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DCP a écrit:Certains disent aussi que Trump a fait cette frappe pour la politique interne, pour montrer qu'il n'est pas copain ou sous influence de Poutine....

DCP a écrit:Certains disent aussi que Trump a fait cette frappe pour la politique interne, pour montrer qu'il n'est pas copain ou sous influence de Poutine....

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A federal appeals court on Thursday blocked President Trump’s revised travel ban, finding that the order was “rooted in religious animus” against Muslims.

In a 10-3 ruling, the 4th Circuit Court of Appeal in Richmond, Va., rejected the Trump administration’s claims that the measure was needed to protect national security. The court upheld a nationwide injunction imposed by a district court judge.

The matter is likely to go before the Supreme Court. The 9th Circuit Court of Appeal recently heard arguments in a similar case challenging the ban.

“When the government chooses sides on religious issues, the ‘inevitable result’ is ‘hatred, disrespect and even contempt’ towards those who fall on the wrong side of the line,” wrote Chief Judge Roger Gregory, for the majority. “The risk of these harms is particularly acute here, where from the highest elected office in the nation has come an Executive Order steeped in animus and directed at a single religious group.”

The travel ban sought to impose a 90-day halt in migration from six majority-Muslim countries. The administration has cited the President’s broad discretion over immigration policy, and argued that the country-based ban is not intended to single out a particular religion.

However, Gregory cited numerous comments from Trump and his advisers to substantiate the conclusion that the travel ban is indeed targeted at Muslims. These included Trump’s call during the presidential campaign for a “total and complete shutdown of Muslims entering the United States.”

“Congress granted the President broad power to deny entry to aliens, but that power is not absolute,” Gregory wrote. “It cannot go unchecked when, as here, the President wields it through an executive edict that stands to cause irreparable harm to individuals across this nation.”

sheon a écrit:Toi, t'as vraiment trop lu Rahan

sheon a écrit:Ouais et puis le coup de faire l'hélicoptère avec son coutelas à la fin de chaque épisode, hein...

(...) échange téléphonique avec l'ambassadeur russe, que la NSA avait intercepté, mais où il cherchait à obtenir 3 choses:
-une désescalade en Syrie
-pas de réaction russe suite aux sanctions prises par Obama juste avant de partir.
(deux très bonnes idées)
-et, le plus important, un soutien russe à Israël dans une affaire de condamnation à l'ONU des implantations des colons. Cette demande de soutien provenait d'Israël même à travers le beau-fils de Trump.
C'est-à-dire qu'en réalité, le pays qui manipule les EU dans cette histoire c'est, sans surprise, Israël et non la Russie.

(...) échange téléphonique avec l'ambassadeur russe, que la NSA avait intercepté, mais où il cherchait à obtenir 3 choses:
-une désescalade en Syrie
-pas de réaction russe suite aux sanctions prises par Obama juste avant de partir.
(deux très bonnes idées)
-et, le plus important, un soutien russe à Israël dans une affaire de condamnation à l'ONU des implantations des colons. Cette demande de soutien provenait d'Israël même à travers le beau-fils de Trump.
C'est-à-dire qu'en réalité, le pays qui manipule les EU dans cette histoire c'est, sans surprise, Israël et non la Russie.

Shoemaker a écrit:
Mais bon, le pire n'est jamais fatal. Rêvons, et en attendant, passionnons-nous pour la création du mouvement Génération.s de Benoît Hamon !

Marlaga a écrit:Obama n'a pas foutu grand chose, surtout sur son 2e mandat. Et qu'on le veuille ou non mais communiquer sur twitter, c'est devenu parti intégrante du travail politique, surtout aux USA. Ça mobilise l'opinion qui fait pression sur les représentants qui font passer les lois. C'est plus efficace que pas mal de grands discours non suivis d'effets.

Que signifie l'inculpation de Flynn dans l'affaire russe ?
Olivia Lepropre Olivia Lepropre Journaliste

04/12/17 à 11:13 - Mise à jour à 11:13

Michael Flynn, ancien conseiller de Donald Trump, plaide coupable dans l'affaire russe pour avoir menti au FBI au sujet de ses contacts avec l'ambassadeur russe. Il coopère désormais avec le procureur spécial Mueller. Avec la Maison Blanche - et son président - dans le viseur ?

Que signifie l'inculpation de Flynn dans l'affaire russe ?

© Belga

Le procureur spécial Mueller accuse Michael Flynn d'avoir sciemment fait de fausses déclarations en janvier au FBI au sujet d'une rencontre avec l'ambassadeur russe, Sergueï Kisliak. Cette réunion a eu lieu de 29 décembre 2016, après l'élection de Donald Trump mais avant sa prestation de serment. Ils y auraient discuté des sanctions américaines envers Moscou.
Qui est inculpé ?

