A propos de médias, moi je n'écoute pas Transe Inter mais je regarde l'émission phare de Big Brother, le "28 minutes'" d'Elisabeth Quin sur Arte. L'émission est très bien faite, très agréable mais on sent bien sous le côté "detendu du gland" une poigne de fer qui ne veut pas trop de bien aux petits trous du cul que nous sommes. La Quin joue très bien son rôle de copine sympa, pas trop jolie mais tellement sympa et gentille qu'on se laisserait bien emballer en fin de soirée, faute de mieux. Nadia joue très bien la gourde maghrébine de sevice, elle a un regard tellement absent qu'on ne saurait même pas où s'adresser pour lui demander de s'asseoir moins volontiers sur les intérêts de sa race inférieure, Xavier Mauduit et son compère chevelu dont j'ai oublié le nom, les Tif et Tondu du PAF, complètent avec bonhommie cet aréopage de simplets si gentils. On se croirait presque à une réunion de famille, avec ces eternels cousins intarissables qui vont tout vous expliquer de la politique et qu'on écoute poliment en se demandant si il ne serait pas temps de rentrer pour eviter les embouteillages, s'il n'y avait pas la rubrique d'un mec qui me fout litteralement les jetons, une sorte de JP Filiu de la télé, Thibaut Nolte. Avec lui ça rigole plus, on sent le prédateur, le commissaire politique, la main de fer sous le gant d'aluminium. Il me fait un peu penser à Blakovski, de l'"éditorial de Blako" dans le "Salut les Terriens" d'Ardisson, au point que je me suis demandé si ce n'etait pas une seule et meme personne. Eux on a l'impression qu'ils sont nommés directement par Staline pour dire aux moujiks ce qu'ils doivent penser, et c'est dans cet esprit suspicieux et inquiet que je suis tombé dans Facebook sur cette apostrophe rageuse d'un collègue (un jaloux sans doute) qui semble bien connaitre la musique de Nolte, et qui démolit la derniere trace d'innocence dans l'esprit du mec qui n'est pas dans le secret des dieux mais qui est tenté par la mécréance.
Jean-Pierre Millepied à ARTE
9 avril 2017 ·
Le 7 avril 2017.
A Thibaut Nolte, rubriquier sur ARTE,
Mon petit Thibaut,
Etant donné sa teneur, je sais parfaitement que ce message sera "MODÉRÉ", pour le dire dans ta novlangue totalitaire, c'est à dire CENSURÉ, pour le dire en langage réel et honnête, et qu'il ne sera donc pas publié sur ARTE.
(AUSSI, DE CET ENVOI, AMI "MODÉRATEUR", JE N'ESPÈRE QU'UNE CHOSE : C'EST QU'IL PARVIENNE, AU MOINS, À SON DESTINATAIRE, AFIN QU'IL S'EN INFORME S'IL EN A LE COURAGE).
Ah ! au fait, Thibaut Nolte ! Je t'appelle "mon petit", parce que 1. tu pourrais être mon fils (ce qu'à Dieu ne plaise !) et 2. parce que je n'éprouve pour toi qu'un mépris colossal.
Ceci étant posé, voici donc mon message :
Il y a déjà longtemps que, regardant le "28 minutes", je te vois, dans ta rubrique, dézinguer systématiquement, avec une morgue qui ne le dispute qu'à la mauvaise foi et à la malveillance, tout individu et toute idée qui ose contrevenir au "politiquement correct" et au "moralement bienséant" édictés unilatéralement et sans aucun débat démocratique par la "charte de déontologie (sic)" de la chaîne (à tous les sens du terme) ARTE.
Cela ne serait que moindre mal si, en toute JUSTICE et en toute DÉMOCRATIE (deux mots qui n'appartiennent visiblement ni au vocabulaire ni à la ligne politique d' ARTE - si, si ! - vous en avez une !), vous accordiez aux CITOYENS que vous éreintez publiquement et sans mesurer vos coups, SUR UN MÉDIA PUISSANT LARGEMENT DIFFUSÉ, le plus petit et minimal DROIT DE RÉPONSE !
Ce serait la moindre des choses, n'est-ce pas, Thibaut Nolte, grand DÉMOCRATE et grand RÉPUBLICAIN que tu es sous le soleil de la Vérité ? Hein, mon Thibaut ?
Yo, à ta place (ne t'inquiète pas, je te la laisse – je ne mange pas de ce pain-là !), je ne serais pas fier de moi, si j'agissais de cette manière :
Porter des coups sans retenue (et sans vergogne, ajouterai-je) EN ÉTANT SÛR ET GARANTI PAR UN PUISSANT ESTABLISHMENT de n'en recevoir, en retour, JAMAIS AUCUN dans ton minois... Quel paradis ! Quel pied, bordel ! La vie ainsi, comme c'est facile ! Comme c'est kiffant d'être un larbin (oui, mais de luxe et à Paris) !
Moi, je dirai plutôt : "LÂCHETÉ ET INFINIE IGNOMINIE !"
Tu n'as pas honte, mon Thiti, de te vautrer dans cette fange que dissimulent tant de soie et tant de strass à la télé ! Tu n'as pas honte, non vraiment, DE RIDICULISER LES HUMBLES ET DE CRACHER SUR LES PETITS sans qu'ils n'aient NUL DROIT DE RÉPONDRE, sans qu'ils n'aient lieu de répliquer, sans qu'ils puissent rendre les coups ?
