Waddle a écrit:Quand les enfants deviennent un bien de consommation:
http://www.aufeminin.com/news-societe/l ... e=Facebook
Stéphane a écrit:Et ça fout quoi dans ce sujet ?
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Rainier a écrit:Moi je dis "Von Rauff, comme modo, ça le fait grave !!"
Né quelque part a écrit:Rainier a écrit:Moi je dis "Von Rauff, comme modo, ça le fait grave !!"
Ouais, c'est comme si on mettait Christine Boutin au planning familial...
Les ex-parents justifient souvent cette séparation par une incompatibilité d'humeur, un enfant jugé trop caractériel ou trop effacé au sein de la famille.
sccc a écrit:Je lis:Les ex-parents justifient souvent cette séparation par une incompatibilité d'humeur, un enfant jugé trop caractériel ou trop effacé au sein de la famille.
Moi je trouve que cette possibilité devrait être accordée à tout parent, que l'enfant soit adopté ou non. Non mais c'est vrai quoi, pourquoi avoir à supporter un enfant caractériel sous prétexte que c'est le vôtre? Tous les parents doivent avoir les même droits.
Né quelque part a écrit:Rainier a écrit:Moi je dis "Von Rauff, comme modo, ça le fait grave !!"
Ouais, c'est comme si on mettait Christine Boutin au planning familial...
Rainier a écrit:Moi je dis "Von Rauff, comme modo, ça le fait grave !!"
Marlaga a écrit:sccc et Garion, je trouve que vous ne voyez qu'un côté des choses. Et si l'enfant ne se sent pas bien dans sa nouvelle famille, pourquoi ne pourrait-il l'exprimer et quitter ses nouveaux parents ?
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Waddle a écrit:Marlaga a écrit:sccc et Garion, je trouve que vous ne voyez qu'un côté des choses. Et si l'enfant ne se sent pas bien dans sa nouvelle famille, pourquoi ne pourrait-il l'exprimer et quitter ses nouveaux parents ?
Et si on étend ce raisonnement, un enfant qui ne se sent pas bien dans sa famille biologique, il peut demander à aller ailleurs?
heow a écrit:Waddle a écrit:Marlaga a écrit:sccc et Garion, je trouve que vous ne voyez qu'un côté des choses. Et si l'enfant ne se sent pas bien dans sa nouvelle famille, pourquoi ne pourrait-il l'exprimer et quitter ses nouveaux parents ?
Et si on étend ce raisonnement, un enfant qui ne se sent pas bien dans sa famille biologique, il peut demander à aller ailleurs?
Tu réponds à une question par une question...
Il peut fuguer, se barrer, se sentir mal pendant de longues années, avoir une enfance de merde. Et il n'y a pas d'âge pour ça.
Tant qu'à faire autant éviter ça.
Ouais_supère a écrit:C'est en effet la moins mauvaise des solutions, le relais assuré par l'Etat.
J'ai du mal à comprendre ce truc de vouloir systématiquement remplacer les parents par des parents.
Garion a écrit:Ouais_supère a écrit:C'est en effet la moins mauvaise des solutions, le relais assuré par l'Etat.
J'ai du mal à comprendre ce truc de vouloir systématiquement remplacer les parents par des parents.
Ben, je ne pense pas que les enfants soient vraiment heureux sans parents.
Déjà que je vois la détresse de ma fille de ne pas avoir ses deux parents en même temps et qui s'aiment (mais je n'ai aucun regret, elle aurait vécu dans une ambiance exécrable si j'étais resté avec mon ex).
Waddle a écrit:heow a écrit:Waddle a écrit:Marlaga a écrit:sccc et Garion, je trouve que vous ne voyez qu'un côté des choses. Et si l'enfant ne se sent pas bien dans sa nouvelle famille, pourquoi ne pourrait-il l'exprimer et quitter ses nouveaux parents ?
Et si on étend ce raisonnement, un enfant qui ne se sent pas bien dans sa famille biologique, il peut demander à aller ailleurs?
Tu réponds à une question par une question...
Il peut fuguer, se barrer, se sentir mal pendant de longues années, avoir une enfance de merde. Et il n'y a pas d'âge pour ça.
Tant qu'à faire autant éviter ça.
Donc concrètement si vous êtes pour que l'enfant puisse révoquer une famille qui ne lui conviendrait pas, il faudrait logiquement que des parents puissent révoquer un enfant qui finalement ne donne pas satisfaction non?
Elle réclame d'avoir un enfant de son mari décédé, la justice doit trancher
JUSTICE
Ils avaient prévu d'avoir un enfant par insémination artificielle. Mais entre temps, le mari du couple est décédé. Le Conseil d'Etat se penche ce vendredi sur l'affaire Mariana. La jeune femme, espagnole, veut un bébé de son mari mort. Or,la loi française interdit l'insémination post-mortem.
