Virginia Raggi, "le maire qui te sert", vs. l'oligarchie

[Hugues]

C'est moi où on parle très peu de la victoire de Virginia Raggi dans les médias?

C'est pour endiguer la pandémie l'extension du Culte..

Il suffit d'un regard..
Ils craignent qu'elle devienne maître du monde. Tout simplement!

Hugues

[Shoemaker]

Calme toi Hugues... On dit que le bromure...
Si, les média ont parlé d'elle, puisqu'elle a fait la première de Libé et le Monde sur le net. Au info télé aussi, on en a parlé. Avec déferlante de "populiste" et autres noms d'oiseaux.

[Marlaga]

Personne ne répond à Maverick sur ses idées et son programme. Il y a eu une vague réponse de Shoemaker disant qu'en gros, ils n'ont pas d'idées mais un gloubi-boulga de trucs à la mode genre un peu d'écologie, du libéralisme économique mais anti-capitaliste donc du n'importe quoi, "moralisation de la vie politique" donc on promet qu'on en mettra pas autant dans nos poches que ces salauds mais on sait bien que ce genre de promesses ne tiennent que le temps de la campagne et à part ça, le rejet de la classe politique actuelle comme slogan principal.
Bref, c'est du vide, de l'amateurisme saupoudré non pas de populisme mais de la démagogie pure.
Encore un mouvement bidon qui va pas aller bien loin et qui sera dans la merde pour prendre des décisions cohérentes sans un programme global et une idéologie claire. On va gérer au jour le jour.

Je ne trouve pas son élection très rassurante sur l'état de la démocratie italienne. C'est pas con de virer les partis traditionnels qui cumulent échec sur échec mais si c'est pour voter pour du grand n'importe quoi emballé dans un physique avenant, ça me laisse pantois.

[Waddle]

C'est moi où on parle très peu de la victoire de Virginia Raggi dans les médias?

Parce que d'habitude les médias français parlent beaucoup des élections municipales étrangères ?

Pas forcément. Mais là il y a un contexte particulier. Un mouvement anti-UE, anti libéral tout ça, la première femme à accéder à ce poste, etc...

Bref, c'est pas très grave.

[denim]

personnellement,ça me va.
et j'espère que ce n'est pas une "bouffonne".

[Nuvo]

Si elle ne fait pas mieux que les sortants, bon...
Si elle fait mieux, on la fera chier sur un détail.
Ce qui m'intéresse c'est de voir s'il y aura corruption et enrichissement personnel.
Si on part du point de vue que c'est la nature de l'homme, je ne vois pas pourquoi elle y échapperait.
Le pouvoir rend con.
Au début, elle va diriger de façon collégiale. Ca va être beau. Et très vite des tensions vont apparaitre, il va bien falloir trancher !
Il y aura bien un con ou une conne dans son équipe qui à qui le pouvoir va monter à la tête.
Car le débat c'est bien mais il faut savoir trancher. Et on ne peut pas plaire à tout le monde.
Querelle interne de pouvoir.
Le ou la conne va perdre sa délégation, va faire chier par derrière, rallier à lui des mécontents.
Parce que çà ne va jamais assez vite bordel !!

C'est écrit. Faire tourner une démocratie authentique, c'est le but à atteindre. Mais dans la réalité...
Savoir bien manager une équipe, obtenir le meilleur de chacun en ayant aucune ambition purement personnelle, c'est beau mais très rare.

[Hugues]

Ca ne peut pas être pire que maintenant...

Il y a actuellement des gens dans l'administration de Rome (policiers, et autres fonctionnaires) qui abusent de leur pouvoir et font payer des impôts mafieux (dans leur seul intérêt donc) aux plus pauvres populations qui ne pourront pas s'en plaindre et plus particulièrement les Rom.

Un article publié hier racontait que il y a 3 ans, à la fois pour les conditions de vie des Roms et pour ce problème d'impôt mafieux qu'elle avait remarqué en tant que conseillère municipale, elle avait dit au journaliste à qui elle avait demandé (parce qu'il en est spécialiste) de lui montrer les camps et les conditions de vie des Rom "Il faut faire quelque chose (pour eux)...". Et le journaliste dit que cette phrase lui est revenue dimanche, parce qu'elle prend un tout autre sens...

Hugues

[Damien]

C'est moi où on parle très peu de la victoire de Virginia Raggi dans les médias?

Parce que d'habitude les médias français parlent beaucoup des élections municipales étrangères ?

Pas forcément. Mais là il y a un contexte particulier. Un mouvement anti-UE, anti libéral tout ça, la première femme à accéder à ce poste, etc...

Bref, c'est pas très grave.

Contexte principalement local même s'il est d'usage dans certains cercles de toujours y voir des retombées plus larges.
La première femme, certes, mais pour l'Italie... Des femmes maires de grandes villes reste un fait assez rare mais pour une fois la France n'est pas si mal (Hidalgo, Aubry et avant Trautmann)

[Shoemaker]

Si on part du point de vue que c'est la nature de l'homme, je ne vois pas pourquoi elle y échapperait.

Passque c'est une femme jsutement, hé patate !

[Shoemaker]

On verra bien comment elles vont gérer leurs deux villes.
On verra si cette expérience municipale difficile fera murir le mouvement, ou bien le coulera.

