Cortese a écrit:Ils étaient déjà très méchants, mais ils n'étaient pas comme ça avant. Quand j'étais jeune les politiciens américains avaient un comportement et un discours normaux. À mon avis ils sont devenus délirants avec le début de l'effondrement de l'idéologie socialiste dans les années 70. À partir du moment où ils n'avaient plus d'ennemi idéologique et vu que les religions et la morale traditionnelles s'étaient évaporés avec le mouvement soixante-huitard, ils se sont subitement rendu compte que le libéralisme c'était un grand vide, et que c'était intenable. Il a fallu de toute urgence improviser cet étrange système de valeurs à base de pleurniche à doses massives. Comme c'est un système qui ne vaut pas un pet de lapin de la petite maison dans la prairie, il a mécaniquement engendré un discours canonique de débiles mentaux. Alors ils mettent systématiquement des femmes en avant. Les pauvres, elles y adhèrent sincèrement à ce discours, puisqu'elles n'étaient même pas encore sorties de l'asservissement au patriarcat. Ça leur rappelle le discours qu'elles tiennent à leurs enfants.
Ghinzani a écrit:Ce topic est finalement le « bar à blabla « de deux vieux potes que sont Cortese et Shoe...
Moi ( en bienfaiteur ), quand je le sens à court d’idées, je remets un peu de bois sur le feu...
Je les aime bien « ces vieilles canailles »....
Shoemaker a écrit:Ghinzani a écrit:Ce topic est finalement le « bar à blabla « de deux vieux potes que sont Cortese et Shoe...
Moi ( en bienfaiteur ), quand je le sens à court d’idées, je remets un peu de bois sur le feu...
Je les aime bien « ces vieilles canailles »....
Mais que veux-tu, mon "bon vieux sioniste préféré", l'affaire est terminée. Tout a une fin. Il n'y a plus de conflit. Israel a gagné ... enfin, la première manche !
On verra bien comment va évoluer l'affaire, ce qu'Israel va faire de ce tas de pauvres Palestiniens qui sont là *, tels un gros cheveux dans la bonne sous-soupe...
En attendant, bah, faut bien passer le temps et parler de tout et de rien...
(* pitié, ne me dit pas que les autres Arabes n'ont qu'à les recueillir !.... pitié ! Ca et le Hamas... pitié !....)
DROIT DE RÉPONSE
Lettre ouverte de l’ambassadeur d’Israël en France à Laurent Joffrin, directeur de la publication de «Libération»
Par Aliza Bin-Noun — 19 décembre 2017 à 19:56
Lettre ouverte de l’ambassadeur d’Israël en France à Laurent Joffrin, directeur de la publication de «Libération»
Sous le titre «Dieu est-il diplomate ?», Laurent Joffrin s’était inquiété dans l’édition du 8 décembre d’entendre l’ambassadrice d’Israël à Paris, Aliza Bin-Noun, se référer à la Bible pour justifier la décision de Donald Trump de transférer l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem. Ce mélange du sacré et du politique lui paraissait néfaste à la recherche d’un compromis nécessaire à l’apaisement du conflit entre Israéliens et Palestiniens. L’ambassadrice Aliza Bin-Noun a répondu en publiant une «lettre ouverte» où elle défend sa position. Nous en publions le texte intégral, ce qui est normal dans un débat aussi complexe et délicat. Laurent Joffrin apporte les précisions qui ne pouvaient être énoncées dans son article initial.
Dans un éditorial du 7 décembre dernier [publié dans notre édition du 8 décembre, ndlr], le directeur de la publication de Libération s’attaque à mes propos tenus lors d’une interview sur France Inter au cours de laquelle j’ai rappelé tout simplement une évidence, une «lapalissade», à savoir le lien évident et naturel, historique et indéfectible, unique et indéniable entre le peuple juif et sa capitale, Jérusalem. Comment donc un journaliste au demeurant aussi avisé que Laurent Joffrin peut-il à ce point faire preuve d’ignorance ? Comment donc pourrait-on de bonne foi réfuter ce lien qui lie une ville à son peuple et, partant, à son Etat ? Doit-on réellement prouver la place qu’occupe Jérusalem dans l’histoire du peuple juif à travers les millénaires ? Depuis que le Roi David en fit sa capitale depuis que son fils, le Roi Salomon, y bâtit son Temple tel que relaté dans la Bible ? La Bible est-elle devenue un mythe ? Le Roi David une légende ? Le Temple de Jérusalem, un conte folklorique? Les Prophètes qui y ont prêché, une fable ? Une chose est sûre pourtant : tous les conquérants, au fil des siècles, de Nabuchodonosor au général Titus, s’y installèrent pour tenter justement, par le glaive et la force d’éradiquer ce lien si particulier entre le peuple juif et Jérusalem.
