Alfa a écrit:Que les Etats Unis soit responsable, en petite ou grande partit de l'EI est une chose, maintenant ce qui est inquietant c'est que l'occident en général ne fasse pas plus contre l'EI et Boko Haram, que ce soit militairement mais aussi sur toute les actions pouvant les affaiblir financièrement.
On a l'impression que tous doit passer avant, je pense a l'Ukraine par exemple.
Les morts en Afrique et au proche orient compte moins que les autres?
Ca commence a me dégouter tous ça.
sccc a écrit:Surtout pas le conflit israélo-palestinien.
Question de priorité sans doute...
sccc a écrit:Le point de vue occidental qui a mené à la situation actuelle?
C'est ce point de vue qui doit perdurer?
LOL
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Mes ces parski soutrete a des groupe teroriste !!!
Stéphane a écrit:Ceci dit, je me rappelle pas trop la dernière fois que l'Iran a attaqué directement l'occident, d'un autre coté, perso.
Shoemaker a écrit:
J'hésite entre le gaz ou une bonne corde de chanvre
Le Figaro et agences a écrit:L'ex-président égyptien Mohamed Morsi condamné à 20 ans de prison
Par lefigaro.fr avec agences
Mis à jour le 21/04/2015 à 10:47 Publié le 21/04/2015 à 10:22
Destitué en 2013 par l'armée, il a été condamné mardi au Caire pour avoir été impliqué dans l'arrestation et des tortures sur des manifestants. Il est en revanche acquitté des accusations d'incitation au meurtre qui auraient pu lui valoir la peine de mort.
L'ancien président égyptien Mohamed Morsi a été condamné aujourd'hui à 20 ans de prison incompressibles pour "incitation au meurtre" de manifestants en décembre 2012, plus de 20 mois après sa destitution par l'ex-chef de l'armée et actuel président Abdel Fattah al-Sissi.
Le verdict, le premier prononcé à l'encontre du dirigeant islamiste depuis sa destitution par l'armée en juillet 2013, a été annoncé lors d'une audience retransmise à la télévision.
Mohamed Morsi, qui fut le premier président démocratiquement élu en Egypte, en juin 2012, a la possibilité de faire appel. Douze autres cadres des Frères musulmans, dont Mohamed el Beltagy et Essam el Erian, ont été condamnés à la même peine.
Shoemaker a écrit:Interview magistrale de Bachar El Assad sur France 2
Traduction : la France opère un virage.
LeMonde.fr a écrit:L’ancien président égyptien Mohamed Morsi condamné à mort
Le Monde.fr avec AFP Le 16.05.2015 à 11h40 • Mis à jour le 16.05.2015 à 14h30
L'ancien président islamiste Mohamed Morsi, déjà condamné à 20 ans de prison en avril pour incitation au meurtre, a été condamné à mort, samedi 16 mai, pour des évasions de prison et des violences durant la révolution de 2011.
Une centaine d'autres accusés, dont des dirigeants éminents de sa confrérie des Frères musulmans, ont également été condamnés à la peine capitale qui doit, pour tous les accusés, recueillir l'avis, non contraignant, du mufti d'Egypte avant d'être confirmée ou infirmée.
Dans ce procès, M. Morsi était jugé pour de massives évasions de prison et des attaques visant la police durant le soulèvement de 2011. Dans cette affaire, Mohamed Morsi et des dirigeants de sa confrérie sont accusés d'avoir planifié ces violences avec des responsables du Hamas et du Hezbollah libanais. Ils sont également accusés de s'être échappés de prison, alors qu'ils avaient été arrêtés quelques jours après le début de la révolte.
« Pas de preuves »
Lors du soulèvement de 2011, des manifestants dénonçant les abus de la police du temps de Hosni Moubarak avaient attaqué des commissariats. Aujourd'hui, alors que la police a redoré son image dans l'opinion publique, les Frères musulmans se retrouvent désignés comme responsables de ces violences, ce qu'ils nient.
