denim a écrit:Pourtant, l'authenticité des documents n'est pas prouvée. De surcroît, la société Mossack Fonseca a déclaré qu'elle refusait de certifier l'authenticité des données, qualifiant les actes des journalistes de "crime".
meg a écrit:Déjà à prendre avec des pincettes si l'on considère d'où émerge l'info déjà :
https://www.occrp.org/en/panamapapers/overview/under-scrutiny/
L'OCCRP (Organized Crime and Corruption Reporting Page) est une page soutenue par des entités qui appellent quand même à la prlus grande retenue. Si on descend tout en bas de la page on trouve ceci :
OpenSociety, c'est ma fondation de Tonton Soros faiseur et financier des révolutions de couleur/arabes.
https://www.opensocietyfoundations.org/
USAID : no comment
https://www.usaid.gov/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Agence_des_%C3%89tats-Unis_pour_le_d%C3%A9veloppement_international
Pas beaucoup d'américains sur cette liste... mais déjà un russe... ou du moins "ses amis d'enfance".
EN France, à part Cahuzac, Balkany et Platini, déjà grillés... il n'y a pas grand chose même si Salamé nous promet du lourd pour demain (le FN ?)
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La Tribune de Genève a écrit:En fin de semaine, Mossack Fonseca a écrit à ses clients leur signalant que l’entreprise avait été victime d’une fuite de données massive de ses serveurs e-mail. Questionnée il y a deux semaines par le Consortium international des journalistes d’investigation au sujet d’un certain nombre de clients problématiques, l’entreprise rejette la responsabilité sur ses partenaires locaux, qui sont, eux, en relation avec les clients finaux. «Depuis quarante ans, Mossack Fonseca a opéré au-dessus de tout soupçon. Notre société n’a jamais été accusée ou inculpée en relation avec des actes criminels», a expliqué un porte-parole de l’entreprise à Panama City.
Mais juste après l’un des directeurs, Ramon Fonseca, a démissionné de son poste de conseiller du président panaméen.
denim a écrit:je vois mal Soros faire dans le social.
et bizarrement...aucun américain.
ah merde.
Soros continue sa petite merde internationale de dominance mondiale pour les américains en finançant certaines ONG et autres pour déstabiliser des états.
le bien pour l'humanité serait de lui mettre une balle entre les deux yeux et lui fourrer tous ces milliards dans le fion.
denim a écrit:Sur les 11,5 millions de documents secrets, que personne n’a jamais vus à part les journalistes de grandes éditions mondiales triés sur le volet, le nom de Vladimir Poutine n’est jamais mentionné.
Certaines revues vont même jusqu'à illustrer les articles concernant des "amis d’enfance" de Poutine avec des photos du président russe, une démarche plutôt étonnante venant de la presse dite "de référence".
Les deux seuls Russes mentionnés dans les documents sont Sergueï Roldouguine, violoncelliste russe de renommée internationale, et le milliardaire russe Arkadi Rotenberg.
Les journalistes font référence à deux anciennes histoires, dont l'une remonte à la fin des années 1970, quand "les jeunes Sergueï Roldouguine et Vladimir Poutine se lient d’amitié et sont +presque comme des frères+", selon les médias, et l'autre aux années 1960 quand "à l’adolescence, ils (Rotenberg et son frère, ndlr) se sont liés d’amitié avec lui en pratiquant le sambo, un art martial russe, et le judo".
En outre, le fait que l'enquête de l’Organized Crime and Corruption Reporting Project soit foncièrement polarisée "contre" la Russie n’a rien de vraiment étonnant quand on regarde ses sponsors au bas de sa page Internet: la fondation Open Society du milliardaire George Soros, foncièrement hostile à la Russie et interdite dans ce pays, et l’USAID, elle aussi bannie de Russie.
Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a déclaré que bien que Vladimir Poutine ne figure pas dans les comptes reliés à des sociétés offshores, la publication était orientée sur le public intérieur russe et présentée de façon à déstabiliser Vladimir Poutine à la veille des élections législatives de 2016.
"Sans aucun doute, on a créé un produit d'information activement diffusé sur notre scène politique. Ce produit cible le public intérieur, bien que Vladmir Poutine n'y figure pas expressément et que d'autres pays et leaders soient, eux, impliqués", a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
"Pour nous, il est évident que la principale cible des publications est notre président, surtout dans le contexte des élections parlementaires à venir (…) et des élections présidentielles dans deux ans… Ainsi que, globalement, la stabilité politique dans notre pays", a souligné Dmitri Peskov.