[Aym]

https://fr.news.yahoo.com/le-m5s-demand ... 45375.html

ROME (Reuters) - Le mouvement anti-système 5 Etoiles (M5S), porté par ses bons résultats aux élections municipales en Italie, a appelé mardi à organiser un référendum national sur l'euro.

"Nous voulons un référendum consultatif sur l'euro. L'euro tel qu'il existe aujourd'hui ne fonctionne pas. Soit nous établissons une nouvelle monnaie, soit nous créons un 'euro 2'", a déclaré Luigi Di Maio, membre du M5S et vice-président de la Chambre des députés, lors d'une émission télévisée mardi soir.

Un tel vote serait purement consultatif puisque, dans la loi italienne, un référendum ne peut pas modifier les traités internationaux.

Le Mouvement 5 Etoiles a proposé de créer deux monnaies en Europe, une pour les pays riches du nord et une autre pour les pays du sud.

Le groupe se trouve en position de force pour proposer ce référendum après ses succès aux élections municipales de dimanche dernier, où il a remporté 19 des 20 villes où son candidat était présent au second tour, dont Rome et Turin, la capitale industrielle.

Le fondateur du mouvement, le comédien Beppe Grillo, a également demandé un référendum sur le maintien de l'Italie dans l'Union européenne, alors que le parti surveille avec attention les résultats du référendum de jeudi au Royaume-Uni.

"Nous attendons maintenant les résultats du référendum sur le Brexit. Le simple fait qu'un pays comme le Royaume-Uni organise un référendum sur un départ possible de l'UE illustre l'échec de celle-ci", a ajouté Luigi Di Maio.

La semaine dernière, Nigel Farage, chef du parti pro-Brexit UKIP, a déclaré que la victoire de Virginia Raggi, première femme maire de Rome et membre du Mouvement 5 Etoiles, signerait le commencement d'une désintégration de l'UE.

[Marlaga]

Ca ne peut pas être pire que maintenant...

Il y a actuellement des gens dans l'administration de Rome (policiers, et autres fonctionnaires) qui abusent de leur pouvoir et font payer des impôts mafieux (dans leur seul intérêt donc) aux plus pauvres populations qui ne pourront pas s'en plaindre et plus particulièrement les Rom.

Un article publié hier racontait que il y a 3 ans, à la fois pour les conditions de vie des Roms et pour ce problème d'impôt mafieux qu'elle avait remarqué en tant que conseillère municipale, elle avait dit au journaliste à qui elle avait demandé (parce qu'il en est spécialiste) de lui montrer les camps et les conditions de vie des Rom "Il faut faire quelque chose (pour eux)...". Et le journaliste dit que cette phrase lui est revenue dimanche, parce qu'elle prend un tout autre sens...

Hugues

Elle n'a pas compris qu'elle a été élue maire de Rome et pas des Roms. C'est la preuve de son incompétence !

[Hugues]

Et dire qu'on me traitait de macho...

Hugues

[Ouais_supère]

Hogo macho, Hugo bobo !!

[Waddle]

Et dire qu'on me traitait de macho...

Hugues

Qu'est ce qu'il y a de macho dans sa phrase?

[Hugues]

Et dire qu'on me traitait de macho...

Hugues

Qu'est ce qu'il y a de macho dans sa phrase?

Entre "Je ne trouve pas son élection très rassurante" et "C'est la preuve de son incompétence"
Affirmation étayées par pratiquement aucun argument, on peut se demander si ça n'est pas certains a priori qui s'expriment. Quand les mêmes personnes "qui ne trouvent pas son élection très rassurante" donnent par ailleurs toutes les qualités à des idées qui appellent à peu près à la guerre civile

Je fais des conclusions rapides ?
Oh ben comme certains autres auparavant dans le même sujet

Hugues

[Hugues]

C'est moi où on parle très peu de la victoire de Virginia Raggi dans les médias?

Comme il faut compenser un peu ce déficit







"Le maire, qui te sert"






Voilà c'est mieux
Et il n'y a aucun doute à l'issue de cette démonstration qu'elle est compétente #effethalo

Hugues (un post sérieux, un post troll, un post sérieux, un post troll.. )

[Hugues]

Et j'ai oublié de le préciser tout au long du sujet.. mais...

Le nom de Virginia Raggi, la bien nommée, signifie "rayons".

Hugues (post sérieux) (ou pas)

[Alfa]

Ont dirait une Vestale dans son drap blanc ..

[denim]

"Nous voulons un référendum consultatif sur l'euro. L'euro tel qu'il existe aujourd'hui ne fonctionne pas. Soit nous aurons des monnaies alternatives, soit un +Euro 2+", a déclaré Luigi Di Maio, vice-président de la chambre basse du parlement italien.

putain déconne pas merde...après ça va faire comme pour les véhicules.
euro 2,euro 3 euro,euro 4...

"Nous attendons maintenant les résultats du référendum sur le Brexit. Le seul fait qu'un pays comme le Royaume-Uni tient un référendum sur l'opportunité de quitter l'UE signale l'échec de l'Union européenne", a indiqué M.Di Maio.

ça c'est bon...dans le cul l'UE.

[Shoemaker]

Ont dirait une Vestale dans son drap blanc ..