Tel fut le cas, tout dernièrement, avec François Asselineau, le Président de l'UPR, parti auquel j'ai eu l'honneur (je dis bien L'HONNEUR, mon petit – une notion, apparemment, dont tu n'as pas la moindre idée !) d'adhérer le 1er décembre 2015... Et je ne le regrette pas !
Tu sais quoi, mon petit Thiti, ta caricature misérable, aussi grossière que malveillante, du bon François Asselineau, non contente de me mettre en rogne contre des procédés si vils et d'une lâcheté sans borne, a offensé également, en les insultant sans raisons, autres que de pure calomnie d'une bassesse sans égale, les 24 000 MEMBRES actuels, sans compter les sympathisants, tous CITOYENS DIGNES D'ESTIME (autant que toi et davantage qui n'es, au fond, qu'un porte-flingue, un spadassin servant ses maîtres contre une bourse bien garnie !) du parti de la Liberté, parti de François Asselineau contre votre EURO-DICTATURE (et je pèse mes mots au nanogramme près) !
Il vous fiche à ce point la frousse, vous tous à la KOMMANDANTUR, que vous le calomniez ainsi et le traîniez dans votre boue sans un soupçon d'honnêteté... quand vous ne le censurez pas ?
Oh ! Mais je t'ai percé à jour, petit Thibaut de caniveau, gueux déguisé en Grand seigneur qui, sous sa morgue sent la bauge, simple pourceau grimé en cerf !
Je connais tes desseins par cœur, tes objectifs, ton ambition, sans parler de tes manigances, de ton plan de carrière ad hoc. Un cerveau si vil que le tien est si facile à décrypter, cela ne prend qu'une seconde pour un esprit comme le mien, n'en déplaise à ta suffisance.. qui, bien sûr, est INSUFFISANTE : tu ne m'arrives pas au talon, même dressé sur tes orteils !
Ainsi donc, mon petit Thibaut, qui n'es, au fond, qu'un arriviste, un Rastignac de bas étage, de l'extraction la plus vulgaire, de l'engeance la plus commune, tu as bien fait tous tes calculs, mesuré tous les paramètres et calibré ta progression afin de parvenir au but, à la suprême consécration (un bien grand mot pour peu de chose !). En voici le "raisonnement" :
Parmi les COURTISANS EN TITRE DU ROYAUME (ainsi les nommerai-je), dont tu brigues les places (la première si possible !), la plupart sont fanés, décatis, fatigués, bref, au bout du rouleau, usés jusqu'au trognon par des lustres de "règne" dans la SERVILITÉ AUX GRANDS ET AUX PUISSANTS, que même les anciens ne peuvent plus compter !
De fait, DRUCKER, toujours "numéro un", est sub-claquant, EL KABBACH est branlant, PUJADAS est tout jaune comme un vieux parchemin devenu palimpseste de tant de collusions, ce qui n'est pas bon signe, F.O. GIESBERT fait trop le fier pour que sa santé soit certaine, LOLO RUQUIER, pourtant plus jeune, vire au has been, total ringard. Tout cela présage une hécatombe qui ne saurait longtemps tarder, non plus que de servir tes plans. Mmmmh ! C'est bon ça !
Et quant à STÉPHANE BERN, jadis si redoutable, jadis si dangereux, jadis si près de prendre la place de Drudru dans la lèche "people", il a tourné casaque et viré sa cuti (moralement parlant) récemment, on dirait, semblant se convertir à l'immense sagesse d'un peu de modestie et de sens du SERVICE, mot qui s'oppose en tout à la servilité !
Ne reste plus, Thiti, pour te barrer la route sur la voie qui conduit au faîte du podium, là où l'on jouit enfin dans la félicité d'un fleuve de pognon et de fins privilèges, du titre convoité, si hautement disputé, de COURTISAN NUMÉRO UN DU ROYAUME, que ce bel Apollon qui plait tant aux nanas, qui, hélas ! I'm afraid, te fera beaucoup d'ombre sur le plan esthétique, PRIMORDIAL À L'ÉCRAN (là, tu ne fais pas le poids, désolé, mon Thiti !), le nommé DELAHOUSSE, LAURENT de son prénom.
Ne désespère point pour autant, vil Thiti, dans ton sombre dessein, face à l'adversité, tu sauras bien trouver dans les vastes ténèbres de ta malignité quelque bon stratagème, quelque fine entourloupe pour le faire trébucher et tomber, à tes pieds, sur la seconde marche... ou bien les oubliettes, si c'est ta préférence... Il vaut mieux tout "border" quand on veut réussir ! N'est-ce pas, mon Thiti ?
Allez, salut mon "grand" (ceci dit en NOVLANGUE). Je n'ai plus, pour ton cas, une microseconde à perdre de ma vie. Ce serait bien trop bête, pour ne pas dire absurde, injuste aux yeux des Cieux, sachant ta qualité et ton indignité, torve "petit marquis" lécheur d'anus yankee.
Pan ! sur ton bec et sur ta bouche. "A la fin de l'envoi, je touche !". Sans rancune, boy !
Au suivant !
Jean-Pierre Millepied, alias "Juan de Bourg", homme de Qualité.