Est-ce donc par la plume d’un éditorial qu’aujourd’hui l’on essaie de perpétuer ce vain objectif de vouloir nier l’indéniable ? Nier le fait que tout au long de deux millénaires les Juifs du monde entier se sont tournés trois fois par jour vers Jérusalem pour prier, qu’à tous les mariages juifs célébrés sous le dais nuptial le futur époux brise un verre pour marquer le bémol à toute joie du fait de la destruction de Jérusalem, nier le fait que les combattants du ghetto de Varsovie, en avril 1943, à l’instar de tous les Juifs du monde ont prononcé le soir de la pâque juive, quelques heures avant l’assaut final des nazis, la célèbre phrase «l’an prochain à Jérusalem»…
Jérusalem est la capitale de l’Etat d’Israël. Tout simplement. Tout naturellement. Tout légitimement. Ce n’est ni une utopie, ni une légende, ni même, n’en déplaise à M. Joffrin, un mythe reposant sur je ne sais quelles aberrations archéologiques. Si demain des archéologues farfelus venaient à tenter de prouver que le site originel de Lutèce se trouverait en fait à quelques embouchures du site qui lui est prêté actuellement par les historiens, cela remettrait-il en cause légitimement le statut de Paris en tant que capitale de la France et des Français ? Paris deviendrait-il un «mythe» qu’il faudrait combattre et nier ? N’importe quelle pierre soulevée à Jérusalem témoigne de la présence juive depuis des millénaires. Comment donc le nier en toute bonne foi et surtout, surtout, pourquoi, et dans quel but ? L’ancien émissaire spécial du président Bill Clinton pour le Proche-Orient, Dennis Ross, témoigne dans ses mémoires que lorsque Yasser Arafat décida de refuser les offres israéliennes à Camp David l’été 2000, il fit délibérément un choix tout simple : s’attaquer au lien qui unit le peuple juif à Jérusalem en déclarant que le Temple n’avait jamais été sur son site actuel (le Mont du Temple). Il savait parfaitement, estime ce diplomate américain, qu’en agissant ainsi, il attiserait les haines et les démons.
Quel objectif recherche donc Libération aujourd’hui en donnant écho à cette tentative révisionniste de nier le lien entre Jérusalem et le peuple juif ? Quel but veut-on obtenir lorsque la veille [dans l’édition du 8 décembre], Libération publie en couverture un cliché éculé d’un soldat suranné israélien face à un civil palestinien ? Attiser la haine ? Jeter des braises sur une actualité déjà fort brûlante ? En agissant ainsi, l’on prend le risque de réveiller d’autres mythes, que M. Joffrin ne cite pas et qui ont pour nom la haine de Juifs et l’antisémitisme. Non, M. Joffrin, pour notre part, nous ne cherchons pas à négocier avec Dieu ni avec ses saints. Mais tout simplement avec un partenaire palestinien qui cesserait de remettre en cause l’Histoire et accepterait de s’asseoir et négocier avec Israël directement, franchement et sans conditions préalables. Comme l’ont fait en leur temps le président égyptien Sadate et le roi Hussein de Jordanie.
Chère madame,
Permettez-moi de répondre en quelques lignes à votre lettre ouverte par une réaction tout aussi ouverte. Je n’ai en aucun cas cherché à réfuter le lien historique et affectif qui unit le peuple juif à Jérusalem. C’eût été bien sot de ma part et, comme je l’écrivais, cette tradition est éminemment respectable. En dépit de mon ignorance, je sais ce que représente pour les Juifs, si souvent persécutés dans le monde, l’expression «l’an prochain à Jérusalem», qu’on pouvait entendre dans les ghettos d’Europe de l’Est, parmi les Juifs opprimés aux périodes sombres de l’histoire française, dans les camps de la Shoah, ou bien parmi les combattants héroïques du ghetto de Varsovie. Je me suis seulement inquiété d’entendre que vous déduisiez la légitimité de Jérusalem comme capitale, non seulement de l’histoire, mais surtout de la Bible, qui est un texte avant tout religieux, même s’il contient aussi la relation de faits historiques.
Cette inclusion de la foi dans la diplomatie me semble néfaste, qu’il s’agisse de la politique de l’Etat d’Israël ou des revendications des autres protagonistes des conflits du Moyen-Orient. «Peut-on négocier avec Dieu ?» écrivais-je. Je ne crois pas, en effet, que la présence divine à la table des discussions, chacun se réclamant de sa foi, puisse faciliter l’émergence d’un de ces compromis qui ramènent laborieusement la paix entre les pauvres humains.