Dans le succès interplanétaire "Whiter Shade oh Pale", on parle des "Sexteen Vestal Virgin"...

[Hugues]

Ont dirait une Vestale dans son drap blanc ..

Dans le succès interplanétaire "Whiter Shade oh Pale", on parle des "Sexteen Vestal Virgin"...

Sixteen !

Hugues (bromure tout ça..)

[Shoemaker]

Admet que c'est un acte manqué impérial ! Du haut de gamme !

[Hugues]

Italie: Virginia Raggi devient officiellement la première femme maire de Rome
AFP, 22/06 22:25 CET


Virginia Raggi, 37 ans, a été officiellement proclamée mercredi maire de Rome, devenant ainsi la première femme à la tête de la ville éternelle.

Le responsable du Bureau électoral central a confirmé devant la presse que Mme Raggi, la candidate populiste du Mouvement Cinq Etoiles, avait été élue dimanche au second tour des municipales partielles en Italie, avec plus de 700.000 voix, soit 67,15% des suffrages.

Cette jeune avocate, qui a promis d’améliorer la vie quotidienne des quelque trois millions de Romains, exaspérés par la décrépitude des services publics et des infrastructures de leur ville, a reçu l‘écharpe tricolore avant la cérémonie de transfert de pouvoirs prévue jeudi matin.

Pour son premier acte officiel, proximité du Vatican oblige, la nouvelle maire de Rome, catholique proclamée, s’est rendue mercredi soir à une cérémonie organisée dans le cadre du Jubilé de la Miséricorde.

Elle a assisté à cette occasion à une messe dans la basilique Sain-Jean de Latran, avant d’en franchir la porte sainte.

Cet acte que des millions de catholiques ont déjà accompli à Rome et dans le monde permet d’obtenir le pardon des péchés.

Hugues

[Hugues]

A noter que la page de Rome capturée lundi à changé:

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Virginia Raggi è sindaco, oggi la proclamazione. I primi appuntamenti

Il nuovo sindaco di Roma, Virginia Raggi, ai suoi primi appuntamenti: mercoledì 22 alle 19 partecipa alla celebrazione del Giubileo per le donne e gli uomini impegnati nelle istituzioni pubbliche, presso la Pontificia Università Lateranense; a seguire assiste alla Santa Messa nella Basilica di San Giovanni in Laterano. Giovedì 23 alle 9 del mattino interviene alla commemorazione del 36° anniversario dell’assassinio del magistrato Mario Amato a viale Ionio 272, quindi, nel corso della mattinata, in occasione del suo insediamento, depone corone di alloro all'Altare della Patria, a Porta San Paolo, al Mausoleo delle Fosse Ardeatine e al Tempio Maggiore Ebraico.

"Sarò il sindaco di tutti, anche di chi non mi ha votato”, ha dichiarato la nuova prima cittadina, “lavoreremo per riportare trasparenza e legalità”.

Virginia Raggi è il primo sindaco donna di Roma e il più giovane nella storia della Capitale. Nata il 18 luglio 1978, cresciuta nel quartiere San Giovanni, diploma al liceo scientifico Isacco Newton, laurea alla facoltà di Giurisprudenza dell’Università Roma Tre, si è specializzata in diritto d’autore, proprietà intellettuale e nuove tecnologie. Nel 2007 è stata nominata Cultore della Materia presso l’Università degli Studi di Roma “Foro Italico” (ex Isef), da oltre sei anni lavora in uno studio legale associato. Durante gli ultimi anni di università ha svolto attività di volontariato. A marzo 2011 entra nel Movimento 5 Stelle, nel 2013 è eletta consigliere comunale con 1.525 preferenze e in questi anni dall’opposizione si è occupata soprattutto di scuola e ambiente.

L'esito delle urne nei 2.600 seggi della Capitale dopo il ballottaggio è stato di 770.564 voti (67,15%) per Virginia Raggi e di 376.935 voti (32,85%) per Roberto Giachetti. Hanno votato 1.185.280 elettori su 2.363.444 aventi diritto (50,20%).
I dati della consultazione elettorale (affluenze votanti e risultati su scala cittadina e Municipio per Municipio) sono qui sul nostro portale, nella pagina dedicata.


20 GIU 2016 - RED
Ultimo Agg. 22 GIU 2016 - RED

Hugues

[Ponpondu]

C'est quoi les gros cubes jaunes en brochettes ?

On dirait du tofu de polenta...

[Hugues]

Si j'avais eu la patience, j'aurais mis en ligne ce qui suit en même temps que les messages précédents..

Hier, en même temps qu'elle était investie et sa visite peu après à la Basique Saint-Jean-de-Latran pour le Jubilé de la Miséricorde était diffusé sur Euronews sa première entrevue depuis son élection enregistrée la veille (j'aurais bien écrit sa première entrevue en tant que maire, mais elle n'était pas investie au moment de l'enregistrement)

C'est doublé en français..



Transcription:

Virginia Raggi, maire de Rome : “la loi doit être appliquée”

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22/06 19:08 CET

"La dette de la ville sélève à 13 ou 16 milliards d'euros"

Virginia Raggi est la nouvelle maire de Rome, issue du mouvement anti-conformiste des 5 étoiles. A 37 ans, elle a remporté 67,15 % des voix, devant son rival, Roberto Giachetti du Parti démocrate de centre-gauche, le même parti que celui du Premier ministre.