Flynn (58 ans) est le premier (ex-)membre du gouvernement Trump et la quatrième personne de son équipe de campagne à être inculpé par Mueller dans le cadre de l'enquête sur les collusions présumées avec la Russie lors de l'élection présidentielle.

Il y quelques semaines, l'ancien directeur de campagne de Trump, Paul Manafort, et son adjoint Rick Gates ont été accusés de conspiration, blanchiment d'argent et violation des règles sur le lobbying. Ils clament leur innocence.

Ancien conseiller de campagne pour la politique étrangère, George Papadopoulos a plaidé coupable pour une fausse déclaration au FBI au sujet de contacts avec des fonctionnaires en lien avec la Russie.
Une nouvelle direction pour l'enquête russe ?

Flynn a "entravé" l'enquête sur la "collusion" présumée entre l'équipe de campagne de Trump et la Russie, selon les accusations portées par le procureur spécial Robert Mueller pour qui ses "omissions" et ses "fausses déclarations" ont eu des "conséquences réelles". Selon l'acte d'accusation, Flynn aurait "contacté" les Russes fin 2016 "à la demande d'un très haut responsable" de l'équipe de transition de Trump. Selon NBC News, qui cite deux personnes proches du dossier, cette personne pourrait être Jared Kushner, le gendre et haut conseiller du président Trump.

Que signifie dès lors l'inculpation de Flynn pour l'enquête ? Ce dernier aurait accepté un accord pour coopérer avec la justice. En échange de sa pleine coopération dans l'enquête russe, l'équipe de Mueller pourrait éventuellement classer d'autres dossiers judiciaires qui le concernent. Selon les observateurs, le ministère américain de la Justice n'offrirait d'accord que s'il pouvait ferrer de gros poissons. Et Flynn détient sûrement des informations essentielles à la poursuite de l'enquête.

L'acte d'accusation souligne un certain nombre de questions importantes dans l'enquête russe. Que savait Donald Trump à propos des conversations de Flynn avec l'ambassadeur russe ? Que sait Flynn de la coopération présumée entre l'équipe de campagne de Donald Trump et des représentants du régime russe ? Trump ou quelqu'un de son entourage avait-il eu vent de la démarche d'influence russe dans l'élection, ou ont-ils coopéré d'une manière ou d'une autre ? Cela pourrait être qualifié de fraude électorale.
Mauvaises nouvelles pour Trump

L'acte d'accusation envers Flynn est le signe le plus récent que le procureur Mueller intensifie ses recherches. Jusqu'à atteindre le président lui-même ? L'avocat personnel de Trump a déclaré dans un communiqué que la reconnaissance de culpabilité ou l'accusation ne concernait personne d'autre que Flynn. L'avocat a également stipulé que les fausses déclarations de Flynn au FBI corroboraient ses "fausses déclarations à la Maison Blanche qui ont abouti à sa démission".

Mais le président ne semble pas tiré d'affaire pour autant. La sénatrice Dianne Feinstein a déclaré ce week-end que l'enquête du Sénat sur ce dossier incluait également une éventuelle affaire d'obstruction à la justice contre Donald Trump, notamment concernant le limogeage de l'ancien directeur du FBI, James Comey. Ce dernier avait également déclaré que Trump lui avait demandé d'arrêter d'enquêter sur Flynn. "Je pense que ce qui est en train de se dessiner est un cas d'entrave à la justice", a-t-elle affirmé. Ce que nie en bloc le président des Etats-Unis. "Je n'ai jamais demandé à Comey d'abandonner l'enquête sur Flynn. Encore de fausses informations couvrant un autre mensonge de Comey", s'est défendu Donald Trump via une salve de tweets ce lundi.[/Quote]

Adelson says that because of his upbringing in an immigrant family in an underprivileged neighborhood of Boston, "it went without saying that we were Democrats". He attributed his family's loyalty to their belief that the Democratic Party of the 1930s and 1940s shared their commitment to charity, self-reliance, and accountability, as well as support for Jewish causes. In a 2012 Wall Street Journal op-ed titled "I Didn't Leave the Democrats. They Left me", Adelson specifies three reasons why he switched political parties to the Republicans. First, he cites foreign policy, pointing to a Gallup poll that suggests Republicans are more supportive of Israel than Democrats. Second, he cites statistics that suggest Republicans are more charitable than Democrats. To support this claim Adelson cites a report from the Chronicle of Philanthropy, which claims, after studying tax data from the IRS, that U.S. states that vote Republican are more generous to charities than those states that vote Democratic. "My father, who kept a charity box for the poor in our house ... would have frowned on this fact about modern Democrats." Third, he cites a nonpartisan study of Illinois's finances by the State Budget Crisis Task Force and political scientist Walter Russell Mead claiming that Democratic Party economic policies don't deliver on their promises of social justice and have wrecked one of the country's potentially most prosperous and dynamic states (Illinois).