Vous vous référez à des faits remontant à quelque trois mille ans. Je maintiens que les archéologues d’aujourd’hui, dont plusieurs chercheurs éminents de l’université de Tel-Aviv, nous conduisent à douter de la véracité historique des faits situés à cette période par le texte sacré. Je ne dis pas que ceux-ci sont faux, aussi bien, mais que leur réalité est controversée. Ils ne sauraient donc servir de base solide pour un raisonnement géopolitique contemporain, qui n’en a par ailleurs nul besoin. Vous citez la ville de Lutèce, en remarquant que la situation et le rôle de cette ville gauloise, qu’on pourrait discuter, ne change rien au fait que Paris soit la capitale de la France. C’est tout à fait exact, à cette nuance près : à l’époque, la capitale des Gaules se situait non à Lutèce, mais à Lyon, appelé alors par les Romains Lugdunum. En suivant votre raisonnement, les Lyonnais pourraient demander que cette antique tradition soit rétablie.
En tout état de cause, j’ai toujours défendu, et Libération tout autant, le droit de l’Etat d’Israël à vivre à l’intérieur de frontières sûres et reconnues, sans parler de notre combat constant contre l’antisémitisme. Mais j’ai toujours plaidé aussi pour que le même droit soit accordé aux Palestiniens des territoires de Cisjordanie et de Gaza. Dans cette solution, seule issue raisonnable au conflit, rien ne s’oppose à ce que la capitale des deux peuples soit située à Jérusalem. Plus tard, ou même l’an prochain…
Maverick a écrit:Je ne vois rien de choquant non plus, tout le monde sait que pas mal de pays ne reconnaissent pas Israel mais bon, le crif fait son boulot de défendre ce pays. Dans leur extrémisme, ils ont vu accoler "Israel" et "pas un vrai pays" et ils ont vu rouge.
acrangel a écrit:sauf que la France ne fait pas partie de la liste des états qui ne reconnaissent pas Israel, donc la France reconnaissant Israel comme état il n'est pas logique qu'un magasine écrive le contraire surtout quand ce magasine est pour des jeunes
Aym a écrit:acrangel a écrit:sauf que la France ne fait pas partie de la liste des états qui ne reconnaissent pas Israel, donc la France reconnaissant Israel comme état il n'est pas logique qu'un magasine écrive le contraire surtout quand ce magasine est pour des jeunes
Il n'est nulle part écrit que la France ne reconnaît pas Israël, mais que tous les états ne sont pas d'accord pour le reconnaître comme pays.
Où est la faute ?
Aym a écrit:acrangel a écrit:sauf que la France ne fait pas partie de la liste des états qui ne reconnaissent pas Israel, donc la France reconnaissant Israel comme état il n'est pas logique qu'un magasine écrive le contraire surtout quand ce magasine est pour des jeunes
Il n'est nulle part écrit que la France ne reconnaît pas Israël, mais que tous les états ne sont pas d'accord pour le reconnaître comme pays.
Où est la faute ?
acrangel a écrit:Aym a écrit:acrangel a écrit:sauf que la France ne fait pas partie de la liste des états qui ne reconnaissent pas Israel, donc la France reconnaissant Israel comme état il n'est pas logique qu'un magasine écrive le contraire surtout quand ce magasine est pour des jeunes
Il n'est nulle part écrit que la France ne reconnaît pas Israël, mais que tous les états ne sont pas d'accord pour le reconnaître comme pays.
Où est la faute ?
la faute elle est simple dans ce cas on ne prend pas deux ou trois exemples mais on met la liste complète de tout les pays ou états qui ne sont pas reconnus par un autre état ou aucun nom sinon c'est de la manipulation pur et simple
il a estimé que l'appel de Mahmoud Abbas invitant les Européens à reconnaître la Palestine comme un État indépendant ne serait pas «la bonne solution».
Ghinzani a écrit:Non...un vrai enfant de cœur.
One Man’s Terrorist Is Another Man’s Freedom Fighter
Dans ce cas précis, la Belgique n'avait cependant pas contribué au financement de ces deux salles de classe.Cortese a écrit:L'armée israélienne détruit une école financée par la Belgique : "un drame cornélien" nous dit le Dr G... un dentiste belge interrogé à ce sujet par notre micro-trottoir (on ne pouvait pas y tenir à deux)..
https://www.rtbf.be/info/monde/detail_l ... id=9831301
Rainier a écrit:Ca chauffe entre l'Iran, la Syrie et Israël ! Un F16 israelien abattu.
Comment va réagir Poutine ?
La situation est vraiment inquiétante, on a eu des guerres mondiales pour moins que ça !
Je sais bien que le sujet majeur de la semaine c'est l'éviction d'une gamine d'un radio-crochet mais il convient d'être aussi attentif à ce conflit
Shoemaker a écrit:L'aviation US a attaqué des militaires de l'armée légale Syrienne, qui ne menaçaient EN RIEN les USA : 100 morts. Les USA ne savent même plus ce qu'ils font. Ils sont en Syrie sans aucune légitimité, et attaquent l'armée Syrienne sans aucun véritable motif légitime et légal, etc....
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