Avec une dette qui se compte, en plusieurs milliards d’euros, la capitale italienne est au bord de la faillite. Si elle réussit, son parti pourrait se positionner comme la principale force d’opposition aux prochaines élections législatives en 2018. Dans le cas contraire, le Mouvement des 5 étoiles pourrait perdre de son aura.

Simona Volta, Euronews: “Notre invitée aujourd’hui, dans the Global Conversation : Virginia Raggi, la nouvelle maire de Rome. Félicitations à vous.
Ma première question : quelles sont les deux premières choses que vous allez faire une fois installée?”

Virginia Raggi, Maire de Rome: “Nous allons commencer par gérer le gaspillage financier, qui nous fait perdre plus d’1,2 millions d’euros par an . Nous devons récupérer cette somme, pour la réinvestir dans les services publics. Ensuite, nous allons devoir renégocier la dette de la ville, un montant entre 13 et 16 milliards d’euros. Nous devons lancer un audit, pour comprendre exactement ce qui nous a mené à cette situation. Ensuite, nous devrons renégocier les taux d’intérêt. Car aujourd’hui, le coût de l’argent est de presque 0% , nous ne pouvons pas payer des taux d’intérêt qui ont été négociés en 2008.”

Simona Volta: “Vous devrez travailler avec le gouvernement de Matteo Renzi et son Parti démocratique, avec lequel il y a eu des affrontements verbaux très violents pendant la campagne électorale. Cela pourrait être compliqué?”

Virginia Raggi: “Certainement pas de ma part. J’ai toujours dit que j’attendais des relations loyales et franches avec les autres institutions, et de mon côté, il y a un maximum de bonnes intentions.
J’ai déclaré que j’avais facilement mis un terme à la campagne électorale du Parti démocrate, qui a été très dur envers moi. Il n’y a maintenant plus de problème. A partir de maintenant, nous allons travailler dans l’intérêt de Rome et de tous les Romains. J’attends la même chose de la part des autres institutions et du Premier ministre (Matteo Renzi).”

Simona Volta: “Ne voulez-vous pas clarifier ce qui est arrivé en 2012, lorsque vous avez rendu un avis juridique sur une entité publique et que vous avez déclaré ce revenu en 2015? Au cours de la campagne électorale , vous avez dit que vos adversaires ont jeté de la boue sur vous. Mais maintenant, vous êtes le maire et les électeurs demandent des réponses. Vous avez dit que la transparence était votre point fort?”

Virginia Raggi: “Tout d’abord ce n‘était pas un avis juridique, mais une mission d’assistance juridique , ce qui est très différent. En tant qu’assistante juridique, j’ai eu la tâche d’appliquer l’arrêt de la Cour des comptes qui disait que l’Autorité Sanitaire Locale (A.S.L) avait été victime d’une fraude par un médecin. L’A.S.L. a payé plus d’argent que ce qu’ils auraient dû. J’ai donc eu la tâche de récupérer cet argent en son nom. Cette affectation m’a été donnée en 2012 , j’ai mené une série d’activités, j’ai émis une facture en 2014, cette facture est entrée dans les comptes de la société en 2015, et un mandat de paiement a été émis. J’ai été payée en 2015, et c’est écrit dans ma déclaration d’impôt sur le revenu en 2015. Les professionnels doivent déclarer sur une base de trésorerie.”

Simona Volta: “La Mafia semble avoir tout pénétré à Rome. Les organisations criminelles sont infiltrées partout, avec la complicité de politiciens. Comment peut-on changer cela, et surtout que faire, pour que cela s’arrête?”
“Mafia capitale seems to have permeated everything in Rome. Criminal organizations are infiltrated everywhere, with the complicity of politicians.How this can be changed and above all, what to do in order not to remain involved?”

Virginia Raggi: “Tout d’abord, la loi doit être appliquée. En ce qui concerne les appels d’offres, nous devons faire appliquer les règles existantes. Cela donnera l’occasion à toutes les entreprises qui veulent travailler pour les Romains, dans tous les secteurs, de proposer leurs services à la municipalité, et ce sera à la meilleure offre de l’emporter.”

Simona Volta: “Vous parlez d’appels d’offres publics, mais le problème est surtout l’infiltration de la mafia. Il est très difficile d’exclure les organisations criminelles.”

Virginia Raggi: “Nous devons utiliser tous les systèmes que nous avons : regardez par exemple les travaux de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption, qui a déclaré qu’elle soutiendrait notre administration. Selon un récent rapport, après avoir analysé environ 1500 contrats c’est-à-dire 10 % de tous nos contrats, 90% de ces contrats étaient illégaux, en ayant violé toutes les règles. Il est clair que l’administration a mal fonctionné pendant des années, et maintenant il faut revenir sur le droit chemin.”

Simona Volta: “Les banlieues romaines sont devenues un lieu d’exclusion sociale. Certaines villes européennes examinent ce modèle qui n’a pas fonctionné et qui a conduit à installer des ghettos. Dans des villes comme Amsterdam ou Hambourg, un nouveau modèle de logement social veut créer une mixité sociale. Est-il trop tard pour Rome?”