Adelson also states that he doesn’t agree with every Republican position and is liberal on several social issues; but believes the Republicans better support liberal democracies like Israel, better exemplify the spirit of charity, and support economic policies that would certainly be better for those Americans now looking for work.

Others have attributed different motives for Adelson's party switch. "Why is it fair that I should be paying a higher percentage of taxes than anyone else?" he reportedly said to an associate, according to The New Yorker, which claims Adelson began making major contributions to the Republican National Committee following clashes with labor unions at his Las Vegas properties.

The New Yorker article also quoted Shelley Berkley, a Nevada Democratic Party congresswoman, with whom Adelson has had a long and notable feud, who formerly worked for him in the 1990s as vice-president of legal and governmental affairs, who said Adelson told her that "old Democrats were with the union and he wanted to break the back of the union, consequently he had to break the back of the Democrats". The Boston Globe claims that Adelson has "waged some bitter anti-union battles in Las Vegas".[19][45] Berkley is further quoted in the New Yorker article as saying that Adelson "seeks to dominate politics and public policy through the raw power of money".

Adelson denies those explanations for his political beliefs and behavior, suggesting such depictions of him are tainted by his critics' own political ideology. He stated, "My critics nowadays like to claim it's because I got wealthy or because I didn't want to pay taxes or because of some other conservative caricature. No, the truth is the Democratic Party has changed in ways that no longer fit with someone of my upbringing.

Shoemaker a écrit:La situation des Palestiniens étant de toute façon foutue, autant que les choses aillent de plus en plus vers plus de clarté, plutôt qu'ils (les Palestiniens) continuent à se bercer d'illusions. Que les choses aillent au bout avec toutes leurs conséquences. C'est ce qui peut, vu leur situation sans espoir, leur arriver de mieux. Après, quand les choses seront enfin tout à fait claires (c'est à dire foutues pour de bon), eh bien, peut-être alors, paradoxalement, s'ouvriront d'autres voies de salut, que la situation actuelle, faite d'un brouet d'hypocrisie, de mépris, de moqueries,... ne permet pas. L'Histoire est toujours étonnante... Toujours.

Hugues a écrit:
(Enfin c'est vrai, que tout cela est inattendu... c'est pas comme si c'était prévisible, ou si des gens avaient mis en garde... Oh wait... )

Hugues

Aym a écrit:

Hugues a écrit:
(Enfin c'est vrai, que tout cela est inattendu... c'est pas comme si c'était prévisible, ou si des gens avaient mis en garde... Oh wait... )

Hugues

Pardon, Hugues, mais pendant la campagne américaine, l'an dernier, tu faisais partie de ceux qui préféraient Trump à Clinton, en disant qu'avec elle y'aurait plein de guerres.
Je pense qu'on est nombreux ici à regretter que Sanders ne soit pas le président des Etats-Unis, mais par contre entre Trump et Clinton, moi, j'aurais préféré Clinton.

Shoemaker a écrit:On en est là... Au carrefour de tous les dangers, entre un Trump illisible, et des Néoconservateurs décidés à foutre la m... quel qu'en soit le prix.
Mais tant que Trump reste illisible, on restera dans l'inconnu, porteur du pire OU du meilleur. Mais dans les deux cas, les USA en mode "Empire" risqueront de s'effondrer. Soit ça sera une crise majeur de l'Empire (guerres, désastres...), soit l'Empire redeviendra une République (en ce sens que les USA abandonneront leurs velléités de domination mondiale à tout prix et concentreront sur leur Nation).
La situation est très complexe.

sccc a écrit:Je pense que Shoe à plutôt en tête un seul état et une seule citoyenneté.
La fin de l'état juif quoi.
Il ne reste que ça ou le génocide des palestiniens.

DCP a écrit:
C'est une vision à court terme, car, même si ce scénario arrive, si Trump n'est pas réélu, le prochain président remettra très vraisemblablement le couvert pour reprendre le cours de la domination de l'Empire sur le reste du monde une fois la parenthèse Trump passée...

Et personnellement, entre le rejet de l'accord nucléaire avec l'Iran, la tension grandissante avec la Corée du Nord qu'il attise, sa décision de déplacer l'ambassade US de Tel-Aviv à Jérusalem....Trump de donne vraiment pas l'impression d'être moins interventionniste et de vouloir se concentrer sur les USA.....

Aym a écrit:

Hugues a écrit:
(Enfin c'est vrai, que tout cela est inattendu... c'est pas comme si c'était prévisible, ou si des gens avaient mis en garde... Oh wait... )

Hugues

Pardon, Hugues, mais pendant la campagne américaine, l'an dernier, tu faisais partie de ceux qui préféraient Trump à Clinton, en disant qu'avec elle y'aurait plein de guerres.

Je ne pense pas. Hugues comme toi, comme moi, aurait préféré que Sanders gagne. Mais il s'est positionné clairement contre les deux autres, les renvoyant dos à dos.