truc de cette taille ne peut vraisemblablement pas passer par aucun orifice naturel visible ou invisible, j'étais arrivé à la conclusion logique pour le surdoué que j'étais, que ça passait par le nombril. Je savais bien que ce n'était pas un trou, l'ayant attentivement exploré depuis longtemps (avec son éternelle petite boule de coton mignonne inside), et donc par esprit d'analogie, je m'étais dit que c'était comme un gant retourné. Ça tombait bien puisque le terme savant pour désigner un truc retourné à l'intérieur c'est "invaginé". Mais j'avoue que la découverte de la réalité a dépassé mes plus folles constructions intellectuelles. Depuis, plus rien ne m'étonne.
Shoemaker a écrit:Cortese a écrit:Moi qui suis né à une époque lointaine où le porno se limitait aux pubis gouachés de "Folies de Paris et de Hollywood" (ah bon ? c'est fait comme ça ? y'a rien là ?), et où les chous et les cigognes ne faisaient pas partie des traditions locales (enfin il y a plein de cigognes d'Alsace, elles passent leurs hivers chez nous), je m'étais posé la question.
Zut quoi, elles sont grosses, elles disent que leur bébé est à l'intérieur et d'un coup elles sont maigres et le bébé braille à l'air libre. Par où diable a t-il bien pu passer ? C'est que c'est gros le bestiau. Après reflexion logique, et faisant le constat logique qu'un truc de cette taille ne peut vraisemblablement pas passer par aucun orifice naturel visible ou invisible, j'étais arrivé à la conclusion logique pour le surdoué que j'étais, que ça passait par le nombril. Je savais bien que ce n'était pas un trou, l'ayant attentivement exploré depuis longtemps (avec son éternelle petite boule de coton mignonne inside), et donc par esprit d'analogie, je m'étais dit que c'était comme un gant retourné. Ça tombait bien puisque le terme savant pour désigner un truc retourné à l'intérieur c'est "invaginé". Mais j'avoue que la découverte de la réalité a dépassé mes plus folles constructions intellectuelles. Depuis, plus rien ne m'étonne.
Nous autres les paysans de Chateaudun du Rhummel, on a toujours su le "truc". Je me rappelle, très jeune (pas plus de 7/8 ans), planqués derrière la porte d'une cour, avec des cousins, on avait assisté à l'accouchement d'une femme de la famille. Elle était accroupie au milieu de la cour, des femmes l'assistaient, tout autour d'elle. Elle criait à tout rompre. On était partagé entre l'effroi et le fou rire... Puis, hop, une des femmes qui trifouillait avec ses mains sous la future maman a soudain exhibé le bébé ! On savait exactement par où il était sorti, cette fameuse "fente" mystérieuse, réceptacle de toutes les folies du monde.
On avait un jeu de bille, une sorte de circuit avec embûches (Es-sirbou). A la fin du circuit, celui qui terminait le premier, devait viser un noyau de datte (ça traînait partout) et le destroyer en un coup final avec l'agate. Si tu regardes bien, le noyau de la datte est fendu sur toute sa longueur par une fente explicite. Et ce coup de bille finale symbolisait donc un acte sexuel en bonne et due forme. Il faut savoir justement que le sexe de la femme, dans sa partie visible, la fente fatale, était appelé en argot paysan : le "noyau", en référence au noyau de la datte.
Education sexuelle chez les petezouilles des Hauts plateaux du Maghreb profond...
Marlaga a écrit:Ça commence par un appel à la solidarité pour retrouver des écrits d'une maman sur les premiers sourires de son enfant et on finit par l'insulter pour son égocentrisme et à critiquer l'exhibition dégueulasse de l'intimité des gens sur facebook et autres.
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