Virginia Raggi: “Non, pas du tout, mais Rome doit commencer à rénover sa périphérie, avec le centre. Je ne parle pas de la ceinture extérieure de notre ville, mais je parle de tous les territoires qui sont éloignés du centre, et qui sont privés des services les plus importants, comme les transports, les services publics, le cinéma ou le théâtre. Ces banlieues sont devenues des dortoirs, et en dehors de ces dortoirs nous avons complètement vidé les appartement. Donc non, il n’est pas trop tard mais nous avons besoin de prendre des mesures.”

Simona Volta: “Avec quel budget pouvez-vous prendre ces mesures?”

Virginia Raggi: “Tout d’abord nous devons stopper le gaspillage financier.”

Simona Volta: “J’ai débuté cette interview en vous félicitant, mais je ne sais pas si je doit formuler ces félicitations ou non? Car diriger une ville aussi complexe que Rome est une tâche vraiment difficile. Vous ne craignez pas que si quelque chose se passe mal avec cette expérience, cela pourrait affecter l’ensemble du Mouvement des 5 étoiles?”

Virginia Raggi: “Je crois que dans cette élection les citoyens ont déclaré leur volonté d’un changement pour la ville. Cette volonté ne doit pas être sous-estimée. Au cours des trois dernières années dans l’opposition, et au cours de ces trois derniers mois de campagne, j’ai toujours dit que Rome allait changer si les Romains changaient. Nous serons en mesure de tout faire, si nous sommes ensemble. Je suis très confiante pour cette expérience. Il faudra du temps, car je ne dispose pas d’une baguette magique. On nous a laissé une ville faite de décombre, pleine de gravats, vraiment. Mais je suis très confiante : nous pouvons inverser le cours de cette machine qui est lancée droit dans le mur. Nous devons remettre la ville sur les rails, et la faire aller vers un avenir où les demandes des citoyens seront au centre de la politique.”

Simona Volta: “Après Paris et Madrid, une femme devient maire d’une capitale européenne. Est-ce une coïncidence?”

Virginia Raggi: “Je ne sais pas si c’est une coïncidence ou non. Je dirais que c’est un bon signe, un signe de l‘évolution des temps. Cela montre que les gens sont prêts à se lancer dans une nouvelle aventure, et j’espère aussi que ce sera une première étape vers de nouvelles politiques. La classe politique est de plus en plus mal vue par le public.”

Vous la préférez nella lingua originale, quella di Dante Alighieri ?



Trascrizione:

Raggi: La mia elezione rappresenta la volontà di cambiamento dei romani

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Di Simona Volta

22/06 19:08 CET


"Mi auguro che la mia elezione a sindaco rappresenti un primo passo verso quelle politiche di genere che devono tornare al centro dell'agenda pubblica"

Virginia Raggi è il nuovo sindaco di Roma. 38 anni ancora da compiere (a luglio) è esponente del Movimento 5 Stelle fondato da Beppe Grillo nel 2009. Al ballottaggio, con oltre il 67% delle preferenze, ha stracciato Roberto Giachetti del PD.

Con un debito di oltre 13 miliardi di euro, la capitale è a rischio bancarotta e la sfida che si presenta alla Raggi sembra quasi impossibile. Ma se dovesse riuscire nel ‘miracolo’ il Movimento potrebbe diventare la prima forza politica d’Italia. In caso contrario, Roma potrebbe infliggere un colpo mortale alle sorti del M5S.

Simona Volta, euronews:

Ospite a The Global Conversation: Virginia Raggi, neo sindaco di Roma. Signor sindaco, complimenti. Inizio subito col chiederle quali saranno le prime due cose che farà una volta insediata in Campidoglio?

Virginia Raggi, Mayor of Rome:

Sicuramente inizieremo ad aggredire il tesoretto degli sprechi che ammonta a un miliardo e duecento milioni di euro all’anno e quindi dobbiamo andare a recuperare questi sprechi e convertirli in servizi. Poi c‘è tutto il tema immenso della rinegoziazione del debito di Roma Capitale che si attesta tra i tredici e i sedici miliardi di euro. Noi dobbiamo fare un audit, capire esattamente cos‘è conferito all’interno di quella gestione commissariale e poi rinegoziare i tassi d’interesse. Visto che oggi il costo del denaro è prossimo allo zero, non possiamo continuare a pagare dei tassi d’interesse che sono stati negoziati nel 2008.

euronews:

Lei dovrà trattare con il governo di Renzi e con il PD con cui ci sono stati scontri in campagna elettorale. Tutto questo sarà più difficile.

Virginia Raggi:

Sicuramente non da parte mia. Io ho sempre detto che mi sarei aspettata un rapporto leale e franco con le altre istituzioni e da parte mia c‘è la massima disponibilità. Io ho dichiarato che avrei tranquillamente messo un punto su quella che è stata la campagna elettorale che è stata molto aspra soprattutto nei miei confronti da parte del PD. Per me non è un problema. Da oggi si riparte oggi per lavorare nell’interesse di Roma e dei romani e mi aspetto lealtà da parte delle altre istituzioni e del premier.

euronews:

Lei non ha voglia di chiarire la vicenda delle consulenze legali fatte nel 2012 per un ente pubblico e dichiarate nel 2015? In campagna elettorale l’ha definita fango però adesso è sindaco e gli elettori chiedono una risposta anche perché lei ha fatto della trasparenza il suo cavallo di battaglia.