Les données, qui proviennent du cabinet d'avocats panaméen Mossack Fonseca, ont été obtenues par le journal allemand Süddeutsche Zeitung grâce à une source anonyme. Elles mentionnent nommément douze chefs d'Etat, cinq d'entre eux étant encore en activité, dont le président ukrainien Piotr Porochenko, l'ancien président de soudanais Ahmed el Mirghani, le président des Emirats arabes unis et émir d'Abu Dhabi Khalifa bin Zayed bin Sultan Al Nahyan.
D'autres sont mentionnés à travers leurs proches, dont le père du premier ministre britannique David Cameron, la première famille d'Azerbaïdjan, la famille du président chinois Xi Jinping. Le président russe, lui, n’est mentionné que par le biais de ses "amis intimes".
Pourtant, l'authenticité des documents n'est pas prouvée. De surcroît, la société Mossack Fonseca a déclaré qu'elle refusait de certifier l'authenticité des données, qualifiant les actes des journalistes de "crime".
Cortese a écrit:Un autre grand pays n'apparait pas entre India et Italia.
sccc a écrit:denim a écrit:Sur les 11,5 millions de documents secrets, que personne n’a jamais vus à part les journalistes de grandes éditions mondiales triés sur le volet, le nom de Vladimir Poutine n’est jamais mentionné.
Certaines revues vont même jusqu'à illustrer les articles concernant des "amis d’enfance" de Poutine avec des photos du président russe, une démarche plutôt étonnante venant de la presse dite "de référence".
Les deux seuls Russes mentionnés dans les documents sont Sergueï Roldouguine, violoncelliste russe de renommée internationale, et le milliardaire russe Arkadi Rotenberg.
Les journalistes font référence à deux anciennes histoires, dont l'une remonte à la fin des années 1970, quand "les jeunes Sergueï Roldouguine et Vladimir Poutine se lient d’amitié et sont +presque comme des frères+", selon les médias, et l'autre aux années 1960 quand "à l’adolescence, ils (Rotenberg et son frère, ndlr) se sont liés d’amitié avec lui en pratiquant le sambo, un art martial russe, et le judo".
En outre, le fait que l'enquête de l’Organized Crime and Corruption Reporting Project soit foncièrement polarisée "contre" la Russie n’a rien de vraiment étonnant quand on regarde ses sponsors au bas de sa page Internet: la fondation Open Society du milliardaire George Soros, foncièrement hostile à la Russie et interdite dans ce pays, et l’USAID, elle aussi bannie de Russie.
Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a déclaré que bien que Vladimir Poutine ne figure pas dans les comptes reliés à des sociétés offshores, la publication était orientée sur le public intérieur russe et présentée de façon à déstabiliser Vladimir Poutine à la veille des élections législatives de 2016.
"Sans aucun doute, on a créé un produit d'information activement diffusé sur notre scène politique. Ce produit cible le public intérieur, bien que Vladmir Poutine n'y figure pas expressément et que d'autres pays et leaders soient, eux, impliqués", a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
"Pour nous, il est évident que la principale cible des publications est notre président, surtout dans le contexte des élections parlementaires à venir (…) et des élections présidentielles dans deux ans… Ainsi que, globalement, la stabilité politique dans notre pays", a souligné Dmitri Peskov.
Les données, qui proviennent du cabinet d'avocats panaméen Mossack Fonseca, ont été obtenues par le journal allemand Süddeutsche Zeitung grâce à une source anonyme. Elles mentionnent nommément douze chefs d'Etat, cinq d'entre eux étant encore en activité, dont le président ukrainien Piotr Porochenko, l'ancien président de soudanais Ahmed el Mirghani, le président des Emirats arabes unis et émir d'Abu Dhabi Khalifa bin Zayed bin Sultan Al Nahyan.
D'autres sont mentionnés à travers leurs proches, dont le père du premier ministre britannique David Cameron, la première famille d'Azerbaïdjan, la famille du président chinois Xi Jinping. Le président russe, lui, n’est mentionné que par le biais de ses "amis intimes".
Pourtant, l'authenticité des documents n'est pas prouvée. De surcroît, la société Mossack Fonseca a déclaré qu'elle refusait de certifier l'authenticité des données, qualifiant les actes des journalistes de "crime".
La source denim la source!!
Je vais te signaler à la modération pour violation du règlement.
Ah, merde, c'est pas dans le règlement...
Pour info, je lis aussi (sur Sputnik - à prendre avec les réserves d'usage) qu'aucun dignitaire américain n'est cité...
sccc a écrit:Cortese a écrit:Un autre grand pays n'apparait pas entre India et Italia.
L'Iran?
Cortese a écrit:sccc a écrit:Cortese a écrit:Un autre grand pays n'apparait pas entre India et Italia.
L'Iran?
Ah oui, tiens. Leurs microscopes ne sont pas assez puissants.
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