Cortese a écrit:9. Inside Llewyn Davis
Les frères Coen (USA)
Chronique d'un raté: portrait ironique et mélancolique d'une grande maîtrise bien qu'un peu maniéré.
On est rarement déçu par les frères Coen, de plus un film sur un musicien c'est bien.
J'attends ton avis ! Ce n'est quand même pas extraordinaire (dans le genre, il faut voir
Accords et Désaccords de Woody Allen). Et contrairement à toi, je suis souvent déçue par les frères Coen...
Cortese a écrit:7. Frances Ha
Noah Baumbach (USA)
Une ratée gracile et magnifique: éblouissement d'une actrice époustouflante, Greta Gerwig.
Sympa, mais je ne comprends pas le choix de ce noir et blanc qui ressemble à de la couleur désaturée.
Moi non plus. Je ne suis pas convaincue que tu apprécieras ce film, mais sait-on jamais !
Cortese a écrit:5. La Venus à la Fourrure
Roman Polanski (France)
Un petit grand film de Roman Polanski: la vérité du théâtre du monde, c'est la lutte pour la domination symbolique.
Pourquoi pas bien que bof.
Ah, non ! Il faut absolument que tu le voies. Je suis prête à parier que tu vas aimer le film. C'est le contraire d'un film sentimental, et c'est au contraire une entreprise de démystification.
Cortese a écrit:4. Mud
Jeff Nichols (USA)
Très réussi, le film de Jeff Nichols est un rien trop didactique pour atteindre les références qu'il touche du doigt: mais depuis Fritz Lang, Charles Laughton ou Alexander Mackendrick qui a aussi bien représenté l'amitié et la fin de l'enfance, ce moment suspendu du passage vers l'âge adulte ?
Ça a l'air très bien
Cortese a écrit:Bien entendu, en plus de ceux que j'ai déjà vu, j'ai éliminé les films dégoulinants de sentimentalisme lourdingue (ce qui n'est pas incompatible avec virtuose) que j'ai décidé une fois pour toutes de rayer de mon horizon, na !