Montasser Al-Zayat, l’un des avocats de la défense, interrogé par Le Monde quelques jours avant l’audience, dénonçait la façon dont le procès était organisé :« Ils n’ont pas de preuves pour les condamner. Mais notre mission est impossible. Ils ont choisi des juges qui vont rendre le verdict que les autorités veulent qu’ils rendent. Si la justice était indépendante, il devrait être acquitté. »
Des juges ont été tout spécialement désignés pour ce procès jugé devant une cour spéciale, ce que Montasset Al-Zayat qualifie d’illégal au regard de la loi.
Espionnage
Les sessions se sont déroulées à huis clos : ni la presse ni les familles des accusés n’ont été autorisées à assister aux audiences. Le procès a toutefois été retransmis sur les chaînes de télévision nationale. « Quand nous nous adressions à la cour ou que le Dr Morsi était autorisé à parler depuis sa cage insonorisée, nos propos n’étaient pas retransmis », assure l’avocat, qui pointe par ailleurs qu’au regard du droit, le libre accès à son client aurait dû être garanti dans l’enceinte du tribunal. Seul un autre avocat de la défense, Mohammed El-Damaty, a été autorisé à rencontrer à une occasion l’ancien président égyptien en détention.
Le parti des Frères musulmans, Justice et Liberté, interdit depuis décembre 2013 en Egypte, a dénoncé dans un communiqué cette condamnation :« Cette journée restera dans les mémoires comme l’une des plus sombres de l’histoire de l’Egypte. Ces dernières charges sont une autre tentative de faire disparaître de manière permanente la démocratie et le processus démocratique en Egypte. »
« L'Egypte revient à l'Egypte antique »
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a lui aussi critiqué cette décision, accusant l'Occident de « fermer les yeux » sur le coup d'Etat de 2013 qui a évincé M. Morsi du pouvoir. « L'Egypte revient à l'Egypte antique », a-t-il fustigé.
Le tribunal devait aussi se prononcer samedi sur une deuxième affaire dans laquelle l’ancien président est accusé d’espionnage, notamment au profit du Hamas, du Hezbollah et de l'Iran.
Mohamed Morsi, premier président démocratiquement élu en Egypte, peut faire appel de cette condamnation à mort. Il avait été renversé en juillet 2013 par l'ex-chef de l'armée et actuel chef de l'Etat Abdel Fattah al-Sissi, au terme d'une année tumultueuse au pouvoir.
Ces Algériens qui ont fait la guerre d’Espagne
© D. R.
À l’origine du projet, Andreu Rosés (chercheur) et Marc Almodovar (réalisateur). Ils estiment le nombre d’engagés pour sauver la République d’Espagne à près de 700 dont une majorité d’Algériens.
Un film documentaire est en préparation sur un volet méconnu de l’histoire contemporaine espagnole. L’implication de musulmans dans les brigades internationales qui se sont engagées durant la guerre civile espagnole (1936-1939) aux côtés des républicains contre les nationalistes et qui s’était conclue par la victoire du général Franco. À l’origine du projet, Andreu Rosés (chercheur) et Marc Almodovar (réalisateur). Ils estiment le nombre d’engagés pour sauver la République d’Espagne à près de 700 dont une majorité d’Algériens. Le nombre avoisinerait les 500 combattants. L’équipe espagnole séjourne actuellement en Algérie, plus particulièrement à Béjaïa, en vue de rencontrer les descendants de ces combattants de la liberté et de la République. Parmi ces centaines de combattants, une bonne partie est originaire de Béjaïa et de son arrière-pays. La vallée de la Soummam (Timezrit, Sidi Aïch, Akfadou, Ighil Ali, etc.) mais aussi du Sahel. Il s’agit bien évidemment de militants conscientisés par le mouvement national, l’adhésion à l’Etoile nord-africaine, à la 2e et notamment à la 3e Internationales. D’ailleurs parmi les engagés qui sont partis d’Algérie, “il n’y avait pas que des Algériens musulmans, qui étaient certes la majorité”, a nuancé Andreu Rosés, “mais