Virginia Raggi:

Innanzitutto non si è trattato di consulenze ma si è trattato di un incarico di assistenza giudiziale, che è molto diverso. Come incarico di assistenza giudiziale io avevo il compito di mettere in esecuzione una sentenza della corte dei conti cha acclarava che la ASL era stata vittima di una truffa da parte di un medico. La ASL aveva pagato più soldi di quelli che avrebbe dovuto pagare quindi doveva rientrare di alcuni soldi. Io quindi ho avuto l’incarico di recuperare quesi soldi per conto della ASL. Mi è stato conferito un incarico nel 2012, ho effettuato una serie di attività, ho messo una fattura di acconto nel 2014, questa fattura è entrata nella contabilità dell’azienda, ha fatto una serie di giri come in tutte le aziende medio-grandi, è stato emesso un mandato di pagamento nel 2015, questa fattura mi è stata liquidata nel 2015 e quindi è entrata in tutte le mie dichiarazioni nel 2015 esattamente come è previsto per i liberi professionisti che debbono dichiarare secondo il principio di cassa e non quello di competenza.

euronews:

L’idagine Mafia Capitale sembra aver messo in luce come ogni spazio della vita di Roma sia permeato dalla malaffare. Le associazioni malavitose che si infiltrano ovunque, con la complicità dei politici. Come si fa a uscirne e soprattutto come si fa a non rimanerne coinvolti?

Virginia Raggi:

Innanzitutto bisogna applicare la legge. Per quanto riguarda gli appalti bisogna applicare le norme che prevedono bandi e gare pubbliche. In questo modo si dà la possibilità a tutte le imprese che vogliono lavorare su Roma in determinati settori di proporre la propria offerta al comune e si dà spazio alle offerte migliori di aggiudicarsi la commessa.

euronews:

Lei parla di appalti e gare pubbliche ma il problema è che anche lì ci sono le infiltrazioni mafiose. Non è facile escludere le organizzazioni malavitose.

Virginia Raggi:

Noi dobbiamo avvalerci di tutti i sistemi che fino ad oggi vengono approntati: dalle dichiarazioni anti-mafia, l’ANAC (l’Autorità nazionale anticorruzione) ha già dichiarato che supporterà comunque l’amministrazione capitolina perché, a seguito a un’indagine, di una relazione effettuata dal presidente Cantone, si è visto come analizzando solo il 10% degli appalti, oltre 1500 appalti, il 90% di tutti questi erano comunque ‘contra legem’ e comunque violavano anche le norme di buon senso. Quindi è evidente che l’amministrazione per anni ha funzionato male e ora deve essere rimessa in carreggiata.

euronews:

Veniamo alle periferie di Roma che sono diventate luogo di esclusione sociale. In alcune città europee si sta rivedendo un modello che non ha funzionato e che ha portato alla creazione di ghetti. Faccio l’esempio di Amsterdam o di Amburgo dove si sta portando avanti l’housing sociale per creare un mix sociale. Per Roma è troppo tardi?

Virginia Raggi:

No, io direi di no, Roma però deve iniziare da subito a ricucire le periferie
al centro. Dove per periferie non si intende solamente la fascia più esterna a livello geografico della nostra città ma si intendono tutte quelle zone che sono poco al di fuori del centro e che ormai sono prive dei
più importanti servizi, dal trasporto, ai servizi per il cittadino, a servizi che possono essere il cinema o il teatro. Queste periferie sono diventate dei dormitori, all’esterno di questi dormitori abbiamo dei palazzoni completamente vuoti, Quindi no, non è troppo tardi ma bisogna agire.

euronews:

Con un bilancio simile, come si fa ad agire?

Virginia Raggi:

Innanzitutto bisogna recuperare gli sprechi.

euronews:

Io ho iniziato facendole i complimenti ma in realtà non sapevo se farglieli
o meno perché andare a governare una città complessa e complicata come Roma è un compito davvero arduo. Lei non teme che se dovesse andare male questa esperienza romana si potrebbe rispercuotere sul Movimento 5 Stelle?

Virginia Raggi:

Guardi, io credo che i cittadini abbiano in qualche modo, con queste votazioni, soprattutto su Roma, abbiano dichiarato con forza la volontà di impegnarsi in prima persona per voler cambiare questa città. Io non credo che questo sia un dato da sottovalutare. Noi, durante questi tre anni di opposizione, durante questi ultimi tre mesi di campagna elettorale abbiamo sempre detto che Roma cambia se cambiano i romani. Riusciremo a fare qualunque cosa se la faremo insieme. Quindi io sono molto fiduciosa che l’esperienza sarà positiva. Ci vorrà del tempo perché non abbiamo la bacchetta magica, ci lasciano una città veramente in macerie, veramente in macerie. Ma io sono molto fiduciosa che piano piano riusciremo a invertire la rotta di questa macchina che purtroppo sta andando a sbattere contro un muro. Noi invece dobbiamo rimetterla in carreggiata e farla camminare verso un futuro nel quale i bisogni dei cittadini saranno rimessi al centro.

euronews:

Dopo Parigi e Madrid, un altro sindaco donna a Roma. È una casualità?

