meg a écrit:Ceci dit, il ne faudrait sans doute pas oublier que Cruz défend des thèses encore plus ... surprenantes que Trump...
Aym a écrit:meg a écrit:Ceci dit, il ne faudrait sans doute pas oublier que Cruz défend des thèses encore plus ... surprenantes que Trump...
lesquelles ?
von Rauffenstein a écrit:Mon copain Lauric cause dans le poste ! : "La défaite de Trump face à Clinton n'est pas assurée" selon Lauric Henneton, spécialiste des Etats-Unis et professeur à l'Université Versailles (VIDEO)
Je l'ai vu acheter une 12 cordes chez Centrale Guitare !
von Rauffenstein a écrit:Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:Le Point. La politique étrangère vue par Trump
Oui mais il est pas antisémite ?
En cherchant bien, doit bien y avoir un homonyme en Allemagne qui a été facteur et qui collait des timbres avec Hitler dessus avec la langue, pendant la guerre...
Oui ça c'est pas un problème. S'il fait la politique qu'il dit on trouvera.
Ou il prendra une balle magique avec un passeport syrien...
Neoconservative historian Robert Kagan — one of the prime intellectual backers of the Iraq War and an advocate for Syrian intervention — announced in the Washington Post last week that if Trump secures the nomination, “the only choice will be to vote for Hillary Clinton.”
meg a écrit:von Rauffenstein a écrit:Mon copain Lauric cause dans le poste ! : "La défaite de Trump face à Clinton n'est pas assurée" selon Lauric Henneton, spécialiste des Etats-Unis et professeur à l'Université Versailles (VIDEO)
Je l'ai vu acheter une 12 cordes chez Centrale Guitare !
Ouai... Clinton n'est nullement assurée de gagner contre Trump. Elle sera la candidate de l'establishment contre celui de l'anti système auquel pourraient se rallier les déçus de l'élimination Sanders. C'est un peu (de loin quand même) comme quand les électeurs déçus de gauche, les gens sans travail, les communistes oubliés, les supporters de Mélenchon qui ne lui voient aucune chance de remporter une quelconque élection penchent finalement vers Mariene Le Pen en voyant en elle la seule candidate anti-système en mesure de porter leurs espoirs.
Sur les derniers sondages c'était soit égalité, soit victoire de justesse pour CLinton contre Trump alors que Sanders est donné largement gagnant contre le même Trump.
Ted Cruz, l'ultra droite, sans esbroufe
Ne vous y trompez pas. Qui est le plus conservateur, intolérant aux minorités, ultra libéral et agressif dans sa vision du monde ? Trump ? Non, c’est bien Ted Cruz, vainqueur surprise samedi dans le Kansas et le Maine.
Par Olivier Ravanello | Le Monde selon Ravanello – il y a 6 heures
À rester focalisé sur le Trump-show, on finit par être atteint de strabisme politique. Sur la scène des Redneck de Houston, célèbre club de country tenu par un ami de 20 ans, Ted Cruz monte sur scène. Propre sur lui, raie sur le coté, souriant, calme, la voix posée, Cruz ne fait pas d'esbroufe. Ce n'est pas son genre. Il fait de la politique. La vraie. Celle des idées, des convictions et des actes qui s'en suivent.
Il parle clair, net, et lorsque qu'il compare son programme avec les déclarations intempestives de Donald Trump, on comprend que l'alternative au trublion est un pur produit républicain extrême, une sorte de néo-Nixon.
Un ultra conservateur sans faille
"Trump veut renégocier l'Obamacare (la protection sociale élargie). Pas moi, je veux en détruire chaque ligne". "Trump dit qu'il construira un mur avec le Mexique mais au fond il ne le fera pas. Moi je le ferai et je renverrai les immigrés illégaux parce que c'est la loi". "Trump dit qu'il sera celui qui permettra un accord entre Israéliens et Palestiniens. Pas moi. Je ne serai pas neutre, je serai du coté d'Israël. Et je refuserai d'appliquer l'accord signé ave l'Iran sur le nucléaire."