aussi des pieds-noirs” communistes s’entend. Le problème dans l’Espagne d’aujourd’hui, on ignore tout de l’engagement de combattants venus de terre d’islam (Maghreb, Égypte, Syrie et Liban). La raison ? “Dans la mémoire collective espagnole, on ne se rappelle que des quelque 70 000 Marocains qui ont combattu aux côtés des nationalistes ; ils ont été forcés par le général Franco qui leur a promis de bénéficier de contreparties : soit des terres, soit de l’argent”, a ajouté Andreu Rosés. Les Espagnols ne retiennent donc de la guerre civile espagnole (on l’appelle aussi guerre d’Espagne) que cette main-forte prêtée par ces dizaines de milliers de combattants marocains, mais ils ignorent tout de l’engagement armé des Algériens, qui étaient 500 sur les quelque 700 ayant tenté de sauver la République espagnole et d’éviter surtout aux Espagnols une dictature qui durera 36 ans. Il faut dire aussi que le vert, qui symbolise l’islam, est une couleur qui “incommode encore les Espagnols, qui ont développé un véritable racisme depuis la Reconquista”, la reconquête de l’Espagne par les chrétiens sur les musulmans durant le Moyen Age, a reconnu Andreu Rosés. Le film documentaire va néanmoins lever le voile sur un fait qui aurait pu changer le cours de l’histoire. Les républicains espagnols étaient sur le point d’arriver à un arrangement avec les nationalistes marocains par le biais des Algériens. L’initiative a été stoppée net par le gouvernement de Léon Blum, a affirmé le chercheur espagnol. Léon Blum craignait sans doute qu’un tel arrangement vienne sceller une alliance des nationalistes algériens et marocains d’autant qu’ils seront lourdement armés. Pourtant, de 1936 à 1938, les gouvernements du Front populaire ont soutenu les républicains et le gouvernement légal de l’Espagne. Maichel Catala de l’université de Nantes, qui a écrit un article fort documenté sur l’attitude de la France face à la guerre d’Espagne, a expliqué que “ce soutien prend diverses formes, selon la conjoncture, mais il s’effectue plus en paroles qu’en actes. Léon Blum est vite prisonnier de la non-intervention, un pis-aller qu’il lui fallut couvrir, faute de mieux”.
Nuvo a écrit:Ah Léon Blum n'a pas grâce à tes yeux ? Je dois être trop marqué par l'image du Front Populaire.
Rainier a écrit:"...ayant tenté de sauver la République espagnole et d’éviter surtout aux Espagnols une dictature qui durera 36 ans. "
Mouais ... si les "républicains" avaient gagné, l'Espagne aurait été une République Démocratique du style de la RDA. ou pire encore quand on se rappelle comment les républicains massacraient les membres du clergé catholique !
A tout prendre ce style de république vaut largement une dictature.
Et qu'aurait elle fait en 39-40 contre les armées nazies ? la guerre ?
Franco au moins a évité à son peuple d'être impliqué dans la seconde guerre mondiale.
Shoemaker a écrit:Rainier ! Comment peux tu trouver un atome de bien à un dictateur férocement pro nazie ?
Arnaud "Roller" Klarsfeld ! Au secours ! Ils sont devenus fous !
Nuvo a écrit:Cortese,
En cherchant un article de Francis Delaisi sur les mystères de la guerre (celle de 14-18 et dont certains passages sont évoqués par Philippe Noiret dans "la vie et rien d'autre" de Bertrand Tavernier) paru dans "le Crapouillot", j'ai découvert que ce journal de gauche (fait pour les anciens poilus) était aussi à l'origine de l'affaire des "200 familles".
Il avait aussi fait un numéro spécial, en janvier 1936, pour dénoncer les crimes abominables des expéditions coloniales. Tu en as entendu parler ?
meg a écrit:Pas nouveau mais intéressant notamment à la lumière des évènements depuis en Syrie...
Cortese a écrit:meg a écrit:Pas nouveau mais intéressant notamment à la lumière des évènements depuis en Syrie...
Les balises Dailymotion ça marche pas pour moi.
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