Virginia Raggi:

Non so se sia una casualità. Io direi che è un bel segno, un segno dei tempi che stanno cambiando. È un segno del fatto che le persone sono pronte a gettarsi in un’avventura nuova e mi auguro peraltro che questo sia un primo passo verso quelle politiche di genere che sono sempre viste con sfavore e che invece devono tornare al centro dell’agenda pubblica.

Pour l'Italie exclusivement (en tout cas pour le moment), il existe un bonus, où sont abordés peut-être des sujets plus romains...



Trascrizione:

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Raggi: Campi rom, olimpiadi e reddito di cittadinanza

Di Simona Volta

22/06 17:36 CET


Raggi: La mia elezione rappresenta la volontà di cambiamento dei romani

Simona Volta:

L’Europa ci chiede lo smantellamento dei campi rom. Ma queste persone dove le mettiamo?

Virginia Raggi:

Non ci chiede esattamente lo smantellamento. Ci chiede il superamento, che è una cosa diversa. Lo smantellamento presuppone che dall’oggi al domani io chiuda il campo. È evidente che un’operazione così netta implica semplicemente uno spostamento di persone. Il superamento graduale dei campi implica invece un’azione più importante e incisiva ed è quella che passa per un censimento serio e attuale delle condizioni socio-economiche, patrimoniali e reddituali delle persone che abitano il campo. Quindi si deve capire esattamente chi ci abita. I bambini devono andare a scuola, i giovani devono essere avviati al lavoro e gli adulti devono lavorare e pagare le tasse. Chi ha la possibilità di comprarsi o di affittarsi una casa lo farà, esattamente come fanno tutte le altre persone in Italia, anche perché non è tollerabile vedere all’esterno dei campi rom macchine di grossa cilindrata, sapendo che molte delle persone che abitano nei campi hanno già una casa di proprietà altrove. Questo deve cessare. È un’operazione che va fatta in maniera graduale ma che deve essere conclusiva e non deve essere la solita operazione
di facciata. Ci potrà volere un po’ più di tempo però all’esito di questa operazione i campi saranno chiusi e superati. Esattamente come chiede l’Europa, peraltro da anni.

euronews:

Fisicamente come si fa?

Virginia Raggi:

Fisicamente si portano gli assistenti sociali, la forza pubblica, si devono effetture anche operazioni di controllo incrociato sui conti bancari. Non direi che è un’operazione populista. Direi che è l’unica cosa, che peraltro ci chiede l’Europa, che consente di risolvere definitivamente questa questione nella quale peraltro hanno già mangiato sempre pochissime associazioni. E tutto questo è continuato in maniera indisturbata sotto le ultime giunte.

euronews:

Parliamo di reddito di cittadinanza. Cosa a cui lei è da sempre favorevole. Poco tempo fa in Svizzera hanno detto di no a un reddito simile perché i cittadini hanno timore che si tratti di un incentivo a non lavorare. Se la pensano così i cittadini svizzeri e se hanno questo timore in Svizzera…in Italia?

Virginia Raggi:

La votazione che si è tenuta in Svizzera per il reddito di cittadinanza era parzialmente diversa. Lì si prevedeva un reddito di cittadinanza per tutti. Quindi era un’operazione completamente diversa da quella che sta portando avanti il Movimento 5 Stelle in parlamento. In parlamento noi parliamo di un reddito di cittadinanza per aumentare tutte le pensioni o comunque tutti i redditi al di sotto della soglia di povertà elevandoli a 780 euro al mese. Ovviamente in maniera graduale. Poi soprattutto noi non prevediamo che il reddito sia l’ennesima forma assistenzialista. Noi prevediamo che il reddito sia collegato a delle proposte lavorative per far sì che le persone possano essere reinserite nella società. Noi non vogliamo l’assistenza pura, ma la possibilità per le persone di contribuire nuovamente alla società. Quella è la soluzione. Per noi il reddito di cittadinanza è completamente diverso da quello che è stato proposto in Svizzera.

euronews

Secondo Lei questa proposta non porta invece a un più florido mercato del lavoro in nero, in un Paese, oltre al resto, dove il lavoro manca?

Virginia Raggi:

No, guardi, secondo me no. Il punto è proprio un altro. Il punto è quello di fare emergere il sommerso. Far sì che anche le tasse sul lavoro, il famoso cuneo fiscale venga abbassato. Oggi abbiamo delle tasse sul lavoro estremamente gravose. Siamo credo il Paese d’Europa in cui le persone pagano più tasse e soprattutto gli imprenditori pagano più tasse di tutti. Per avere, peraltro, quasi zero servizi. Quindi c‘è tutta un’operazione da mettere in campo. Però io direi che il reddito di cittadinanza così strutturato non favorisce assolutamente il lavoro nero, anzi. Anche perché è tutto certificato tramite lo Stato.

euronews:

Olimpiadi 2024. Sì o no?

Virginia Raggi:

La mia posizione non cambia. In questo momento non è la davvero la priorità dei romani.

euronews:

Perché non è una priorità? Lei non la vede come un volano per l’economia romana?