Les sujets s'enchainent. Avortement, famille, mariage gay et les nominations de juges trop libéraux à son gout à la Cour suprême : Cruz déroule le programme d'un ultra conservateur sans faille. Derrière lui, sa femme et ses deux fillettes écoutent en souriant. La salle exulte. Le Texas de la liberté totale a son candidat, comme les Bush avant lui.
Encerclé, Cruz ne s'avoue pas vaincu
Mais les Bush étaient tellement plus cool ! Cruz lui, est aussi net et tranchant qu’une lame. Sur les écrans de télé, Trump a parlé pendant une heure. À comparer les deux, on finit par le trouver bonhomme. Comme si dans cette logorrhée, cette agitation et ces contradictions, on se disait qu'il pourrait toujours y avoir quelque chose à sauver.
Cruz est dans son état du Texas comme dans fort Alamo. Encerclé, il ne s'avoue pas vaincu. D'autant moins que son argument, il le répète sans cesse : "je suis le seul à pouvoir battre Hillary. Je suis le seul a avoir pris des États à Trump". Double message. À Rubio pour lui demander de se désister en sa faveur et apparaitre comme une véritable alternative à Trump. À Trump pour lui faire entendre raison et qu'il comprenne que sans le parti, on ne gagne pas la Maison Blanche.
L'angle de tir est étroit. Partout autour les "Trumpistes" arrivent ! Pas sûr que des renforts arrivent. Pas sûr qu'il tienne longtemps. Mais Cruz se bat jusqu'au bout en digne héritier des combattants d'Alamo.
von Rauffenstein a écrit:Pourquoi Clinton est tant associée à "liar"?
Waddle a écrit:Mince, ils font chier les super délégués!
Ca sert à quoi de faire une primaire sur une très large partie des résultats sont décidés par ses super délégués?
Sylex a écrit:Merci pour la couverture du sujet, meg, en tout cas.
von Rauffenstein a écrit::lol:
ok
DCP a écrit:Waddle a écrit:Mince, ils font chier les super délégués!
Ca sert à quoi de faire une primaire sur une très large partie des résultats sont décidés par ses super délégués?
A donner l'impression aux militants qu'ils vont choisir leur candidat alors que c'est le parti qui contrôle qui gagnera....
Martin Schulz s'oppose à la candidature de Donald Trump
"L'Europe n'est pas préparée, ni les États-Unis, pour un tel président qui n'a aucune expérience internationale", estime le président du Parlement européen.
Source AFP
Publié le 12/03/2016 à 10:08 | Le Point.fr
Le président du Parlement européen Martin Schulz estime que les États-Unis et l'Union européenne ne sont « pas préparés » à une accession du milliardaire américain Donald Trump à la Maison-Blanche.
« L'Europe n'est pas préparée, ni les États-Unis, pour un tel président qui, à mes yeux, n'a aucune expérience internationale », a-t-il déclaré à la chaîne française d'information en continu i>Télé. « Trump appartient à ces gens que nous connaissons ici aussi en Europe, qui ont pour n'importe quelle chose un bouc émissaire, mais jamais une solution concrète », a-t-il estimé, dressant un parallèle avec la montée du « populisme sauvage » dans l'UE.
« Je préfère une autre candidate »
« Dans ses mains », la puissance des moyens, politiques ou militaires, dont dispose un président des États-Unis lui ouvrirait de « vraies options pour des décisions extrêmement dangereuses », a ajouté Martin Schulz. « Moi, honnêtement, je préfère une autre candidate », a conclu le dirigeant social-démocrate allemand, affichant sans surprise son soutien à Hillary Clinton, favorite des primaires démocrates.
Donald Trump fait la course en tête dans les primaires pour l'investiture républicaine à la présidentielle américaine de novembre, au grand dam de l'establishment du parti, critique de sa rhétorique incendiaire. Vendredi, des violences ont éclaté à Chicago entre ses partisans et ses opposants, avant la tenue d'un meeting de campagne que le milliardaire a finalement annulé à la dernière minute.
sccc a écrit:Tu ne penses pas qu'ils risquent d'obtenir exactement l'effet inverse?
