Silverwitch a écrit::D
Super idée, super sujet. Je le mets temporairement en avant.
Cortese a écrit:Ça serait bien de mettre les extraits en spoiler sinon bonjour l'ouverture des pages.
von Rauffenstein a écrit:Faudrait que j'apprenne à ripper des DVD pour vous montrer quelques séquences cultes qu'on ne voit nulle part sur la toile.
D'ailleurs, si y'a quelqu'un dans la salle qui peut me donner des tuyaux... J'ose pas demander à mon confrère...
von Rauffenstein a écrit:Bref. De dépit. je vous met la séquence d'ouverture de "Paris Texas", de Wim Wenders, 1984. Un film que j'ai acheté pour me faire "ma culture", à côté de mes bouses "entertainment" pures et dures et autre bourrinades jouissives.
Et là, ce fut la grande claque. Photographie, maîtrise du temps raconté, succession des plans et le mystère de cet homme qui marche sans but, qui émerge peu à peu de l'immensité américaine dans laquelle il s'est perdu. Juste immense.
von Rauffenstein a écrit:je cherchais un extrait de Démineur (The Hurt Locker), le film de Kathryn Bigelow, pour vous montrer un exemple de "jump cut" parfait. Un enchainement très rapide de plans très courts. Lorsque le héros revêt sa combinaison de démineur. Et puis rien. Faudrait que j'apprenne à ripper des DVD pour vous montrer quelques séquences cultes qu'on ne voit nulle part sur la toile.
D'ailleurs, si y'a quelqu'un dans la salle qui peut me donner des tuyaux... J'ose pas demander à mon confrère...
Bref. De dépit. je vous met la séquence d'ouverture de "Paris Texas", de Wim Wenders, 1984. Un film que j'ai acheté pour me faire "ma culture", à côté de mes bouses "entertainment" pures et dures et autre bourrinades jouissives.
Et là, ce fut la grande claque. Photographie, maîtrise du temps raconté, succession des plans et le mystère de cet homme qui marche sans but, qui émerge peu à peu de l'immensité américaine dans laquelle il s'est perdu. Juste immense.
Rainier a écrit:Jean Yanne ou la goujaterie considérée comme un des beaux arts
Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:je cherchais un extrait de Démineur (The Hurt Locker), le film de Kathryn Bigelow, pour vous montrer un exemple de "jump cut" parfait. Un enchainement très rapide de plans très courts. Lorsque le héros revêt sa combinaison de démineur. Et puis rien. Faudrait que j'apprenne à ripper des DVD pour vous montrer quelques séquences cultes qu'on ne voit nulle part sur la toile.
D'ailleurs, si y'a quelqu'un dans la salle qui peut me donner des tuyaux... J'ose pas demander à mon confrère...
Bref. De dépit. je vous met la séquence d'ouverture de "Paris Texas", de Wim Wenders, 1984. Un film que j'ai acheté pour me faire "ma culture", à côté de mes bouses "entertainment" pures et dures et autre bourrinades jouissives.
Et là, ce fut la grande claque. Photographie, maîtrise du temps raconté, succession des plans et le mystère de cet homme qui marche sans but, qui émerge peu à peu de l'immensité américaine dans laquelle il s'est perdu. Juste immense.
Sans parler du bouleversant "Dark was the night, cold was the ground" de Blind Willie Johnson (1927) magistralement repris à la slide-guitar par Ry Cooder.
Hugues a écrit:Ce topic part déjà en quenouilles, voilà qu'on encense Wim Wenders.. (déjà que ça avait commencé avec Hurt Locker)
Et pas de réaction de Silverwitch, tout se perd !
Hugues (je déconne !)
von Rauffenstein a écrit: Mais de fait, techniquement, c'est le top. Et c'est ce que je voulais y montrer. Le "jump cut". Retiens ça, jeune Padawan. Le "jump cut" Après il faut bien le placer car il ne faut pas abuser. C'est comme la truffe. Quelques grammes suffisent juste ! Et bien le placer dans le récit ! Cela le catapulte soudain quand c'est placé au bon endroit ! Comme lors de cette séquence, placée de façon idoine avant l'action. Juste très bon. Boum. Dans ta tête.
von Rauffenstein a écrit:Pour Wim Wenders, je suis désolé. je ne savais pas que c'était mal.
von Rauffenstein a écrit:
Pour Wim Wenders, je suis désolé. je ne savais pas que c'était mal.
Cortese a écrit:Pour ta pénitence tu devras trouver au moins trois interprétations religieusement plausibles de la scène des dinosaures dans euh, comment il s'appelait déjà ce film ?
Ouais_supère a écrit:Ze tri auf laf
Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:
Pour Wim Wenders, je suis désolé. je ne savais pas que c'était mal.
Pour ta pénitence tu devras trouver au moins trois interprétations religieusement plausibles de la scène des dinosaures dans euh, comment il s'appelait déjà ce film ?
Kadoc a écrit:Une lecon de vie.
Eaux sauvages -1978
Dervi a écrit:Un des films qui continue de me faire rire. L'antidépresseur par excellence.
(j'aurai bien aimé trouver la scène de la chasse aux singes et la suite pendant laquelle Pockets pleurniche pour qu'on lui raconte la réussite de l'opération avec sa fusée, car il n'avait pas osé regarder).
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