Le Conseil d'Etat examine vendredi la requête d'une jeune femme, désireuse d'avoir un enfant de son mari décédé. Celle-ci réclame le transfert vers l'Espagne du sperme de son mari défunt, congelé en France, pour se le faire inséminer. Elle se heurte au refus de la France où l'insémination post-mortem est interdite. Mariana Gonzalez-Gomez, Espagnole, veuve de Nicola Turri, Italien, mort à Paris en juillet 2015 d'un cancer, se bat pour le respect de leur projet d'enfant et de son droit à décider elle-même de sa vie. Déboutée de sa demande par le tribunal administratif, le Conseil d'Etat est, en France, son dernier recours.
Nicola Turri atteint d'un cancer (un lymphome) avait fait congeler son sperme en 2013, avant un traitement risquant de le rendre stérile. Il entre en rémission, mais se voit diagnostiquer une leucémie en 2015. En dépit de la gravité de son état, il voulait concrétiser son projet parental. Mais il décède juste avant que l'insémination soit mise en oeuvre, "une heure avant le rendez-vous chez le notaire pour donner son consentement à la PMA (Procréation médicalement assistée) de son vivant", selon Me David Simhon, conseil de son épouse.
L'insémination, réservée aux couples vivants
Son sperme est conservé à Paris où il résidait avec sa compagne à l'époque de son décès, le 9 juillet 2015 alors qu'il avait 30 ans. En Espagne, l'insémination post-mortem est possible dans un délai d'un an après le décès de l'homme qui en a exprimé la volonté notamment par testament. Ce vendredi sont présentées les conclusions du rapporteur public, Aurélie Bretonneau, devant la section du contentieux, formation solennelle du Conseil d'Etat où sont jugées "les affaires d'importance remarquable" comme celle sur la fin de vie de Vincent Lambert. La plaignante saura alors si la balance penche ou non en sa faveur. Toutefois, la décision sera annoncée ultérieurement.
Plusieurs femmes en France ont déjà demandé à récupérer les paillettes de sperme de leur conjoint décédé, sans succès. L'insémination est réservée en France aux couples vivants. Et c'est au nom de cette interdiction que la restitution des gamètes et leur transfert en Espagne sont refusés. La défense de cette position, basée sur la loi, est assurée devant le Conseil d'Etat par l'Agence de la Biomédecine et l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, dont relève l'hôpital Tenon où la semence du défunt est conservée. Me Simhon, et son représentant au Conseil d'Etat, soutiennent de leur coté que "la prohibition légale" de l'insémination post-mortem et le refus fait à Mme Turri est contraire au droit à la vie privée et familiale de l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme.
"Un enfant désiré"
En l'occurrence, ce refus d'autoriser l'exportation des gamètes en Espagne où l'insémination post-mortem est autorisée porte "atteinte à une liberté fondamentale" : le droit d'être parent au sens biologique du terme. Par ailleurs, avoir un enfant par insémination post-mortem ne représente pas une grande différence avec une procréation faite un mois avant le décès d'un père emporté par la maladie, argue Me Simhon.
D'autres juristes font remarquer que rien n'interdit en France de fonder une famille monoparentale. "Le plus important est qu'on respecte notre volonté, qu'on me respecte moi ; ma liberté en tant femme de vouloir un enfant toute seule et surtout que je puisse décider moi-même de mon futur", a récemment témoigné la jeune femme auprès de France 2 qu'elle avait reçue en Espagne où elle habite désormais. "Il ne s'agit pas de ramener Nicolas à la vie, car je sais qu'il n'est plus là". Cet enfant "sera une partie de nous deux : le sang de notre sang". Et si ce projet devenait réalité que dira-t-elle à l'enfant ? "Je lui dirais que c'était un enfant désiré; que son papa le voulait autant que moi, que c'était notre rêve à nous deux et que finalement Nicola n'a pas pu être ici avec nous", ajoutait-elle. C'est une course contre la montre, le 10 juillet il sera trop tard.
Aym a écrit:J'en pense que, humainement, j'accorderai le droit à l'insémination dans ce cas-là. C'était une volonté du couple, c'était prévu, autant aller jusqu'au bout. C'est une belle preuve d'amour, et ça sera un enfant aimé et désiré.
Mais c'est difficile à trancher juridiquement et éthiquement.
Aym a écrit:Ben justement, il en a un, de père. Il est mort, certes, mais il en a un.
Je préfère des histoires de ce genre (même si c'est encore mieux quand les 2 parents restent vivants, hein) aux gens qui font des gosses sans réfléchir / sans se poser de question / involontairement, et qui ne s'en occupent pas après.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Aym a écrit:Il faut examiner chaque cas individuellement.
Là, le mec est mort, mais le projet était lancé. Il serait mort 1 mois plus tard, l'insémination aurait été faite. Ça ne change strictement rien pour l'enfant qui sera de toute façon orphelin de père, ça change tout pour la mère, qui au lieu de perdre d'un coup un mari et un enfant potentiel garde la possibilité de l'enfant.
Marlaga a écrit:Aucun rapport. Je préfère un enfant mort étouffé dans son sommeil par les parents à un enfant mort après des heures de souffrance avec une jambe en moins à cause d'une mine anti-personnelle. C'est pas pour ça que je vais décider que l'étouffement des enfants pendant le sommeil est acceptable et légal.
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