William Blum résume parfaitement ce qui arriverait à un président qui appliquerait une véritable révolution politique :
"Si j'étais président, j'arrêterais en quelques jours les attaques terroristes
contre les Etats-Unis. Définitivement.
D'abord, je présenterais mes excuses à toutes les veuves, aux orphelins,
aux personnes torturées, à celles tombées dans la misère, aux millions
d'autres victimes de l'impérialisme américain.
Ensuite, j'annoncerais aux quatre coins du monde que les interventions
américaines dans le monde sont définitivement terminées, et j'informerais
Israël qu'il n'est plus le 51e État des États-Unis mais dorénavant - chose
curieuse à dire - un pays étranger.
Et puis, je réduirais le budget militaire d'au moins 90 %, utilisant le surplus
à payer des réparations aux victimes. Ce serait plus que suffisant. Le
budget militaire d'une année, soit 330 milliards de dollars, équivaut à plus
de 18.000 dollars de l'heure depuis la naissance de Jésus-Christ.
Voilà ce que je ferais les trois premiers jours.
Le quatrième jour, je serais assassiné."
meg a écrit:http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2016/03/12/les-incidents-polluent-de-plus-en-plus-la-campagne-de-donald-trump_4881559_829254.html
Trump donné gagnant des prochaines consultations, le système ne peut plus laisser faire. C'est sans doute ce qui explique que les réunions publiques aient dégénéré avec intervention de manifestants "anti-racisme". La réunion dégénère, est annulée, déborde à l'extérieur et voit intervenir les forces de l'ordre avec de nombreux blessés dans tous les camps.
Et derrière, "le très sage et très tolérant" Cruz qui intervient pour en faire porter toute la responsabilité à Trump.
Quand c'est Sanders ou Clinton, on peut comprendre... mais Cruz !...
L'Amérique perd la tête.
C'est démocratiquement qu'un candidat "intolérant" doit être battu, c'est démocratiquement que ses idées doivent être dénoncées, c'est démocratiquement et par une politique qui aurait dû prendre en compte la misère et la déchéance de ceux qui s'apprêtent à voter pour lui qu'une telle situation aurait dû être évitée.
L'Amérique se prépare-t-elle à faire à l'intérieur à Trump ce qu'elle fait à l'extérieur à Sadam, Khadafi ou Bachar ?
Quant à l'Union Européenne... elle a déjà choisi... à la place des électeurs américains.Martin Schulz s'oppose à la candidature de Donald Trump
"L'Europe n'est pas préparée, ni les États-Unis, pour un tel président qui n'a aucune expérience internationale", estime le président du Parlement européen.
Source AFP
Publié le 12/03/2016 à 10:08 | Le Point.fr
Le président du Parlement européen Martin Schulz estime que les États-Unis et l'Union européenne ne sont « pas préparés » à une accession du milliardaire américain Donald Trump à la Maison-Blanche.
« L'Europe n'est pas préparée, ni les États-Unis, pour un tel président qui, à mes yeux, n'a aucune expérience internationale », a-t-il déclaré à la chaîne française d'information en continu i>Télé. « Trump appartient à ces gens que nous connaissons ici aussi en Europe, qui ont pour n'importe quelle chose un bouc émissaire, mais jamais une solution concrète », a-t-il estimé, dressant un parallèle avec la montée du « populisme sauvage » dans l'UE.
« Je préfère une autre candidate »
« Dans ses mains », la puissance des moyens, politiques ou militaires, dont dispose un président des États-Unis lui ouvrirait de « vraies options pour des décisions extrêmement dangereuses », a ajouté Martin Schulz. « Moi, honnêtement, je préfère une autre candidate », a conclu le dirigeant social-démocrate allemand, affichant sans surprise son soutien à Hillary Clinton, favorite des primaires démocrates.
Donald Trump fait la course en tête dans les primaires pour l'investiture républicaine à la présidentielle américaine de novembre, au grand dam de l'establishment du parti, critique de sa rhétorique incendiaire. Vendredi, des violences ont éclaté à Chicago entre ses partisans et ses opposants, avant la tenue d'un meeting de campagne que le milliardaire a finalement annulé à la dernière minute.
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