Virginia Raggi:

Più che Olimpiadi dello sport mi sembra siano Olimpiadi del mattone, come del resto sono sempre state queste grandi occasioni di sport in tutto il mondo e non solo in Italia. I dati economici e storici ci dicono che tutte le città ospitanti si sono stra-indebitate. A Montreal addirittura, rispetto al preventivo iniziale, si è arrivati a uno sforamento del budget del 796%. Questi sono i costi, questi sono i dati. Io direi che Roma, con un debito di 13 miliardi di euro, oggi non si può permettere di assumere su di sé un ulteriore debito per fare altre cattedrali nel deserto che poi resteranno tali. Se si vuole parlare di sport io sono favorevolissima, ma iniziamo a parlare degli impianti sportivi comunali. Roma ne ha oltre 160 che cadono a pezzi e che nessuno si è mai premurato di ristrutturare o di ripristinare. Se parliamo di sport, parliamone tutti i giorni.

euronews:

Il suo no alle Olimpiadi non è dettato dal timore di infiltrazioni mafiose, di speculazioni edilizie, di tutto quello che di sporco ruota attorno all’organizzazione di un evento simile? Non è gettare la spugna, e dirsi che l’Italia non è in grado di organizzare un evento in modo pulito?

Virginia Raggi:

No. Questa è la spiegazione o la scusa sostenuta dal PD per motivare il mio no. Ma il mio no invece è molto chiaro: e parte proprio dai conti. I romani parlano di altro. Parlano di mobilità, di decoro della città, parlano di trasparenza e di stop agli sprechi. Allora noi dobbiamo riavviare la macchina, far sì che la macchina sia in grado di lavorare. Soprattutto dobbiamo andare in qualche modo a rinegoziare quel debito che grava sulle teste dei romani per duecento milioni di euro l’anno. Quindi duecento milioni che vanno a coprire un debito che i romani non hanno contratto. Duecento milioni che non vanno in servizi. Noi dobbiamo andare a sistemare tutto quell’aspetto e poi si potrà parlare anche di altro. Però sino ad oggi, ripeto, i dati storici delle Olimpiadi, al netto degli eventuali episodi di corruzione, ci dimostrano che le spese non sono sostenibili. Già altre città hanno ritirato la loro candidatura per questi motivi. E non credo che loro pensassero alla corruzione o alle infiltrazioni mafiose. Hanno fatto veramente i ‘conti della serva’. Forse è necessario ripartire da questo.

Di Simona Volta

Je dois avouer qu'il y a pour une fois, eu dans son discours, une phrase, où j'ai songé, qu'elle dérapait quelque peu, qu'elle usait de démagogie, que j'en étais éloigné... L'ensemble de son discours sur les Rom est plutôt très respectable (et on sait ses engagements humanitaires à leur encontre, ainsi que son engagement auparavant dans une gauche citoyenne/républicaine) à l'exception d'une phrase qui généralise à toute une population un cliché quasi raciste : "le véhicule puissant" (jusque là rien qui soit choquant, ils n'ont pas de maisons) "alors que beaucoup de ces gens ont une maison ailleurs" (m'enfin, Madame Raggi, je viens de dire le contraire !).

Bon et en bonus pour terminer, quelques trucs:

• les coulisses de la première photo d'investiture, lors du déplacement à la Basilique Saint-Jean-de-Latran avec aussi sa première déclaration en tant que maire:
  
  
  
  
  
• le reportage de France 2 de début mai, plus développé que n'importe lequel qu'on a eu ces jours-ci:
  
  
• les photos des primaires 2013 du Movimento 5 Stelle pour les municipales de 2013, et à la fois photos des municipales (monsieur était 4e en partant de la fin du Conseil de la Cité, madame 3e en partant du début, et ce bien que monsieur ait été comme elle un porte parole local du parti [bon en même temps c'est une place honorable, c'est tout de même pas un conseil d'arrondissement, mais l'équivalent du Conseil de Paris])
  Madame: Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher
  
  
  
  Monsieur: Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher
  

Voilà je crois qu'on peut pas faire mieux !

Hugues

[Shoemaker]

Hugues, une pétition pour un remake de La dolce vita avec Virginia dans le rôle d'Annouk Aimée ?
Elle y serait tutti bene !

[Hugues]

L'autre jour, le bruit avait couru...

Eh bien c'est fait, Sainte Virginia a rencontré aujourd'hui....


















... le Pape.



C'est qu'il était curieux François de la rencontrer en vrai...

Hugues

[Waddle]

C'est devenu une rubrique people ici

[Shoemaker]

Si après ça François ne décrète pas urbi et orbi la fin du célibat, c'est qu'il est fait de bois !

[Hugues]

Vous n'avez pas compris ?





Hugues

[sheon]

Vivement que la même chose arrive à Paris.

[Alfa]

Elle a bien raison, les Jeux Olympiques c'est des prix affolants, que du fric, des histoires de dopage, du sponsor, une ruine... de plus au moins la moitié du budget est dépensé rien que pour la sécurité.

Finalement les jeux paralympiques c'est bien plus sympathique.

[denim]

elle va se servir du budget pour faire du social pour les migrants.

[Hugues]

Même Jean Todt.. même Jean Todt..



Hugues

[von Rauffenstein]

Je parle que le latin.